dimanche 31 mai 2020
samedi 30 mai 2020
vendredi 29 mai 2020
jeudi 28 mai 2020
mardi 26 mai 2020
lundi 25 mai 2020
dimanche 24 mai 2020
Un poisson préhistorique avec des doigts : l'origine de notre main ?
NEWS Un poisson fossile vieux de 380 millions d’années pourrait constituer le chaînon manquant dans la transition entre les poissons et les animaux terrestres.
Ce poisson, c’est Elpistostege watsoni, découvert dans le parc national de Miguasha, au Québec. Grâce à son excellent état de conservation, une équipe australo-canadienne (université Flinders et université du Québec) a pu analyser lesnageoires pectorales dans leur intégralité. Les chercheurs ont ainsi constaté la présence de plusieurs os que l’on trouve également chez l’être humain : humérus (bras), radius et ulna (avant-bras), carpe (poignet) et phalanges organisées en doigts.
Ce poisson, c’est Elpistostege watsoni, découvert dans le parc national de Miguasha, au Québec. Grâce à son excellent état de conservation, une équipe australo-canadienne (université Flinders et université du Québec) a pu analyser lesnageoires pectorales dans leur intégralité. Les chercheurs ont ainsi constaté la présence de plusieurs os que l’on trouve également chez l’être humain : humérus (bras), radius et ulna (avant-bras), carpe (poignet) et phalanges organisées en doigts.
Un vrai « fossile transitionnel »
« C’est la toute première fois que l’on découvre des doigts dans une nageoire de poisson », explique l’un des spécialistes. « Ceci repousse aux poissons l’origine des doigts chez les vertébrés, et nous dit que la structuration de la main du vertébré a d’abord été développée profondément dans l’évolution, juste avant que les poissons quittent l’eau ».
L’évolution des poissons vers les tétraprodes (aujourd’hui mammifères, oiseaux, amphibiens et reptiles) constitue l’un des événements les plus importants de l’histoire de la vie : les vertébrés ont pu être capables de quitter l’eau et de partir à la conquête du monde terrestre. Dans cette transition, l’évolution des mains et des pieds a été décisive. Et Elpistostege watsoni est le spécimen connu qui s’approche le plus d’un vrai « fossile transitionnel » entre les poissons et les tétrapodes. Il mesure 1,57 m de long et il évoluait dans une zone marine peu profonde.
L’un des auteurs explique encore : « L’origine des doigts a trait au développement de la capacité du poisson à supporter son poids en eau peu profonde ou pour des courts trajets à l’extérieur, sur terre. Et le nombre croissant de petits os dans la nageoire permet plus de flexibilité ».
https://youtu.be/uyUYKTBA91k
samedi 23 mai 2020
vendredi 22 mai 2020
jeudi 21 mai 2020
mercredi 20 mai 2020
mardi 19 mai 2020
dimanche 17 mai 2020
samedi 16 mai 2020
vendredi 15 mai 2020
Comment jugez-vous l’intelligence de votre partenaire ?
NEWS Il a été bien démontré que d’une manière générale, nous avons tendance à surestimer notre intelligence. Or, il s’avère que c’est le cas aussi quand il s’agit d’évaluer celle de notre partenaire.
Plusieurs études ont mis en évidence ce phénomène qui consiste à penser que nous sommes plus intelligents que la moyenne. Et des travaux ont même montré que les moins qualifiés dans un domaine surestiment leurs compétences : ce biais cognitif est appelé l’effet Dunning-Kruger.
Une équipe australienne (University of Western Australia) s’est intéressée à la perception de l’intelligence de notre partenaire. Elle a réuni des couples représentatifs de la population, ensemble depuis au moins six ans. Le premier volet confirme ce qu’on savait déjà : en moyenne, nous surévaluons de 30 points (!) notre quotient intellectuel (QI). Plus fort : lesfemmes surestiment de 38 points le QI de leur conjoint, et les hommes de 36 points celui de leur compagne. C’est énorme.
