vendredi 21 juin 2013

Mars en sciences



Le Point.fr - Publié le  - Modifié le 

L'image dévoilée par la Nasa compte plus d'un milliard de pixels et l'on peut se balader à l'intérieur. La planète rouge, comme si vous y étiez !

Vue du panorama à 360 ° haute définition réalisé par Curiosity depuis le site de Rocknest.
Vue du panorama à 360 ° haute définition réalisé par Curiosity depuis le site de Rocknest. © NASA/JPL-Caltech/MSSS
Par 

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La Nasa vient de dévoiler un tout nouveau panorama 360 ° de Mars en très, très haute définition. Dans sa version originale, cette image compte plus de 1,3 milliards de pixels et résulte d'une combinaison de près de 900 clichés réalisés par Curiosity. Tous ont été pris depuis le site de Rocknest, entre le 5 octobre et le 16 novembre 2012, via deux caméras qui équipent le rover, la MastCam et la caméra de navigation (MSL). Quant à l'image finale, elle a été recomposée par le Multiple-image Mission Laboratoire de traitement (MIPL), au Jet Propulsion Laboratory de la Nasa à Pasadena, en Californie. La vue est centrée vers le Sud, avec le mont Sharp en arrière-plan, le Nord se retrouve donc aux deux extrémités du cliché. L'agence spatiale américaine la présente sur son site internet dans un player interactif qui permet de naviguer dans l'image. Et le résultat est assez bluffant. Pour aller vous balader sur Mars, cliquez ici !
Cette vue légendée permet d'apprécier où se situe le site de Rocknest sur le parcours emprunté par Curiosity : 

vendredi 17 mai 2013

Le Monde.fr: Recrudescence des éruptions solaires depuis les dernières 24 heures


Recrudescence des éruptions solaires depuis les dernières 24 heures

Trois importantes éruptions se sont produites dans les dernières vingt-quatre heures, dont la plus puissante de 2013. Les systèmes de télécommunications ne devraient pas être affectés.

Le Monde.fr | 15.05.2013 à 19:21


dimanche 12 mai 2013

Le Monde.fr: Voir la Terre se transformer en trente ans

Le Monde.fr

Voir la Terre se transformer en trente ans

Timelapse, une carte interactive développée par Google, permet d'explorer les évolutions de la planète entre 1984 et 2012, témoignant de l'effet du changement climatique et des activités humaines.


lundi 6 mai 2013

Découverte de deux planètes océans



Envoyé par Elton

Découverte de deux planètes-océans

D'ici quelques mois, la barre symbolique des mille planètes extra-solaires devrait être franchie (elles sont 884 confirmées à l'heure où ces lignes sont écrites). Depuis la découverte de la première d'entre elles en 1995 par les astronomes suisses Michel Mayor et Didier Queloz, le rythme des trouvailles n'a cessé de s'accélérer et il n'est pas près de se calmer car la détection des exoplanètes, d'artisanale, est devenue une activité quasi industrielle : plus de 2 700 candidates repérées par le télescope spatial Kepler de la NASA attendent la confirmation officielle de leur existence ! Parmi les nouveaux venus, la dernière vedette en date est le système planétaire tournant autour de l'étoile Kepler-62, un astre distant de 1 200 années-lumière. Pas moins de cinq planètes le composent comme le révèle une étude publiée vendredi 3 mai dans ScienceMais ce n'est pas là le plus palpitant. Deux de ces exoplanètes, Kepler-62e et f, intéressent au plus haut point les chercheurs parce qu'elles sont situées dans ce qui constitue le Graal de l'astrobiologie, la "zone d'habitabilité".

