http://www.lemonde.fr/pollution/article/2016/05/30/les-voitures-d-avant-1997-interdites-de-circulation-dans-paris-a-partir-du-1er-juillet_4929269_1652666.html
mardi 31 mai 2016
lundi 30 mai 2016
dimanche 29 mai 2016
samedi 28 mai 2016
Peut-on faire de la voile dans l’espace ?
http://www.lemonde.fr/cosmos/video/2016/05/25/peut-on-faire-de-la-voile-dans-l-espace_4925907_1650695.html
En 1963, Arthur C. Clarke, célèbre écrivain de science-fiction britannique, imaginait une course de voiliers solaires dans sa nouvelle Le vent qui vient du Soleil. Aujourd’hui, comme l’explique cette vidéo proposée par universcience.tv, la science a rattrapé la fiction et plusieurs projets ont pour objectif d’envoyer dans l’espace des vaisseaux propulsés par les photons de notre étoile.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/cosmos/video/2016/05/25/peut-on-faire-de-la-voile-dans-l-espace_4925907_1650695.html#g44tohlXSCVM5YA6.99
En 1963, Arthur C. Clarke, célèbre écrivain de science-fiction britannique, imaginait une course de voiliers solaires dans sa nouvelle Le vent qui vient du Soleil. Aujourd’hui, comme l’explique cette vidéo proposée par universcience.tv, la science a rattrapé la fiction et plusieurs projets ont pour objectif d’envoyer dans l’espace des vaisseaux propulsés par les photons de notre étoile.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/cosmos/video/2016/05/25/peut-on-faire-de-la-voile-dans-l-espace_4925907_1650695.html#g44tohlXSCVM5YA6.99
vendredi 27 mai 2016
La NASA a lancé un nouveau « super ballon »
http://www.lemonde.fr/cosmos/video/2016/05/25/la-nasa-a-lance-un-nouveau-super-ballon_4926359_1650695.html
Pour étudier l’atmosphère, la NASA vient de lancer pour la cinquième fois un « super ballon ». L’appareil va naviguer à 33 km de la terre et doit enregistrer les sons et les rayons qui traversent l’atmosphère.
Pour étudier l’atmosphère, la NASA vient de lancer pour la cinquième fois un « super ballon ». L’appareil va naviguer à 33 km de la terre et doit enregistrer les sons et les rayons qui traversent l’atmosphère.
mercredi 25 mai 2016
Comment fonctionne le centre antidouleur de notre cerveau ?
NEWS Notre cerveau dispose d’une petite entité de neurones très spécialisés qui interviennent pour atténuer la sensation douloureuse : ce mécanisme est à présent mieux compris.
Un coup de marteau sur les doigts, cela fait mal, mais la douleur aurait été encore plus forte sansl’action très rapide de l’ocytocine, une hormone (un neuropeptide, en fait) impliquée dans un éventail de processus (de la contraction de l’utérus lors de l’accouchement à la régulation des interactions sociales). Ici, une équipe internationale a étudié son rôle dans la perception de la douleur, et la manière dont se produit sa libération.
En cas de douleur aiguë (brûlure, pincement, coupure…), les terminaisons nerveuses transmettent l’information – attention, alerte ! – aux neurones de la moelle épinière. Ceux-ci interprètent l’intensité du message, le codent, et envoient à leur tour le signal vers les neurones du cerveau. Et en particulier à une population d’une trentaine de petites cellules ultra-spécialisées situées dans l’hypothalamus : c’est cette entité que viennent d’identifier les chercheurs.
Etape suivante : ces petits neurones activent une famille de gros neurones (appelés neurones magnocellulaires), toujours localisés dans l’hypothalamus, qui décident alors de libérer l’ocytocine dans la circulation sanguine, afin d’atténuer le signal douloureux qui continue à être envoyé au cerveau. En parallèle, les petits neurones disposent de prolongements (axones) en connexion directe avec la moelle épinière, ce qui leur permet d’activer la libération d’ocytocine au cœur de la « tour de contrôle » de la douleur.
