dimanche 30 avril 2017

humour belge par Pierre Kroll

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La NanoCar Race, course de l'infiniment petit pour de giga-défis

http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/la-nanocar-race-course-de-l-infiniment-petit-pour-de-giga-defis_1903201.html

La molécule-voiture française sur la piste en or de la NanoCar Race.

Deux «applis» pour identifier les parasites de vos plantes

http://www.lefigaro.fr/jardin/2017/04/28/30008-20170428ARTFIG00056-deux-applis-pour-identifier-les-parasites-de-vos-plantes.php
Ces «chenilles» contorsionistes sont en fait des larves de tenthrède, un hyménoptère proche des guêpes. Elles commettent des dégâts considérables sur de nombreuses espèces de plantes dont elles dévorent les feuilles avec une rapidité étonnante.

Des ultrasons pour pister les téléphones

http://www.lemonde.fr/pixels/article/2017/04/28/des-ultrasons-pour-pister-les-telephones_5119198_4408996.html
FILE PHOTO:  An employee assists a customer to set-up M-Pesa money transfer servive on his handset inside a mobile phone care centre operated by Kenyan's telecom operator Safaricom; in the central business district of Kenya's capital Nairobi, May 11, 2016. REUTERS/Thomas Mukoya/File Photo

Nouveaux médicaments : la piste du dragon de Komodo

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NEWS Le sang du dragon de Komodo, la plus grande espèce de lézard, véhicule des substances qui pourraient être utilisées pour développer des nouveaux antibiotiques.

Face au phénomène de résistance croissante des bactéries à l’action des antibiotiques, les scientifiques recherchent des armes innovantes pour lutter contre ces microbes. Le règne animal leur offre un champ d’exploration immense. Une équipe américaine (George Mason University) s’est intéressée au dragon de Komodo, un varan vivant en Indonésie, où il évolue comme « top prédateur ». La salive du saurien contient une très forte concentration de bactéries pathogènes (véhiculées par les cadavres en décomposition dont il se nourrit et/ou par l'eau contaminée dont il s'abreuve ?), ce qui reflète la grande robustesse de son système immunitaire (celui qui lutte contre les agressions microbiennes).

Les chercheurs se sont penchés sur ces mécanismes, et ont identifié dans un premier temps une cinquantaine de nouveaux peptides antimicrobiens, des protéines aux propriétés antibiotiques. Huit ont été retenus pour des tests plus approfondis, et il s’avère que sept montrent une efficacité contre deux types de bactéries potentiellement très dangereuses pour l’être humain - Staphylococcus aureus (staphylocoque doré) et Pseudomonas aeruginosa -, et le huitième contre le seul Pseudomonas. Comme l’expliquent les auteurs, « cette étude démontre la puissance d’une pléthore de nouveaux antimicrobiens circulant dans le sang du dragon de Komodo, et leur potentiel dans la perspective du développement d’antibiotiques à usage humain ». La route est encore longue, mais une piste est dégagée…
Source: Journal of Proteome Research (http://pubs.acs.org/journal/jprobs
publié le : 30/04/2017 , mis à jour le 29/04/2017 

jeudi 20 avril 2017

Des traces de perturbateurs endocriniens retrouvées dans les cheveux d'enfants

http://www.lepoint.fr/sante/des-traces-de-perturbateurs-endocriniens-retrouvees-dans-les-cheveux-d-enfants-20-04-2017-2121042_40.php
Plusieurs produits ont été identifiés comme dangereux pour les enfants en raison de perturbateurs endocriniens.

Bavard comme un singe

http://www.lemonde.fr/sciences/video/2017/04/19/bavard-comme-un-singe_5113396_1650684.html

Quelles sont les propriétés du langage des singes ? C’est la question à laquelle l’éthologue Alban Lemasson (CNRS-université Rennes-1) consacre ses recherches. Pour étudier les vocalisations de la mone de Campbell, un petit cercopithèque forestier, il a collaboré avec le linguisticien Emmanuel Chemla (CNRS-ENS-EHESS). Comme l’explique cette vidéo proposée par Universcience.tv, leurs travaux confirment le caractère social du langage des singes et révèlent d’étonnants rapprochements avec la langue des humains.


Implants Essure : un comité d’experts étudie le rapport bénéfices et risques pour les patientes

http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/04/19/implants-essure-un-comite-d-experts-etudie-le-rapport-benefices-et-risques-pour-les-patientes_5113929_3244.html
Environ un million d’implants Essure ont été vendus dans le monde depuis 2011, dont 140 000 en France, selon le laboratoire Bayer HealthCare qui les fabrique.

Chouette, un astéroïde va passer tout près de la Terre

http://www.liberation.fr/sciences/2017/04/18/chouette-un-asteroide-va-passer-tout-pres-de-la-terre_1563474
La trajectoire de l'astéroïde 2014 JO25, qui passera à 1,8 million de kilomètres de la Terre le 19 avril.

mercredi 12 avril 2017

Les capteurs de mouvements de votre smartphone peuvent trahir votre code pin

http://datanews.levif.be/ict/actualite/les-capteurs-de-mouvements-de-votre-smartphone-peuvent-trahir-votre-code-pin/article-normal-644295.html
Les capteurs de mouvements de votre smartphone peuvent trahir votre code pin

L'interminable démantèlement de la centrale nucléaire de Brennilis

http://www.lepoint.fr/environnement/l-interminable-demantelement-de-la-centrale-nucleaire-de-brennilis-11-04-2017-2118829_1927.php
EDF, qui annonçait la libération du site de Brennilis pour 2018, évoque désormais 2032. 

Cancer de la prostate : un traitement très prometteur


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NEWS La combinaison entre un médicament dérivé d’une bactérie marine et le laser donne des résultats très positifs pour soigner le cancer prostatique.

Ce nouveau traitement est appelé thérapie photodynamique vasculaire ciblée. Le principe est expliqué dans Sciences et Avenir par le Pr David Khayat, chef du service de cancérologie de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris). Par imagerie médicale (IRM), le médecin définit précisément la localisation de la tumeur, puis il injecte un médicament - la padeliporfine - issu de bactéries qui évoluent au fond des mers. Inoffensives dans leur milieu naturel très sombre, ces bactéries manifestent une activité toxique lorsqu’elles sont exposées à la lumière. Le médecin active le médicament par laserpour détruire les tissus de la tumeur tout en épargnant les tissus sains.

Le Pr Khayat indique : « Des chercheurs européens ont testé le traitement à travers l’Europe chez des patients présentant un cancer de la prostate à faible risque. Les résultats montrent que 49% des patients qui ont bénéficié de ce traitement ont été guéris (rémission complète). De plus, deux ans après le traitement, aucun ne rapportait d’effet secondaire sur l’activité sexuelle ou urinaire. Ce nouveau traitement serait donc en mesure de traiter efficacement le cancer de la prostate à faible risque (cancer localisé, limité à la prostate) en limitant les effets secondaires ».
Source: The Lancet Oncology (www.thelancet.com/journals/lanonc/issue/current
publié le : 11/04/2017 , mis à jour le 10/04/2017