C’est une théorie vraiment très étonnante : le pollen pourrait contribuer à la formation des nuages et dès lors influencer le climat.
Jusqu’à présent, le pollen intéressait relativement peu les climatologues, en raison de la taille des grains bien trop gros (tout est relatif...) pour être pris en considération dans le processus de formation des nuages. Mais une équipe américaine (université du Michigan) a voulu aller plus loin, en partant du principe qu’une fois dans l’air, les particules de pollen peuvent se fragmenter en de minuscules morceaux (ceux qui causent d’ailleurs les allergies en pénétrant dans l’organisme humain).
Question : ces petits grains pourraient-ils – eux - jouer un rôle dans la formation des nuages ? Comme l’explique Futura Sciences, les chercheurs ont réalisé des expériences avec du pollen de chêne, de cèdre, de bouleau ou encore de pin. Les grains ont été imbibés d’eau puis dispersés par spray dans une chambre spéciale de « fabrication des nuages ».
Première observation : quand le pollen est humide, il se rompt facilement, ce qui produit des particules de très petites dimensions. Ensuite, dans la chambre à nuages, les chercheurs constatent que les particules de pollen agissent comme des noyaux de condensation, avec la formation de gouttelettes dans des conditions d’humidité similaires à celles que l’on retrouve dans l’atmosphère. Pour faire court, poursuivent les spécialistes, dans certaines circonstances, le pollen des arbres pourrait constituer un paramètre biologique intervenant dans la formation des nuages, et de là exerçant une influence sur le climat. Une autre interaction possible, donc, entre les végétaux et l’atmosphère.
Jusqu’à présent, le pollen intéressait relativement peu les climatologues, en raison de la taille des grains bien trop gros (tout est relatif...) pour être pris en considération dans le processus de formation des nuages. Mais une équipe américaine (université du Michigan) a voulu aller plus loin, en partant du principe qu’une fois dans l’air, les particules de pollen peuvent se fragmenter en de minuscules morceaux (ceux qui causent d’ailleurs les allergies en pénétrant dans l’organisme humain).
Question : ces petits grains pourraient-ils – eux - jouer un rôle dans la formation des nuages ? Comme l’explique Futura Sciences, les chercheurs ont réalisé des expériences avec du pollen de chêne, de cèdre, de bouleau ou encore de pin. Les grains ont été imbibés d’eau puis dispersés par spray dans une chambre spéciale de « fabrication des nuages ».
Première observation : quand le pollen est humide, il se rompt facilement, ce qui produit des particules de très petites dimensions. Ensuite, dans la chambre à nuages, les chercheurs constatent que les particules de pollen agissent comme des noyaux de condensation, avec la formation de gouttelettes dans des conditions d’humidité similaires à celles que l’on retrouve dans l’atmosphère. Pour faire court, poursuivent les spécialistes, dans certaines circonstances, le pollen des arbres pourrait constituer un paramètre biologique intervenant dans la formation des nuages, et de là exerçant une influence sur le climat. Une autre interaction possible, donc, entre les végétaux et l’atmosphère.
publié le : 17-07-2015
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