NEWS La combinaison entre un médicament dérivé d’une bactérie marine et le laser donne des résultats très positifs pour soigner le cancer prostatique.
Ce nouveau traitement est appelé thérapie photodynamique vasculaire ciblée. Le principe est expliqué dans Sciences et Avenir par le Pr David Khayat, chef du service de cancérologie de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris). Par imagerie médicale (IRM), le médecin définit précisément la localisation de la tumeur, puis il injecte un médicament - la padeliporfine - issu de bactéries qui évoluent au fond des mers. Inoffensives dans leur milieu naturel très sombre, ces bactéries manifestent une activité toxique lorsqu’elles sont exposées à la lumière. Le médecin active le médicament par laserpour détruire les tissus de la tumeur tout en épargnant les tissus sains.
Le Pr Khayat indique : « Des chercheurs européens ont testé le traitement à travers l’Europe chez des patients présentant un cancer de la prostate à faible risque. Les résultats montrent que 49% des patients qui ont bénéficié de ce traitement ont été guéris (rémission complète). De plus, deux ans après le traitement, aucun ne rapportait d’effet secondaire sur l’activité sexuelle ou urinaire. Ce nouveau traitement serait donc en mesure de traiter efficacement le cancer de la prostate à faible risque (cancer localisé, limité à la prostate) en limitant les effets secondaires ».
Ce nouveau traitement est appelé thérapie photodynamique vasculaire ciblée. Le principe est expliqué dans Sciences et Avenir par le Pr David Khayat, chef du service de cancérologie de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris). Par imagerie médicale (IRM), le médecin définit précisément la localisation de la tumeur, puis il injecte un médicament - la padeliporfine - issu de bactéries qui évoluent au fond des mers. Inoffensives dans leur milieu naturel très sombre, ces bactéries manifestent une activité toxique lorsqu’elles sont exposées à la lumière. Le médecin active le médicament par laserpour détruire les tissus de la tumeur tout en épargnant les tissus sains.
Le Pr Khayat indique : « Des chercheurs européens ont testé le traitement à travers l’Europe chez des patients présentant un cancer de la prostate à faible risque. Les résultats montrent que 49% des patients qui ont bénéficié de ce traitement ont été guéris (rémission complète). De plus, deux ans après le traitement, aucun ne rapportait d’effet secondaire sur l’activité sexuelle ou urinaire. Ce nouveau traitement serait donc en mesure de traiter efficacement le cancer de la prostate à faible risque (cancer localisé, limité à la prostate) en limitant les effets secondaires ».
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