http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/un-corps-celeste-etranger-a-notre-systeme-solaire-aurait-ete-identifie_1955934.html
mardi 31 octobre 2017
lundi 30 octobre 2017
Greffe de pénis : comment ça va après 2 ans ?
NEWS Deux ans après l’une des rares transplantations de pénis réalisées dans le monde, l’équipe qui a pratiqué l’intervention dresse le bilan de l’évolution du patient.
La greffe a été pratiquée en 2015 en Afrique du Sud. Elle a concerné un jeune homme qui avait souffert de complications extrêmement graves (gangrène) après une circoncision traditionnelle, avec la nécessité de procéder à une amputation du pénis. Comme l’explique le Dr Roseline Péluchon (Journal international de médecine), « les procédés de reconstruction avec des implants péniens ne donnent pas toujours des résultats satisfaisants, et les conséquences psychologiques de ces ablations sont souvent désastreuses ».
L’équipe chirurgicale (Stellenbosch University) a donc tenté la greffe de pénis. Il ne s’agit pas du premier essai mondial, puisqu’un autre a été rapporté en 2006 en Chine (mais le greffon a été retiré rapidement). Pour affiner la technique, les spécialistes sud-africains ont d’abord procédé à des essais sur deux cadavres. Ils ont ensuite cherché des candidats répondant à des critères physiques et psychologiques précis, et ont finalement porté leur choix sur un jeune homme de 21 ans. Le donneur était un homme de 36 ans en état de mort cérébrale.
La greffe a été pratiquée en 2015 en Afrique du Sud. Elle a concerné un jeune homme qui avait souffert de complications extrêmement graves (gangrène) après une circoncision traditionnelle, avec la nécessité de procéder à une amputation du pénis. Comme l’explique le Dr Roseline Péluchon (Journal international de médecine), « les procédés de reconstruction avec des implants péniens ne donnent pas toujours des résultats satisfaisants, et les conséquences psychologiques de ces ablations sont souvent désastreuses ».
L’équipe chirurgicale (Stellenbosch University) a donc tenté la greffe de pénis. Il ne s’agit pas du premier essai mondial, puisqu’un autre a été rapporté en 2006 en Chine (mais le greffon a été retiré rapidement). Pour affiner la technique, les spécialistes sud-africains ont d’abord procédé à des essais sur deux cadavres. Ils ont ensuite cherché des candidats répondant à des critères physiques et psychologiques précis, et ont finalement porté leur choix sur un jeune homme de 21 ans. Le donneur était un homme de 36 ans en état de mort cérébrale.
Des résultats rapides et spectaculaires
L’intervention a duré 9 heures, et la sortie de l’hôpital est intervenue après un mois. Le patient a fait état d’un premier rapport sexuel satisfaisant une semaine après être rentré chez lui (malgré le fait que les médecins lui avaient demandé d’attendre plus longtemps…), et ensuite des relations sexuelles régulières à partir de trois mois. Une série d’événements indésirables sont rapportés au fil du temps (thrombose artérielle, hématome infecté, insuffisance rénale aiguë, mycose…), mais tous ont été surmontés.
Le score global de qualité de vie s’est beaucoup amélioré, passant de 25 avant l’opération à 57 six mois plus tard et à 46 après deux ans. Idem pour le score de santé physique : 37 au départ, puis 60 à six mois et 59 à deux ans. Toujours après deux ans, la fonction urinaire est parfaitement normale, alors que le score de fonction sexuelle se situe aujourd’hui à 8 sur 10, ce qui est excellent. Depuis, rappelle le Dr Péluchon, une troisième greffe de pénis a eu lieu aux Etats-Unis (Boston) en 2016, et une quatrième en avril 2017, par la même équipe sud-africaine.
Source: The Lancet (www.thelancet.com)
publié le : 30/10/2017 , mis à jour le 30/10/2017
publié le : 30/10/2017 , mis à jour le 30/10/2017
dimanche 29 octobre 2017
samedi 28 octobre 2017
Plongée dans la physique de la guitare
http://www.lemonde.fr/sciences/video/2017/10/27/plongee-dans-la-physique-de-la-guitare_5206762_1650684.html
La guitare est l’un des instruments les plus populaires du monde. Et pourtant les relations entre les matériaux utilisés, la géométrie ou l’assemblage de l’instrument et le son final produit sont encore mal compris. Dans cette vidéo proposée par CNRS Le Journal, nous rencontrons l’équipe de chercheurs du Mans qui, armés d’instruments de mesure, tentent de percer les secrets de l’instrument fétiche de Django Reinhart, Eric Clapton ou Jimi Hendrix.
