http://www.lepoint.fr/astronomie/le-retour-d-une-etonnante-relique-de-la-formation-de-la-terre-29-04-2016-2035959_1925.php
samedi 30 avril 2016
Images panoramiques de paysages rocheux de Mars
http://www.lemonde.fr/cosmos/video/2016/04/28/images-panoramiques-de-paysages-rocheux-de-mars_4910585_1650695.html
La NASA a publié des images panoramique de Mars prises par le robot Curiosity. Pour obtenir ce panorama, l’agence aérospatiale américaine a compilé des dizaine d’images prises le 4 avril du sommet d’un plateau qui se trouve à l’intérieur du cratère Gale. Curiosity explore Mars depuis 2012 avec l’objectif de déterminer si l’environnement de la planète a dans le passé permis l’apparition de la vie.
La NASA a publié des images panoramique de Mars prises par le robot Curiosity. Pour obtenir ce panorama, l’agence aérospatiale américaine a compilé des dizaine d’images prises le 4 avril du sommet d’un plateau qui se trouve à l’intérieur du cratère Gale. Curiosity explore Mars depuis 2012 avec l’objectif de déterminer si l’environnement de la planète a dans le passé permis l’apparition de la vie.
vendredi 29 avril 2016
Le Saphonian, une éolienne innovante inspirée des voiliers antiques
http://www.lemonde.fr/planete/video/2016/04/28/le-saphonian-une-eolienne-innovante-inspiree-des-voiliers-antiques_4910425_3244.html
Une entreprise tunisienne, Saphon Energy, s’est inspirée des voiliers antiques pour créer une éolienne sans pales, le Saphonian, qui tire son nom d’une divinité adorée autrefois des Carthaginois. Moins bruyante que les éoliennes avec pales, la voile du Saphonian capte l’énergie cinétique du vent et la transforme en énergie mécanique. Cette énergie, grâce à des pistons générateurs de pression hydraulique, peut être stockée ou convertie en électricité.
Une entreprise tunisienne, Saphon Energy, s’est inspirée des voiliers antiques pour créer une éolienne sans pales, le Saphonian, qui tire son nom d’une divinité adorée autrefois des Carthaginois. Moins bruyante que les éoliennes avec pales, la voile du Saphonian capte l’énergie cinétique du vent et la transforme en énergie mécanique. Cette énergie, grâce à des pistons générateurs de pression hydraulique, peut être stockée ou convertie en électricité.
jeudi 28 avril 2016
mercredi 27 avril 2016
mardi 26 avril 2016
Eolien : le Conseil d'Etat demande le remboursement des intérêts perçus
Dans une décision du 15 avril, le Conseil d'Etat a mis en demeure l'Etat de procéder au recouvrement des intérêts associés aux aides versées au titre de l'arrêté tarifaire du 17 novembre 2008, qui fixait les conditions d'achat d'électricité d'origine éolienne. Les producteurs s'estiment sanctionnés pour une erreur de l'Etat lui-même.
La Commission européenne avait été notifiée trop tardivement de l'arrêté tarifaire du 17 novembre 2008 par la France. Ce simple vice de procédure pourrait avoir des conséquences financières pour la filière éolienne. Le Conseil d'Etat a, en effet, demandé à l'Etat de procéder au recouvrement des intérêts associés aux aides versées à ce titre aux producteurs d'énergie. France Energie Eolienne (FEE) estime que c'est toute la filière qui s'en trouve lésée : "Dans cet imbroglio juridique, les producteurs éoliens français devront s'acquitter auprès de l'Etat du remboursement des intérêts de retard sur les aides d'Etat perçues au titre de l'arrêté tarifaire sur la période 2008-2014".
Une astreinte de 10.000 euros par jour
Au-delà de cette décision, pénalisante, FEE souligne que la complexité administrative française risque de compliquer encore les choses : "Concrètement, à compter de la notification de l'arrêté tarifaire auprès de la Commission européenne, l'Etat ne disposera que d'un délai de six mois pour procéder au recouvrement, délai au-delà duquel il sera soumis à une astreinte de 10.000 euros par jour de retard". Or, l'opération de récupération des sommes demandées nécessitera "un lourd travail administratif", faisant craindre un alourdissement des sanctions.
Simplifications et réductions des délais toujours demandés
En parallèle, alors que la 4e Conférence environnementale vient de démarrer, FEE réclame également "un cap plus clair sur le développement des énergies renouvelables". La filière estime que les objectifs d'installations de turbines devraient être réévalués, pour atteindre les 24-27 GW terrestres, les 12 GW offshore et les 6 GW flottants, avant 2023. "Objectifs rehaussés, simplification du cadre réglementaire de l'éolien, accélération du traitement des recours contre les projets, réduction des délais de raccordement et assouplissement de certaines contraintes militaires…", telles sont les revendications récurrentes de FEE.
lundi 25 avril 2016
dimanche 24 avril 2016
samedi 23 avril 2016
vendredi 22 avril 2016
Eolien : le Québec stoppe le gâchis
Publié le 22 avril 2016 dans Énergie et matières premières
Les Québécois auront une facture salée pour des éoliennes dont ils n’avaient nullement besoin. La situation est similaire en France.
Par André Bertin.
Après la Bavière, le Québec aussi semble faire machine arrière concernant les énergies renouvelables.
