Louise de Quengo, noble dame bretonne du XVIIe siècle, est furax. Quels sont ces malotrus qui viennent de forcer son cercueil de plomb reposant dans le couvent des jacobins de Rennes ? Qui sont-ils pour s'être emparés du cœur de son époux reposant à ses pieds dans un reliquaire de plomb, pour l'avoir foutue à poil, pour l'avoir matée sous toutes les coutures et, enfin, pour violer le secret médical en dévoilant les raisons de sa mort ? La réponse, nous l'avons. Les coupables de ce viol de sépulture sont des archéologues de l'Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives), oeuvrant pour le compte de Rennes Métropole.
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