La guitare est l’un des instruments les plus populaires du monde. Et pourtant les relations entre les matériaux utilisés, la géométrie ou l’assemblage de l’instrument et le son final produit sont encore mal compris. Dans cette vidéo proposée par CNRS Le Journal, nous rencontrons l’équipe de chercheurs du Mans qui, armés d’instruments de mesure, tentent de percer les secrets de l’instrument fétiche de Django Reinhart, Eric Clapton ou Jimi Hendrix.
vendredi 27 octobre 2017
jeudi 26 octobre 2017
mercredi 25 octobre 2017
lundi 23 octobre 2017
dimanche 22 octobre 2017
samedi 21 octobre 2017
vendredi 20 octobre 2017
Comment sont dessinées les planètes découvertes par la Nasa
http://www.lemonde.fr/cosmos/video/2017/10/17/space-artist-tim-pyle-dessine-pour-la-nasa-des-planetes-que-l-on-n-a-jamais-vues_5202014_1650695.html
Vous avez sûrement déjà aperçu les vues d’artistes que publie la NASA pour illustrer ses découvertes de planètes très lointaines. Ce que vous ignorez peut-être, c’est que ces visuels sont le plus proche possible de la réalité scientifique. Pour les élaborer, l’agence spatiale américaine emploie des illustrateurs scientifiques que l’on surnomme les « space artists ».
Tim Pyle, ex-employé dans le cinéma, travaille désormais avec des astronomes. Il explique leur collaboration et comment chaque couleur a un sens très précis dans ce domaine. On distingue par exemple les couleurs dites « sûres », que sont les bruns et les gris, de celles dangereuses, comme le vert, qui pourrait faire croire à l’existence de la vie sur une exoplanète.
Hygiène dentaire : du fluor oui, mais pas trop
NEWS Le brossage des dents avec un dentifrice fluoré adapté à l’âge de l’enfant est un mode de prévention de premier choix contre la carie dentaire. Quels conseils ?
Chez l’enfant et l’adolescent, le fluor réduit le risque de carie, mais en cas d’excès, la fluorose dentaire menace (taches blanches ou brunes sur la dent), surtout avant l’âge de 8 ans. La teneur en fluor du dentifrice doit donc être adaptée.
• 250 ppm avant 3 ans
• 500 ppm de 3 à 6 ans
• 1000 ppm après 6 ans
Concernant la quantité, une trace de dentifrice suffit avant l’âge de 1 an, l’équivalent d’un grain de riz entre 1 et 3 ans, et d’un petit pois entre 3 et 6 ans. En fin de brossage, l’enfant doit recracher l’excès de dentifrice avant de se rincer la bouche. La revue médicale Prescrire indique que le bain de bouche au fluor n’est pas approprié avant 6 ans, et au-delà, il est d’une utilité incertaine si le brossage des dents avec un dentifrice fluoré est régulier. Idem pour une supplémentation orale (comprimés). En cas de risque plus élevé de carie dentaire (port d’un appareil orthodontique, prise de certains médicaments…) et/ou de brossage insuffisant, la pose tous les six mois d’un vernis au fluor constitue une option à envisager.
Chez l’enfant et l’adolescent, le fluor réduit le risque de carie, mais en cas d’excès, la fluorose dentaire menace (taches blanches ou brunes sur la dent), surtout avant l’âge de 8 ans. La teneur en fluor du dentifrice doit donc être adaptée.
• 250 ppm avant 3 ans
• 500 ppm de 3 à 6 ans
• 1000 ppm après 6 ans
Concernant la quantité, une trace de dentifrice suffit avant l’âge de 1 an, l’équivalent d’un grain de riz entre 1 et 3 ans, et d’un petit pois entre 3 et 6 ans. En fin de brossage, l’enfant doit recracher l’excès de dentifrice avant de se rincer la bouche. La revue médicale Prescrire indique que le bain de bouche au fluor n’est pas approprié avant 6 ans, et au-delà, il est d’une utilité incertaine si le brossage des dents avec un dentifrice fluoré est régulier. Idem pour une supplémentation orale (comprimés). En cas de risque plus élevé de carie dentaire (port d’un appareil orthodontique, prise de certains médicaments…) et/ou de brossage insuffisant, la pose tous les six mois d’un vernis au fluor constitue une option à envisager.
publié le : 20/10/2017 , mis à jour le 19/10/2017
jeudi 19 octobre 2017
On peut désormais visiter le Système solaire depuis son écran
http://www.lemonde.fr/cosmos/video/2017/10/18/on-peut-desormais-visiter-le-systeme-solaire-depuis-son-ecran_5202945_1650695.html
Depuis le 16 octobre, le service de cartographie en ligne de Google propose aux internautes d’explorer douze nouveaux « mondes » entourant la Terre. Ils comprennent notre Lune, plusieurs planètes de notre Système solaire comme Mars, Vénus ou Pluton, mais également la Station spatiale internationale.
