http://www.tdg.ch/high-tech/facebook-acheve-construction-drone-solaire/story/16166351
vendredi 31 juillet 2015
jeudi 30 juillet 2015
mercredi 29 juillet 2015
mardi 28 juillet 2015
Massacre de dauphins aux îles Féroé : les images-chocs
Massacre géant de dauphins aux Îles Féroé : les... par LePoint
VIDÉO. L'ONG Sea Sheperd a filmé la mise à mort de plus de 200 dauphins sur les plages de l'archipel. Une "tradition" qui choque régulièrement.
PAR PAULINE TISSOT
Publié le - Modifié le | Le Point.fr
La beauté des images de sciences, ou quand le chercheur devient artiste
Le chercheur devenu artiste par CNRS
Avec nos partenaires CNRS Le Journal et Universcience.tv, nous vous proposons une série hebdomadaire de six courtes vidéos consacrées à des images de science dans lesquelles la recherche s’est alliée à l’esthétique. Comme l’explique le réalisateur de cette série, Jean-Marc Serelle, devant « une belle image, le scientifique est face à une difficulté : faut-il échapper à la beauté ou au contraire s’y soumettre ? (…) Certains scientifiques font de belles images très consciemment, parce qu’ils trouvent que la beauté est utile. D’autres scientifiques ont des questionnements très profonds sur l’origine du beau. (…) Un d’entre eux m’a expliqué qu’il ne cherchait pas à faire une image belle et envoûtante. Ce qu’il voulait, c’est qu’elle soit très utile scientifiquement. Or cette utilité-là rendait l’image belle… »
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/sciences/video/2015/07/24/quand-le-chercheur-devient-artiste_4697177_1650684.html#32wIQ7BzshBR64ug.99
lundi 27 juillet 2015
dimanche 26 juillet 2015
vendredi 24 juillet 2015
mercredi 22 juillet 2015
mardi 21 juillet 2015
lundi 20 juillet 2015
Kézako : l’étonnant fonctionnement des puces RFID
Les puces RFID (Radio Frequency IDentification en anglais pour identification radiofréquence) se démocratisent de plus en plus. Que cela soit dans les cartes de crédit sans contact, les passeports biométriques voire en tant qu’implant sous-cutanés, chaque jour de nouvelles applications se développent. Unisciel et l’université de Lille 1 se penchent sur leur fonctionnement au cours de cet épisode de Kézako.
19/07/2015 - Par Jonathan SARE, Futura-Sciences
Avec leur taille très réduite, les puces RFID se trouvent partout. Elles rendent le transfert d’information, le traçage ou encore l’identification très simple. Avec une portée actuelle de presque 200 m pour les plus performantes, elles permettent une lecture sans contact physique et ne nécessitent pas de batterie.
Une puce RFID se compose d’une antenne et d’une micropuce électronique, c’est elle qui stocke les informations. Le lecteur est quant à lui constitué d’une antenne émettrice et d’une autre réceptrice. Lors de la lecture, il émettra une fréquence particulière qui sera reçue par la puce RFID. Cette onde permet d’alimenter la puce en électricité et ainsi d’activer l’émission ou la sauvegarde d’informations qui seront par la suite récupérées par le lecteur.
© Unisciel
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Kézako ? est la série qui répond aux questions de science que tout le monde se pose. Sur un format court et détendu, de quelques minutes, la série aborde des questions de mathématiques, physique, chimie, informatique, sciences de la vie et de la terre. Produite par Unisciel et l’université Lille 1, réalisée par Maxime Beaugeois et Daniel Hennequin, elle aborde les principes et les applications de la science. Vous pouvez retrouver tous les épisodes sur kezako.unisciel.fr.
La soie, assez solide pour arrêter les balles !
Si l'on se fait tirer dessus, est-ce qu'il vaut mieux porter un gilet pare-balles en soie ou bien en acier ? La bonne solution n’est pas forcément celle que l’on imagine… C’est ce que nous explique Discovery Science au cours de cette vidéo.
19/07/2015 - Par Jonathan SARE, Futura-Sciences
Durant cet extrait nous allons tenter de déterminer quelle est la meilleure protection contre unearme à feu. Étonnamment, lors du test, la feuille d’acier d'un kilo n’a pas eu la résistanceescomptée. Elle s’est déformée et même percée, ne remplissant absolument pas son rôle protecteur.
Dans le cas de la soie, pour une masse identique, la balle est arrêtée. Grâce à sa structure nanométrique, ce matériau a des capacités inattendues. La soie est en effet cinq fois plus résistante que l’acier. Sa flexibilité et son élasticité exceptionnelles ont aussi participé à l’absorption du choc. L’énergie cinétique de la balle ainsi absorbée, le projectile ne passe pas au travers.
© Discovery Science
dimanche 19 juillet 2015
samedi 18 juillet 2015
vendredi 17 juillet 2015
Le pollen intervient-il dans la formation des nuages ?
C’est une théorie vraiment très étonnante : le pollen pourrait contribuer à la formation des nuages et dès lors influencer le climat.