Comme on peut aisément le constater dans notre système solaire, toutes les orbites autour du Soleil ne se valent pas, puisque seule la Terre a la chance de disposer à sa surface d'eau liquide, élément indispensable à la vie telle que nous la connaissons. Si notre globe avait été un peu plus proche de notre étoile, et ce de seulement quelques millions de kilomètres (sur les 150 qui le séparent du Soleil), il y a fort à parier qu'il aurait connu le sort de Vénus où des températures trop élevées ont provoqué un effet de serre galopant qui a asséché la planète. A l'inverse, si la Terre avait été trop éloignée du Soleil, elle n'aurait pas reçu assez de chaleur et serait restée un monde glacé. Quand ils décrivent la zone d'habitabilité, les astronomes ont donc coutume de faire référence au conte de Boucle d'or où l'héroïne, entrée dans la maison des trois ours, se délecte du seul bol de bouillie comestible, celui qui n'est ni trop chaud ni trop froid... Précisons que la présence d'eau liquide à la surface d'une planète ne dépend pas seulement de la distance à l'étoile mais aussi de l'atmosphère de la planète elle-même : ainsi, la petite Mars, qui est en théorie dans la zone d'habitabilité du Soleil, ne dispose plus d'eau liquide car elle n'a pu conserver très longtemps une atmosphère suffisamment consistante.

Revenons à Kepler-62e et f. Toutes deux un peu plus grosses que la Terre (respectivement 1,6 et 1,4 rayon terrestre), elles sont également plus proches de leur étoile que nous ne le sommes de la nôtre puisqu'elles en font le tour l'une en 122 jours, l'autre en 267. Cela ne signifie pas pour autant que les températures y sont très élevées car Kepler-62 étant moins chaude que notre Soleil, sa zone d'habitabilité est plus proche du centre. Toutes ces caractéristiques (taille relativement modeste, situation en zone d'habitabilité, températures clémentes) suffisent à faire de ces deux planètes un sujet de choix pour les astronomes. Mais il y a mieux encore. Dans un article soumis à The Astrophysical Journaltrois chercheurs estiment en effet que Kepler-62e et f ont toutes les chances d'être... des planètes-océans.

Derrière cette terminologie poétique, se cache un processus de formation assez complexe. L'idée est qu'il s'agit de planètes apparues assez loin de leur étoile et qui possédaient à l'origine une épaisse croûte de glace à leur surface. Après leur naissance, en raison d'interactions gravitationnelles avec leur environnement, ces astres ont migré vers l'intérieur de leur système solaire. En s'approchant de leur étoile, ils se sont réchauffés et ces boules de glace se sont mises à fondre tels des esquimaux en été. Au terme du processus, un océan global a recouvert toute la surface de la planète, comme dans le film Waterworld. La profondeur de cet océan étant au minimum de plusieurs dizaines de kilomètres, aucune île ne surnage, aucun continent n'apparaît.

Comme l'explique Lisa Kaltenegger, astronome à l'Institut Max Planck (Allemagne) et une des trois signataires de l'article, "ces planètes ne ressemblent à rien de ce que nous connaissons dans notre Système solaire. (...) Il se peut qu'il y ait de la vie là-bas, mais peut-elle être basée sur la technologie comme la nôtre ? Si vie il y avait sur ces mondes, elle serait sous-marine, sans accès facile aux métaux, à l'électricité, au feu ou à la métallurgie. Néanmoins, ces mondes resteront de magnifiques planètes bleues entourant une étoile orange, et peut-être la vie fera-t-elle preuve d'une ingéniosité surprenante pour accéder à un stade technologique." Avant de se projeter si loin, il faudra avoir confirmation définitive du caractère "océanique" de ces deux exoplanètes, ce qui se fera probablement avec l'entrée en service des télescopes de la prochaine génération (James Webb Telescope, European Extremely Large Telescope).

Pour terminer ce billet, je voudrais évoquer un souvenir. En juillet 2003, j'ai couvert pour le compte du Monde un colloque international consacré aux exoplanètes, organisé à l'Institut d'astrophysique de Paris. C'est à cette occasion que j'ai pour la première fois entendu parler du concept de planète-océan lors d'un exposé passionnant donné par le chercheur français Alain Léger, lequel y résumait des travaux qui font aujourd'hui référence. A l'époque, j'ai vu cette étude comme un merveilleux exercice de style : tout cela ne risquait-il pas de rester théorique ? J'avais tort. Dix ans après ce colloque, je ne savoure que mieux la beauté de cette prédiction, qui fait tout le charme de la science.

