NEWS Plusieurs facteurs augmentent le risque de développer une arthrose : c’est le cas de l’âge qui avance, des lésions articulaires traumatiques, ainsi que du surpoids. Mais d’autres sont plus inattendus, comme la pression artérielle.
Cette équipe suédoise (université de Göteborg) a utilisé des outils statistiques sophistiqués pour analyser une très grande quantité d’informations concernant quelque 400.000 personnes, dont 50.000 souffrant d’arthrose au genou (gonarthrose), à la hanche (coxarthrose) ou auxdoigts (arthrose digitale). Une série de variables ont été explorées afin d’établir une éventuelle association : indice de masse corporelle (IMC), densité minérale osseuse, « bon » (HDL) et « mauvais » (LDL) cholestérol, triglycérides, diabète, pression artérielle systolique et protéine C réactive (CRP - marqueur de l’inflammation).
Le résultat montre d’abord « une association robuste » entre l’IMC et le risque d’arthrose du genou et de la hanche, explique le Dr Philippe Tellier (Journal international de médecine). Deux autres variables ont été associées au risque de gonarthrose et de coxarthrose : la densité minérale osseuse mesurée au col du fémur et la pression artérielle systolique. On ne trouve pas de lien significatif pour les autres variables (facteurs métaboliques et CRP).
Le Dr Tellier commente : « Cette étude semble confirmer le rôle majeur de l’IMC dans l’arthrose aux articulations dites porteuses. Pour des raisons moins évidentes, il semble que la densité minérale osseuse et la pression artérielle systolique puissent également influencer le risque ».
Cette équipe suédoise (université de Göteborg) a utilisé des outils statistiques sophistiqués pour analyser une très grande quantité d’informations concernant quelque 400.000 personnes, dont 50.000 souffrant d’arthrose au genou (gonarthrose), à la hanche (coxarthrose) ou auxdoigts (arthrose digitale). Une série de variables ont été explorées afin d’établir une éventuelle association : indice de masse corporelle (IMC), densité minérale osseuse, « bon » (HDL) et « mauvais » (LDL) cholestérol, triglycérides, diabète, pression artérielle systolique et protéine C réactive (CRP - marqueur de l’inflammation).
Le résultat montre d’abord « une association robuste » entre l’IMC et le risque d’arthrose du genou et de la hanche, explique le Dr Philippe Tellier (Journal international de médecine). Deux autres variables ont été associées au risque de gonarthrose et de coxarthrose : la densité minérale osseuse mesurée au col du fémur et la pression artérielle systolique. On ne trouve pas de lien significatif pour les autres variables (facteurs métaboliques et CRP).
Le Dr Tellier commente : « Cette étude semble confirmer le rôle majeur de l’IMC dans l’arthrose aux articulations dites porteuses. Pour des raisons moins évidentes, il semble que la densité minérale osseuse et la pression artérielle systolique puissent également influencer le risque ».
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