Jusqu’à présent, le pollen intéressait relativement peu les climatologues, en raison de la taille des grains bien trop gros (tout est relatif...) pour être pris en considération dans le processus de formation des nuages. Mais une équipe américaine (université du Michigan) a voulu aller plus loin, en partant du principe qu’une fois dans l’air, les particules de pollen peuvent se fragmenter en de minuscules morceaux (ceux qui causent d’ailleurs les allergies en pénétrant dans l’organisme humain).
Question : ces petits grains pourraient-ils – eux - jouer un rôle dans la formation des nuages ? Comme l’explique Futura Sciences, les chercheurs ont réalisé des expériences avec du pollen de chêne, de cèdre, de bouleau ou encore de pin. Les grains ont été imbibés d’eau puis dispersés par spray dans une chambre spéciale de « fabrication des nuages ».
Première observation : quand le pollen est humide, il se rompt facilement, ce qui produit des particules de très petites dimensions. Ensuite, dans la chambre à nuages, les chercheurs constatent que les particules de pollen agissent comme des noyaux de condensation, avec la formation de gouttelettes dans des conditions d’humidité similaires à celles que l’on retrouve dans l’atmosphère. Pour faire court, poursuivent les spécialistes, dans certaines circonstances, le pollen des arbres pourrait constituer un paramètre biologique intervenant dans la formation des nuages, et de là exerçant une influence sur le climat. Une autre interaction possible, donc, entre les végétaux et l’atmosphère.
Jusqu’à présent, le pollen intéressait relativement peu les climatologues, en raison de la taille des grains bien trop gros (tout est relatif...) pour être pris en considération dans le processus de formation des nuages. Mais une équipe américaine (université du Michigan) a voulu aller plus loin, en partant du principe qu’une fois dans l’air, les particules de pollen peuvent se fragmenter en de minuscules morceaux (ceux qui causent d’ailleurs les allergies en pénétrant dans l’organisme humain).
Question : ces petits grains pourraient-ils – eux - jouer un rôle dans la formation des nuages ? Comme l’explique Futura Sciences, les chercheurs ont réalisé des expériences avec du pollen de chêne, de cèdre, de bouleau ou encore de pin. Les grains ont été imbibés d’eau puis dispersés par spray dans une chambre spéciale de « fabrication des nuages ».
Première observation : quand le pollen est humide, il se rompt facilement, ce qui produit des particules de très petites dimensions. Ensuite, dans la chambre à nuages, les chercheurs constatent que les particules de pollen agissent comme des noyaux de condensation, avec la formation de gouttelettes dans des conditions d’humidité similaires à celles que l’on retrouve dans l’atmosphère. Pour faire court, poursuivent les spécialistes, dans certaines circonstances, le pollen des arbres pourrait constituer un paramètre biologique intervenant dans la formation des nuages, et de là exerçant une influence sur le climat. Une autre interaction possible, donc, entre les végétaux et l’atmosphère.
publié le : 17-07-2015
Source: Geophysical Research Letters (http://agupubs.onlinelibrary.wiley.com/agu/issue/10.1002/grl.v42.11)
Certaines étoiles sont cannibales
Certaines étoiles sont cannibales
Belga
Mis en ligne
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Des astronomes ont découvert un système unique de deux étoiles où l’une «mange» l’autre.
Des astronomes ont découvert un système unique de deux étoiles où l’une «mange» l’autre, annonce l’Université de Cambridge, une observation pleine de promesses pour la compréhension de la mort des étoiles.
«C’est la première fois que nous observons une étoile naine blanche super dense volant le gaz de son binôme en le cannibalisant», a précisé l’Université de Cambridge qui dirige l’étude.
Le système binaire, nommé Gaia14aae, est situé à environ 730 années-lumière dans la constellation de Draco. Observé par le satellite Gaia de l’Agence Spatiale Européenne en Août 2014, les deux étoiles se sont singularisées en devenant cinq fois plus brillantes en l’espace de 24 heures.
Pour les astronomes, cette luminosité soudaine est due au fait que la naine blanche - si dense qu’une cuillerée à café de sa matière pèserait le poids d’un éléphant - est en train de dévorer son compagnon, pourtant plus gros qu’elle.
Les effets gravitationnels de la naine blanche très dense sont si forts qu’ils forcent son compagnon à se rapprocher d’elle.
Autre fait rare, Gaia14aae est un système binaire à éclipses. Le plan de révolution des deux astres se trouve sensiblement aligné avec la terre et les deux étoiles s’éclipsent mutuellement à peu près toutes les 50 minutes.
«Il est rare de voir un système binaire si bien aligné», a déclaré Heather Campbell de l’Institut d’astronomie de Cambridge. «Du coup, nous pouvons mesurer ce système avec une grande précision et comprendre comment il est fait et comment il a évolué»ajoute-t-il.
Les astronomes ne savent pas si l’étoile naine va complètement dévorer son compagnon ou si elles vont provoquer une supernova, une gigantesque explosion marquant la mort d’une étoile.
jeudi 16 juillet 2015
mercredi 15 juillet 2015
mardi 14 juillet 2015
Comment fonctionnent les feux d’artifice ?
EN IMAGES
Dans certaines villes de France, les feux d’artifice célébrant la fête nationale vont être tirés dès ce lundi 13 juillet. A cette occasion, une vidéo proposée par notre partenaire Universcience se plonge dans la physique et la chimie
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