NEWS Les maladies d’Alzheimer et de Parkinson partagent des points communs en termes de facteurs de risque et de mécanismes de développement. Il est possible d’agir en prévention pour limiter le danger.
Les facteurs non modifiables incluent la susceptibilité génétique, qui présente un caractère individuel. L’autre volet, les facteurs modifiables, a fait l’objet de nombreuses études, dont une équipe canadienne (University of British Columbia) a réalisé la synthèse.
Les chercheurs observent d’abord un trait caractéristique aux deux maladies : le processus inflammatoire (neuro-inflammation), déclenché initialement par des structures pathologiques (comme la protéine bêta-amyloïde), puis qui évolue vers une forme chronique et provoque des dommages irréversibles aux cellules nerveuses (mort des neurones). Une méta-analyse de travaux antérieurs montre que quatre facteurs de risque majeurs contribuent à la neuro-inflammation, l’alimentent en quelque sorte :
• la sédentarité (absence ou insuffisance d’activité physique régulière)
• la maladie (cardio)vasculaire, dont l’hypertension artérielle
• l’obésité
• le diabète (DT2)
Or, poursuivent ces spécialistes, chacun peut agir sur ces paramètres, en prévention (mode de vie sain) et/ou en les contrôlant (traitement). C’est le message immédiat. Ensuite, ajoutent-ils, une meilleure compréhension des mécanismes (complexes !) qui interviennent dans le processus neuro-inflammatoire devrait aider à identifier des cibles thérapeutiques permettant une prise en charge plus efficace de ces deux maladies neurodégénératives.
Les facteurs non modifiables incluent la susceptibilité génétique, qui présente un caractère individuel. L’autre volet, les facteurs modifiables, a fait l’objet de nombreuses études, dont une équipe canadienne (University of British Columbia) a réalisé la synthèse.
Les chercheurs observent d’abord un trait caractéristique aux deux maladies : le processus inflammatoire (neuro-inflammation), déclenché initialement par des structures pathologiques (comme la protéine bêta-amyloïde), puis qui évolue vers une forme chronique et provoque des dommages irréversibles aux cellules nerveuses (mort des neurones). Une méta-analyse de travaux antérieurs montre que quatre facteurs de risque majeurs contribuent à la neuro-inflammation, l’alimentent en quelque sorte :
• la sédentarité (absence ou insuffisance d’activité physique régulière)
• la maladie (cardio)vasculaire, dont l’hypertension artérielle
• l’obésité
• le diabète (DT2)
Or, poursuivent ces spécialistes, chacun peut agir sur ces paramètres, en prévention (mode de vie sain) et/ou en les contrôlant (traitement). C’est le message immédiat. Ensuite, ajoutent-ils, une meilleure compréhension des mécanismes (complexes !) qui interviennent dans le processus neuro-inflammatoire devrait aider à identifier des cibles thérapeutiques permettant une prise en charge plus efficace de ces deux maladies neurodégénératives.
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