Pierre Barthélémy (suivez-moi ici sur Twitter



http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/05/05/decouverte-de-deux-planetes-oceans/

Il réalise des photos incroyables à partir de bactéries ! - Medisite : Albert Einstein (bactérie Serratia marcescens)

http://sante.planet.fr/a-la-une-il-realise-des-photos-incroyables-partir-de-bacteries.340075.2035.html?page=0,0

samedi 4 mai 2013

Le Monde.fr: Un ouragan géant sur Saturne

Le Monde.fr

Un ouragan géant sur Saturne

La Nasa a dévoilé des images impressionnantes d'un ouragan géant au pôle nord de Saturne prises par sa sonde Cassini.

Le Monde.fr | 30.04.2013 à 17:42

mardi 30 avril 2013

Le Monde.fr: Les "Google Glass" probablement pas lancées en 2013

Le Monde.fr

Les "Google Glass" probablement pas lancées en 2013

Le géant de l'internet Google, qui annonçait la commercialisation de ses lunettes futuristes pour 2013, a demandé vendredi à ses clients de s'armer de patience.

Le Monde.fr avec AFP | 27.04.2013 à 09:13



vendredi 26 avril 2013

Le Monde.fr: Orange aurait suspendu la vente de Dailymotion à Yahoo!

Le Monde.fr

Orange aurait suspendu la vente de Dailymotion à Yahoo!

Bercy et le ministère de la culture auraient émis de forts doutes sur l'opportunité d'une telle opération.

Le Monde.fr Cécile Ducourtieux et Alain Beuve-Méry | 24.04.2013 à 15:28


mercredi 17 avril 2013

Fwd: V for Vegetation



Envoyé de mon iPad

Début du message transféré :

Expéditeur: "European Space Agency" <contactesa@subscriptions.esa.int>
Date: 17 avril 2013 09:22:52 UTC+02:00
Destinataire: edmond.zimmermann@wanadoo.fr
Objet: V for Vegetation
Répondre à: contactesa@subscriptions.esa.int

V for Vegetation

16-04-2013 04:05 PM CEST


Minisatellite tracking global vegetation growth: new video highlights Proba-V for Vegetation

 

You are subscribed to Observing the Earth for European Space Agency.

Having trouble viewing this email? View it as a Web page.


This message has been sent to edmond.zimmermann@wanadoo.fr by ESA Web Portal, ESRIN, 00044 Frascati (RM), Italy
 

mercredi 20 mars 2013

Le Monde.fr: L'eau salée changée en source d'électricité par des nanotubes

Le Monde.fr

L'eau salée changée en source d'électricité par des nanotubes

Un effet physico-chimique inattendu et spectaculaire permet d'imaginer une nouvelle source d'énergie renouvelable.

LE MONDE SCIENCE ET TECHNO David Larousserie | 06.03.13 | 09:39


dimanche 17 mars 2013

Mouvements d'un glacier: impressionnant

http://www.youtube.com/embed/hC3VTgIPoGU?rel=0


 Le réchauffement de la planète accentue les mouvements des glaciers.
Voir les forces de la nature à l’œuvre dans le déplacement d'un glacier sur la longueur du tiers de l'île de Manhattan, N.Y. et au cours duquel les glaces montent à la verticale de 2 à 3 fois la hauteur d'un gratte-ciel. (Durée 4.42m)
TRÈS IMPRESSIONNANT
Envoyé par ELTON

lundi 11 mars 2013

Le Monde.fr: Des cerveaux de rat connectés en temps réel

Le Monde.fr

Des cerveaux de rat connectés en temps réel

ZOOLOGIE Selon une équipe de chercheurs américano-brésilienne, cette expérience constituerait une première étape vers la création d'un ordinateur organique.


vendredi 1 mars 2013

Le Monde.fr: Des astronomes pensent assister à la formation d'une planète

Le Monde.fr

Des astronomes pensent assister à la formation d'une planète

A l'aide de téléscopes, des astronomes ont obtenu ce qui est probablement la première observation directe d'une planète en formation encore enfouie dans son épais disque de gaz et de poussière.