NEWS Les autorités françaises de santé attirent l’attention sur les risques liés à la présence en fortes concentrations de substances chimiques dans les chaussures et les vêtements neufs.
A la suite de plaintes de clients, qui indiquaient avoir souffert d’allergies et d’irritations, des experts se sont procurés des chaussures et des vêtements dans des points de vente, afin de procéder à des analyses de détection de produits chimiques susceptibles d’exposer les consommateurs à un risque pour leur santé.
L’Agence nationale française de sécurité sanitaire (Anses) a rédigé un rapport qui confirme la présence de toute une série de substances potentiellement nocives (nonylphénol, formaldéhyde…), avec détection de substances habituellement non analysées et pouvant entraîner une dermatite de contact (inflammation de la peau d’origine allergique), comme certains colorants. Parallèlement, une étude biomédicale réalisée sur des patients qui avaient souffert d’irritations et d’allergies a permis d’identifier dans des vêtements et des chaussures des substances chimiques à l’origine de ces réactions (benzidine, chrome, nickel, certains types de résine…).
L’Anses émet des recommandations à l’adresse des autorités (réviser les seuils pour des substances comme le chrome et le nickel, maintenir voire renforcer la pression de contrôle…), des fabricants, et des consommateurs (toujours laver un vêtement neuf avant de le porter…).
A la suite de plaintes de clients, qui indiquaient avoir souffert d’allergies et d’irritations, des experts se sont procurés des chaussures et des vêtements dans des points de vente, afin de procéder à des analyses de détection de produits chimiques susceptibles d’exposer les consommateurs à un risque pour leur santé.
L’Agence nationale française de sécurité sanitaire (Anses) a rédigé un rapport qui confirme la présence de toute une série de substances potentiellement nocives (nonylphénol, formaldéhyde…), avec détection de substances habituellement non analysées et pouvant entraîner une dermatite de contact (inflammation de la peau d’origine allergique), comme certains colorants. Parallèlement, une étude biomédicale réalisée sur des patients qui avaient souffert d’irritations et d’allergies a permis d’identifier dans des vêtements et des chaussures des substances chimiques à l’origine de ces réactions (benzidine, chrome, nickel, certains types de résine…).
L’Anses émet des recommandations à l’adresse des autorités (réviser les seuils pour des substances comme le chrome et le nickel, maintenir voire renforcer la pression de contrôle…), des fabricants, et des consommateurs (toujours laver un vêtement neuf avant de le porter…).
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