NEWS Les e-mails, et surtout leur mauvaise gestion, peuvent constituer une source importante de stress, tout au long de la journée et jour après jour. Il faut savoir prendre ses distances.
Des psychologues britanniques se sont à leur tour penchés sur le sujet. Ils ont interrogé quelque 2.000 salariés émanant de divers secteurs professionnels.
Que constate-t-on ?
• un employé sur deux reçoit des notifications systématiques lors de la réception des e-mails, quel que soit l’appareil (smartphone, tablette, PC…)
• 60% consultent leur boîte de réception à de très nombreuses reprises tout au long de la journée
• ceux qui vérifient leurs e-mails tôt le matin et en soirée affichent un degré de pression et de stress (bien) plus élevé que ceux qui s’en abstiennent
Les personnes les plus exposées à l’influence néfaste de cette « sur-connexion » (tant sur le plan personnel que professionnel) sont celles qui disposent de peu d’autonomie et d’un faible contrôle sur leur environnement de travail.
Quels conseils ?
Les auteurs de cette enquête recommandent au minimum de ne pas consulter sa boîte mail en dehors des heures de travail, et en particulier tôt le matin et tard le soir (dans l’écrasante majorité des cas, l’urgence professionnelle est inexistante) et, pendant la journée, de ne le faire qu’à des moments précis (par exemple toutes les heures), ce qui permet d’ailleurs de ne pas avoir l’esprit tourné en permanence (consciemment ou inconsciemment) vers ses mails.
Ensuite, il n’est pas forcément nécessaire de répondre immédiatement, non seulement car cela augmente la pression (d’autant qu’on attend souvent impatiemment la réponse… qui tarde à venir), mais aussi parce qu’il existe un risque d’impulsivité, et dès lors de dérapage ou de mauvaise interprétation par le destinataire d’un message mal rédigé. En somme, on ne néglige évidemment pas cet outil essentiel de communication, mais on prend un peu de recul.
Des psychologues britanniques se sont à leur tour penchés sur le sujet. Ils ont interrogé quelque 2.000 salariés émanant de divers secteurs professionnels.
Que constate-t-on ?
• un employé sur deux reçoit des notifications systématiques lors de la réception des e-mails, quel que soit l’appareil (smartphone, tablette, PC…)
• 60% consultent leur boîte de réception à de très nombreuses reprises tout au long de la journée
• ceux qui vérifient leurs e-mails tôt le matin et en soirée affichent un degré de pression et de stress (bien) plus élevé que ceux qui s’en abstiennent
Les personnes les plus exposées à l’influence néfaste de cette « sur-connexion » (tant sur le plan personnel que professionnel) sont celles qui disposent de peu d’autonomie et d’un faible contrôle sur leur environnement de travail.
Quels conseils ?
Les auteurs de cette enquête recommandent au minimum de ne pas consulter sa boîte mail en dehors des heures de travail, et en particulier tôt le matin et tard le soir (dans l’écrasante majorité des cas, l’urgence professionnelle est inexistante) et, pendant la journée, de ne le faire qu’à des moments précis (par exemple toutes les heures), ce qui permet d’ailleurs de ne pas avoir l’esprit tourné en permanence (consciemment ou inconsciemment) vers ses mails.
Ensuite, il n’est pas forcément nécessaire de répondre immédiatement, non seulement car cela augmente la pression (d’autant qu’on attend souvent impatiemment la réponse… qui tarde à venir), mais aussi parce qu’il existe un risque d’impulsivité, et dès lors de dérapage ou de mauvaise interprétation par le destinataire d’un message mal rédigé. En somme, on ne néglige évidemment pas cet outil essentiel de communication, mais on prend un peu de recul.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire