NEWS Une puce électronique insérée dans la prothèse de genou pour vérifier son bon fonctionnement : cette innovation pourrait beaucoup aider les médecins et les patients.
La technique a été développée par un chirurgien orthopédiste français, qui a mis au point, en partenariat avec des spécialistes en électronique, une puce permettant de « connecter » les prothèses de genou. Pourquoi ? Pour en identifier rapidement le modèle (ce qui n’est pas toujours évident lorsqu’un patient change de médecin), pour détecter une infection (pas forcément symptomatique) ou encore pour vérifier l’état de fonctionnement (l’adhérence à l’os, notamment).
La puce est placée dans une petite encoche dans la prothèse, qui est alors « scannable » par un lecteur (smartphone, par exemple). Le système fonctionne sans batterie, avec descapteurs de pression et de température. Les informations sont ensuite envoyées vers un logiciel qui procède à leur analyse (état d’usure, infection…) et qui fournit aussi des images dynamiques en 3D permettant de visualiser le genou pendant la marche. Toutes ces données sont collectées dans un registre, afin d’assurer le suivi et la traçabilité.
Comme l’explique Le Figaro, des études sur l’animal et sur l’homme doivent être réalisées en 2018 pour valider l’efficacité du dispositif, qui pourrait être commercialisé en 2019. Il faudra ensuite que les fabricants suivent…
La technique a été développée par un chirurgien orthopédiste français, qui a mis au point, en partenariat avec des spécialistes en électronique, une puce permettant de « connecter » les prothèses de genou. Pourquoi ? Pour en identifier rapidement le modèle (ce qui n’est pas toujours évident lorsqu’un patient change de médecin), pour détecter une infection (pas forcément symptomatique) ou encore pour vérifier l’état de fonctionnement (l’adhérence à l’os, notamment).
La puce est placée dans une petite encoche dans la prothèse, qui est alors « scannable » par un lecteur (smartphone, par exemple). Le système fonctionne sans batterie, avec descapteurs de pression et de température. Les informations sont ensuite envoyées vers un logiciel qui procède à leur analyse (état d’usure, infection…) et qui fournit aussi des images dynamiques en 3D permettant de visualiser le genou pendant la marche. Toutes ces données sont collectées dans un registre, afin d’assurer le suivi et la traçabilité.
Comme l’explique Le Figaro, des études sur l’animal et sur l’homme doivent être réalisées en 2018 pour valider l’efficacité du dispositif, qui pourrait être commercialisé en 2019. Il faudra ensuite que les fabricants suivent…
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