En somme, un double mécanisme (sang et moelle épinière) pour un double effet antidouleur. Tout ceci est un peu compliqué, mais ce qu’il faut surtout retenir, c’est que la compréhension de ce processus dégage des pistes prometteuses dans le traitement des douleurs pathologiques. L’équipe poursuit ses recherches afin de déterminer cette fois l’implication de ce petit groupe de neurones dans la libération d’ocytocine pendant l’allaitement maternel, et dans certains comportements sexués.
Un coup de marteau sur les doigts, cela fait mal, mais la douleur aurait été encore plus forte sansl’action très rapide de l’ocytocine, une hormone (un neuropeptide, en fait) impliquée dans un éventail de processus (de la contraction de l’utérus lors de l’accouchement à la régulation des interactions sociales). Ici, une équipe internationale a étudié son rôle dans la perception de la douleur, et la manière dont se produit sa libération.
En cas de douleur aiguë (brûlure, pincement, coupure…), les terminaisons nerveuses transmettent l’information – attention, alerte ! – aux neurones de la moelle épinière. Ceux-ci interprètent l’intensité du message, le codent, et envoient à leur tour le signal vers les neurones du cerveau. Et en particulier à une population d’une trentaine de petites cellules ultra-spécialisées situées dans l’hypothalamus : c’est cette entité que viennent d’identifier les chercheurs.
Etape suivante : ces petits neurones activent une famille de gros neurones (appelés neurones magnocellulaires), toujours localisés dans l’hypothalamus, qui décident alors de libérer l’ocytocine dans la circulation sanguine, afin d’atténuer le signal douloureux qui continue à être envoyé au cerveau. En parallèle, les petits neurones disposent de prolongements (axones) en connexion directe avec la moelle épinière, ce qui leur permet d’activer la libération d’ocytocine au cœur de la « tour de contrôle » de la douleur.
En somme, un double mécanisme (sang et moelle épinière) pour un double effet antidouleur. Tout ceci est un peu compliqué, mais ce qu’il faut surtout retenir, c’est que la compréhension de ce processus dégage des pistes prometteuses dans le traitement des douleurs pathologiques. L’équipe poursuit ses recherches afin de déterminer cette fois l’implication de ce petit groupe de neurones dans la libération d’ocytocine pendant l’allaitement maternel, et dans certains comportements sexués.
Source: Neuron (www.cell.com/neuron/home)
publié le : 25/05/2016 , mis à jour le 24/05/2016
publié le : 25/05/2016 , mis à jour le 24/05/2016
mardi 24 mai 2016
lundi 23 mai 2016
Comment désherber sans produits chimiques
A.-S.L.
Mis en ligne
Mis en ligne
Liseron, chiendent, chénopode, chélidoine, lierre, mousse… Pour les amateurs de jardins à la française, cette végétation sauvage est synonyme de cauchemar.
Quel que soit le point de vue du jardinier, l’usage de désherbants chimiques n’est pas inévitable. Tour d’horizon.
Le désherbage manuel. Le plus simple et le moins coûteux pour désherber un jardin pas trop étendu, à condition de s’y prendre bien à temps, dès le début du printemps à la binette, au sarcloir ou au couteau… Le tout nécessitant de l’huile de coude et de la persévérance. Paresseux, s’abstenir.
L’asphyxie. Il s’agit d’empêcher la croissance de la plante en la privant de lumière. Cette méthode peut être utilisée contre certaines plantes à multiplication végétative dont les organes souterrains ne peuvent être éliminés par arrachage manuel. Le mieux est d’utiliser un tissu géotextile, qui laisse passer l’air et l’eau.
Le désherbage thermique à l’eau chaude. Le choc assuré pour les plantes : une température supérieure à 70ºC entraîne la destruction des cellules et des protéines qui entraînent sa destruction en quelques heures. Des machines existent pour les professionnels des espaces verts. Mais pour le jardinier amateur, il suffit de verser l’eau de cuisson encore très chaude sur les herbes à éliminer. Et le tour est joué.