Grâce au travail et à l’imagerie de la NASA et de l’Agence spatiale européenne, il est désormais possible de visiter plusieurs lunes de Saturne, comme Encelade et Titan, qui intriguent particulièrement le monde scientifique. Ces images sont en partie issues du travail de la sonde Cassini qui, après treize ans d’exploration,s’est désintégrée le 15 septembre dernier dans l’atmosphère de la planète aux anneaux.
mercredi 18 octobre 2017
mardi 17 octobre 2017
lundi 16 octobre 2017
Démence : les 9 clés pour réduire le risque
NEWS Un tiers des cas de démence, dont la maladie d’Alzheimer, sont liés à neuf facteurs de risque sur lesquels il est possible d’agir dès le jeune âge, à mi-vie et plus tard dans l’existence.
Un groupe d’experts internationaux a réalisé une méta-analyse des études les plus probantes consacrées à la démence et à ses facteurs de risque associés au mode de vie et à l’état de santé. Les spécialistes ne prétendent évidemment pas que l’intervention sur ces paramètres permettra de prévenir tous les cas, mais ils estiment néanmoins que 35% d’entre eux pourraient être évités. Ils distinguent trois périodes de l’existence et neuf axes d’action.
• Enfance. Améliorer l’éducation.
• Age moyen. Traiter la perte auditive, maîtriser l’hypertension artérielle et lutter contre l’obésité.
• Seniors. Arrêter de fumer, gérer le diabète, soigner la dépression, augmenter l’activité physique et nourrir les liens sociaux.
Il va de soi que ces priorités ne doivent pas être cantonnées à une période de l'existence : ainsi, il faut combattre la sédentarité et le tabagisme le plus tôt possible. Mais à un âge plus avancé, il n'est pas trop tard pour bien faire. « L’intervention sur ces facteurs de risque présente un potentiel que nous n’imaginions pas », indique le coordinateur de cette étude. « Il s’agit d’une approche puissante pour réduire le poids de la démence ».
Les experts se sont également penchés sur les traitements, et en particulier sur les antipsychotiques, habituellement utilisés pour traiter l’agitation et l’agressivité des patients. Ces médicaments posent problème non seulement par leur effet sédatif (« abrutissant »), mais aussi en raison des effets indésirables possibles (infection, accident cardiovasculaire…). L’analyse d’un éventail de travaux montre que les interventions non pharmacologiques - approche psychologique, sociale et environnementale - font mieux que l’administration de médicaments. On pense aux contacts sociaux, aux activités de groupe, à la stimulation cognitive, à l’exercice physique…, avec un net bénéfice en termes d’apaisement de l’agressivité et de l’agitation, mais aussi sur le plan cognitif.
Le combat contre la démence, dont on annonce une flambée de la prévalence dans les années à venir, passe par une action à la fois globale, individuelle et personnalisée, à mettre en œuvre dès à présent, car il y a urgence.
Un groupe d’experts internationaux a réalisé une méta-analyse des études les plus probantes consacrées à la démence et à ses facteurs de risque associés au mode de vie et à l’état de santé. Les spécialistes ne prétendent évidemment pas que l’intervention sur ces paramètres permettra de prévenir tous les cas, mais ils estiment néanmoins que 35% d’entre eux pourraient être évités. Ils distinguent trois périodes de l’existence et neuf axes d’action.
• Enfance. Améliorer l’éducation.
• Age moyen. Traiter la perte auditive, maîtriser l’hypertension artérielle et lutter contre l’obésité.
• Seniors. Arrêter de fumer, gérer le diabète, soigner la dépression, augmenter l’activité physique et nourrir les liens sociaux.
Il va de soi que ces priorités ne doivent pas être cantonnées à une période de l'existence : ainsi, il faut combattre la sédentarité et le tabagisme le plus tôt possible. Mais à un âge plus avancé, il n'est pas trop tard pour bien faire. « L’intervention sur ces facteurs de risque présente un potentiel que nous n’imaginions pas », indique le coordinateur de cette étude. « Il s’agit d’une approche puissante pour réduire le poids de la démence ».
Les experts se sont également penchés sur les traitements, et en particulier sur les antipsychotiques, habituellement utilisés pour traiter l’agitation et l’agressivité des patients. Ces médicaments posent problème non seulement par leur effet sédatif (« abrutissant »), mais aussi en raison des effets indésirables possibles (infection, accident cardiovasculaire…). L’analyse d’un éventail de travaux montre que les interventions non pharmacologiques - approche psychologique, sociale et environnementale - font mieux que l’administration de médicaments. On pense aux contacts sociaux, aux activités de groupe, à la stimulation cognitive, à l’exercice physique…, avec un net bénéfice en termes d’apaisement de l’agressivité et de l’agitation, mais aussi sur le plan cognitif.
Le combat contre la démence, dont on annonce une flambée de la prévalence dans les années à venir, passe par une action à la fois globale, individuelle et personnalisée, à mettre en œuvre dès à présent, car il y a urgence.
Source: The Lancet (www.thelancet.com)
publié le : 16/10/2017 , mis à jour le 15/10/2017
publié le : 16/10/2017 , mis à jour le 15/10/2017
dimanche 15 octobre 2017
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