Comment expliquer ce décalage ? Ainsi que l’explique en substance Futura Sciences, « les auteurs suggèrent que cette tendance à surestimer l’intelligence de notre partenaire répondrait au besoin de se mettre soi-même en valeur ». Sachant aussi que certaines recherches indiquent que l’idéalisation du partenaire contribue à faire durer le couple, et que sa solidité s’effrite quand la réalité prend le dessus.
Plusieurs études ont mis en évidence ce phénomène qui consiste à penser que nous sommes plus intelligents que la moyenne. Et des travaux ont même montré que les moins qualifiés dans un domaine surestiment leurs compétences : ce biais cognitif est appelé l’effet Dunning-Kruger.
Une équipe australienne (University of Western Australia) s’est intéressée à la perception de l’intelligence de notre partenaire. Elle a réuni des couples représentatifs de la population, ensemble depuis au moins six ans. Le premier volet confirme ce qu’on savait déjà : en moyenne, nous surévaluons de 30 points (!) notre quotient intellectuel (QI). Plus fort : lesfemmes surestiment de 38 points le QI de leur conjoint, et les hommes de 36 points celui de leur compagne. C’est énorme.
Comment expliquer ce décalage ? Ainsi que l’explique en substance Futura Sciences, « les auteurs suggèrent que cette tendance à surestimer l’intelligence de notre partenaire répondrait au besoin de se mettre soi-même en valeur ». Sachant aussi que certaines recherches indiquent que l’idéalisation du partenaire contribue à faire durer le couple, et que sa solidité s’effrite quand la réalité prend le dessus.
jeudi 14 mai 2020
Whisky : les gouttes, des étonnantes empreintes digitales
NEWS C’est une observation très étonnante : une marque de whisky peut être identifiée par une trace spécifique en forme de toile, laissée par les gouttes asséchées.
Ce sont en quelque sorte les empreintes digitales des whiskys, comme cela a été observé pour le café ou le sang. Une équipe américaine (université de Louisville) a dilué des échantillons de whisky à 20 - 25% d’alcool, puis elle les a traités afin que se forment des nanoparticules chimiques séchées observables au microscope.
Et les chercheurs ont découvert qu’à chaque marque de whisky correspond une « signature » spécifique, en forme de toile. Ce qui est curieux, c’est que ce phénomène semble être propre aux whiskys américains, vieillis dans des fûts en chêne neufs fortement chauffés.
Ce sont en quelque sorte les empreintes digitales des whiskys, comme cela a été observé pour le café ou le sang. Une équipe américaine (université de Louisville) a dilué des échantillons de whisky à 20 - 25% d’alcool, puis elle les a traités afin que se forment des nanoparticules chimiques séchées observables au microscope.
Et les chercheurs ont découvert qu’à chaque marque de whisky correspond une « signature » spécifique, en forme de toile. Ce qui est curieux, c’est que ce phénomène semble être propre aux whiskys américains, vieillis dans des fûts en chêne neufs fortement chauffés.
Source: ACS Nano (https://pubs.acs.org/journa)
publié le : 14/05/2020 , mis à jour le 13/05/2020
publié le : 14/05/2020 , mis à jour le 13/05/2020
mercredi 13 mai 2020
EPFL: découverte d'un gel contre l'ostéoporose
https://www.tdg.ch/savoirs/sciences/epfl-decouverte-gel-losteoporose/story/15821780
Des chercheurs de l’EPFL ont mis au point un gel capable de renforcer localement les os des personnes atteintes d’ostéoporose
mardi 12 mai 2020
lundi 11 mai 2020
dimanche 10 mai 2020
samedi 9 mai 2020
Une déforestation inquiétante en Amazonie brésilienne depuis le début de l’année
https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/05/09/une-deforestation-record-en-amazonie-bresilienne-depuis-le-debut-de-l-annee_6039133_3244.html
Selon l’Institut brésilien de recherches spatiales, 1 202 km carrés de forêt ont disparu entre janvier et avril. Une tendance inquiétante alors que la saison sèche n’a pas commencé.
Selon l’Institut brésilien de recherches spatiales, 1 202 km carrés de forêt ont disparu entre janvier et avril. Une tendance inquiétante alors que la saison sèche n’a pas commencé.
vendredi 8 mai 2020
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