Le désherbage thermique au gaz. Pas de quartier pour la plante indésirable, carbonisée en une seconde. La température de 1000ºC de la flamme (gaz ou infrarouge) ne laisse qu’un tas de cendres. L’inconvénient de la méthode est d’utiliser de l’énergie fossile et de dégager du CO2 lors de la combustion du gaz.
Le paillage. On couvre le sol par un élément naturel ou artificiel, qui va retenir l’humidité du sol en été et limiter le développement des intrus. Les solutions biodégradables sont à privilégier pour la vie du sol.http://www.lesoir.be/1216363/article/demain-terre/environnement/2016-05-20/comment-desherber-sans-produits-chimiques
dimanche 22 mai 2016
Solar Impulse 2 a atterri dans l'Ohio
http://www.tdg.ch/monde/solar-impulse-2-atterri-ohio/story/31429078
L'avion solaire suisse Solar Impulse 2 a bouclé dans la nuit de samedi à dimanche à Dayton, en Ohio, aux Etats-Unis, la douzième étape de son tour du monde. Il s'agissait de l'avant-dernier vol avant la traversée de l'océan Atlantique.
L'avion solaire suisse Solar Impulse 2 a bouclé dans la nuit de samedi à dimanche à Dayton, en Ohio, aux Etats-Unis, la douzième étape de son tour du monde. Il s'agissait de l'avant-dernier vol avant la traversée de l'océan Atlantique.
samedi 21 mai 2016
vendredi 20 mai 2016
jeudi 19 mai 2016
Comment se portent nos abeilles ?
http://www.lemonde.fr/sciences/video/2016/05/18/comment-se-portent-nos-abeilles_4921675_1650684.html
Comment se portent les abeilles en France ? Dans cette vidéo proposée par Universcience.tv, Vincent Bretagnole, écologue au Centre d’études biologiques de Chizé (CNRS) et Martin Giurfa, spécialiste en cognition animale au Centre de recherches sur la cognition animale (CRCA – CNRS – université Toulouse-III-Paul-Sabatier), font le point sur la santé des abeilles domestiques et sauvages dans un contexte agricole qui est loin de leur être favorable.
Comment se portent les abeilles en France ? Dans cette vidéo proposée par Universcience.tv, Vincent Bretagnole, écologue au Centre d’études biologiques de Chizé (CNRS) et Martin Giurfa, spécialiste en cognition animale au Centre de recherches sur la cognition animale (CRCA – CNRS – université Toulouse-III-Paul-Sabatier), font le point sur la santé des abeilles domestiques et sauvages dans un contexte agricole qui est loin de leur être favorable.
mercredi 18 mai 2016
Smartphone : téléphoner pendant qu’il charge, mauvais pour le sperme ?
NEWS Ce n’est pas la première fois que le téléphone mobile est soupçonné de nuire aux spermatozoïdes. De nouvelles pièces sont versées au dossier.
En ligne de mire : les ondes électromagnétiques émises par les portables. Des chercheurs israéliens (Carmel Medical Center) ont analysé le sperme d’hommes qui consultaient en raison de doutes (fondés ou non) sur leur fertilité. Un questionnaire a permis d’évaluer une série de paramètres portant essentiellement sur le mode de vie, et en particulier sur l’utilisation du téléphone mobile.
Premier point : l’utilisation du portable plus d’une heure par jour est associée à un risque sensiblement plus élevé de présenter une concentration anormale (trop faible) de spermatozoïdes. Deux : le fait de téléphoner alors que l’appareil est en charge constitue un facteur de risque supplémentaire (combien d’usagers ne laissent-ils pas leur portable constamment en charge, notamment au bureau ?). Trois : cette association est particulièrement forte chez les fumeurs (pourquoi... ?). