NEWS Le sang de crocodile recèle des substances très prometteuses qui pourraient être utilisées à des fins thérapeutiques, en particulier pour favoriser la cicatrisation des plaies.
De précédentes études indiquent que le plasma et le sérum sanguin du crocodile du Siam (Crocodylus siamensis) présentent une puissante activité antimicrobienne, antioxydante et anti-inflammatoire, indique cette équipe thaïlandaise (université de Khon Kaen). En cas de blessure, et les plaies sont fréquentes et souvent sérieuses chez les crocodiles en raison des combats qui les opposent, ces propriétés jouent un rôle crucial dans les processus de cicatrisation, de formation des nouveaux tissus et de récupération.
Les chercheurs ont voulu évaluer l’efficacité de ces composés sanguins et comprendre les mécanismes qui entrent en jeu, avec en perspective une possible application thérapeutique chez l’être humain. Ils ont réalisé des expériences in vitro (« en éprouvette », avec des cellules de peau humaine), et in vivo (sur des souris). In vitro, les spécialistes constatent que le plasma et le sérum de crocodile activent la prolifération et la migration des kératinocytes, des cellules composant la couche superficielle de la peau humaine et qui interviennent de manière « essentielle » dans le processus de cicatrisation. In vivo, ils observent « un renforcement remarquable » de la cicatrisation, en termes de prévention des infections et de production de nouveaux tissus.
Les chercheurs vont à présent s’atteler à isoler les composants les plus bénéfiques, et ils insistent sur le fait que les résultats de cette étude soutiennent « fortement » le principe de l’utilisation du sang de crocodile du Siam pour le traitement des plaies… et ce qu’il reste sans doute encore à découvrir.
De précédentes études indiquent que le plasma et le sérum sanguin du crocodile du Siam (Crocodylus siamensis) présentent une puissante activité antimicrobienne, antioxydante et anti-inflammatoire, indique cette équipe thaïlandaise (université de Khon Kaen). En cas de blessure, et les plaies sont fréquentes et souvent sérieuses chez les crocodiles en raison des combats qui les opposent, ces propriétés jouent un rôle crucial dans les processus de cicatrisation, de formation des nouveaux tissus et de récupération.
Les chercheurs ont voulu évaluer l’efficacité de ces composés sanguins et comprendre les mécanismes qui entrent en jeu, avec en perspective une possible application thérapeutique chez l’être humain. Ils ont réalisé des expériences in vitro (« en éprouvette », avec des cellules de peau humaine), et in vivo (sur des souris). In vitro, les spécialistes constatent que le plasma et le sérum de crocodile activent la prolifération et la migration des kératinocytes, des cellules composant la couche superficielle de la peau humaine et qui interviennent de manière « essentielle » dans le processus de cicatrisation. In vivo, ils observent « un renforcement remarquable » de la cicatrisation, en termes de prévention des infections et de production de nouveaux tissus.
Les chercheurs vont à présent s’atteler à isoler les composants les plus bénéfiques, et ils insistent sur le fait que les résultats de cette étude soutiennent « fortement » le principe de l’utilisation du sang de crocodile du Siam pour le traitement des plaies… et ce qu’il reste sans doute encore à découvrir.
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