Avec ses grands barrages, le Québec produit beaucoup d’électricité. Traditionnellement, les surplus étaient vendus aux États-Unis, mais avec l’arrivée du gaz de schiste, ce débouché s’est progressivement fermé. Malgré cela, son ancien gouvernement s’était laissé « convaincre » par le lobby éolien de payer des subventions à l’industrie du vent, moyennant quoi des éoliennes étaient apparues dans « La Belle Province », défigurant les paysages les uns après les autres.
Mais au fil des années, la note est devenue salée, et le prix de l’électricité s’est mis à grimper, malgré les surplus. Le nouveau gouvernement québécois, faisant preuve de bon sens, vient enfin d’arrêter le gâchis : les nouveaux parcs éoliens n’auront plus droit aux subventions, prix garantis et autres faveurs. Résultat : le lobby a beau huiler les gonds de la porte qui vient de se fermer, l’éolien est bel et bien gelé au Québec.
Reste la note à payer pour les subventions accordées antérieurement, qui sont garanties pour 25 ans. On lit dans Le Journal de Montréal du 9 de ce mois :
« Les quatre millions de clients d’Hydro-Québec devront absorber une facture de 23 milliards $ d’ici 2042 pour les parcs éoliens qui existent déjà, selon ce qu’a appris le Bureau d’enquête. »1
Le calcul est simple : cela fait 5 750 dollars par client, pour des éoliennes dont les Québécois n’avaient nullement besoin. La situation est similaire en France, sauf qu’en région Poitou-Charente on a rien appris des expériences malheureuses, et qu’on continue à gaspiller de plus belle : 24 centimes d’euros le kWh garantis aux parcs éoliens en mer, contre 4 à 5 centimes sur le marché libre. Comme si les Français avaient les moyens de payer l’électricité 5 fois son prix…
Souhaitons que quelqu’un mette sous les yeux des responsables cette réflexion empreinte de sagesse, qui nous vient d’outre-Atlantique
Bilingues : un cerveau vraiment différent
NEWS Les bilingues présentent une configuration cérébrale particulière par rapport aux personnes qui ne parlent qu’une seule langue, et cela leur donne un réel avantage.
Ce que constate d’abord cette équipe américaine (Penn State), en recourant à l’imagerie médicale, c’est que « les deux langues sont actives simultanément et continuellement dans le cerveau des bilingues ». Et ceci donc même quand ils ne sont accaparés que par une seule de ces langues. En fait, « elles sont en compétition l’une avec l’autre », chacune ayant développé un « réseau cérébral » qui lui est propre, mais avec des passerelles entre les deux. « Ceci signifie qu’il n’est pas possible « d’éteindre » une langue pour ne se concentrer que sur l’autre, puisqu’elles sont constamment en concurrence ».
Ce qui est au moins tout aussi intéressant, c’est que cette configuration accorde un réel avantage, en ce sens que les bilingues doivent jongler en permanence entre les langues, ce qui modèle les réseaux cérébraux qui les soutiennent, mais pas seulement. « Les répercussions du bilinguisme ne sont pas limitées au langage », poursuivent les spécialistes. « Elles reflètent une réorganisation des réseaux cérébraux, avec des conséquences sur la manière dont les bilingues font face à la concurrence cognitive de manière plus générale ». Pour faire court, à la capacité de passer d’une tâche à l’autre ou de négocier plusieurs tâches en même temps, en fonction du contexte.
Les chercheurs ajoutent qu’il s’agit d’une observation générale, avec des différences individuelles qui peuvent être importantes, et associées notamment à la pratique (intensive ou pas) du bilinguisme, ainsi qu’aux caractéristiques d’acquisition de la seconde langue (bilinguisme dès le très jeune âge, apprentissage tardif… ?).
Ce que constate d’abord cette équipe américaine (Penn State), en recourant à l’imagerie médicale, c’est que « les deux langues sont actives simultanément et continuellement dans le cerveau des bilingues ». Et ceci donc même quand ils ne sont accaparés que par une seule de ces langues. En fait, « elles sont en compétition l’une avec l’autre », chacune ayant développé un « réseau cérébral » qui lui est propre, mais avec des passerelles entre les deux. « Ceci signifie qu’il n’est pas possible « d’éteindre » une langue pour ne se concentrer que sur l’autre, puisqu’elles sont constamment en concurrence ».
Ce qui est au moins tout aussi intéressant, c’est que cette configuration accorde un réel avantage, en ce sens que les bilingues doivent jongler en permanence entre les langues, ce qui modèle les réseaux cérébraux qui les soutiennent, mais pas seulement. « Les répercussions du bilinguisme ne sont pas limitées au langage », poursuivent les spécialistes. « Elles reflètent une réorganisation des réseaux cérébraux, avec des conséquences sur la manière dont les bilingues font face à la concurrence cognitive de manière plus générale ». Pour faire court, à la capacité de passer d’une tâche à l’autre ou de négocier plusieurs tâches en même temps, en fonction du contexte.
Les chercheurs ajoutent qu’il s’agit d’une observation générale, avec des différences individuelles qui peuvent être importantes, et associées notamment à la pratique (intensive ou pas) du bilinguisme, ainsi qu’aux caractéristiques d’acquisition de la seconde langue (bilinguisme dès le très jeune âge, apprentissage tardif… ?).
Source: American Association for the Advancement of Science (www.aaas.org)
publié le : 22/04/2016 , mis à jour le 21/04/2016
publié le : 22/04/2016 , mis à jour le 21/04/2016
jeudi 21 avril 2016
mercredi 20 avril 2016
mardi 19 avril 2016
lundi 18 avril 2016
dimanche 17 avril 2016
samedi 16 avril 2016
vendredi 15 avril 2016
Inscription à :
Articles (Atom)