NEWS L’engagement dans le bénévolat s’accompagne de réels bienfaits pour ceux auxquels on vient en aide, mais aussi pour sa propre santé mentale.
Pendant une quinzaine d’années, une équipe américaine (université d’Etat de l’Arizona) a suivi quelque 13.000 seniors. Périodiquement, ces personnes devaient indiquer si elles participaient à des activités bénévoles. Une évaluation des facultés cognitives (mémoire, attention, raisonnement, prise de décision…) est intervenue au début et à la fin, dans le but de déterminer le degré de déclin de ces capacités. Les facteurs classiques de risque d’altération cognitive ont été pris en considération : tabagisme, consommation excessive d’alcool, inactivité physique…
Le résultat montre très clairement que l’engagement dans le bénévolat exerce un effet protecteur contre le déclin cognitif, et ce phénomène est d’autant plus marqué que la participation à ces activités a débuté tôt dans l'existence et s’est poursuivie de manière régulière. Mais il faut noter que le bénévolat plus ponctuel et/ou un engagement plus tardif présentent déjà un réel intérêt.
Les auteurs indiquent : « Ceci confirme les bénéfices du bénévolat en termes de santé individuelle et publique et invite les médecins à le « prescrire » dans le cadre de la prise en charge de leurs patients, en particulier les seniors et les personnes plus âgées ». Les activités bénévoles soutiennent l’activité mentale et physique, tout en contribuant à nourrir les liens sociaux et à lutter contre l’isolement, des éléments extrêmement importants pour le vieillissement en bonne santé, sachant que le bénévolat est précieux à tous les âges.
Pendant une quinzaine d’années, une équipe américaine (université d’Etat de l’Arizona) a suivi quelque 13.000 seniors. Périodiquement, ces personnes devaient indiquer si elles participaient à des activités bénévoles. Une évaluation des facultés cognitives (mémoire, attention, raisonnement, prise de décision…) est intervenue au début et à la fin, dans le but de déterminer le degré de déclin de ces capacités. Les facteurs classiques de risque d’altération cognitive ont été pris en considération : tabagisme, consommation excessive d’alcool, inactivité physique…
Le résultat montre très clairement que l’engagement dans le bénévolat exerce un effet protecteur contre le déclin cognitif, et ce phénomène est d’autant plus marqué que la participation à ces activités a débuté tôt dans l'existence et s’est poursuivie de manière régulière. Mais il faut noter que le bénévolat plus ponctuel et/ou un engagement plus tardif présentent déjà un réel intérêt.
Les auteurs indiquent : « Ceci confirme les bénéfices du bénévolat en termes de santé individuelle et publique et invite les médecins à le « prescrire » dans le cadre de la prise en charge de leurs patients, en particulier les seniors et les personnes plus âgées ». Les activités bénévoles soutiennent l’activité mentale et physique, tout en contribuant à nourrir les liens sociaux et à lutter contre l’isolement, des éléments extrêmement importants pour le vieillissement en bonne santé, sachant que le bénévolat est précieux à tous les âges.
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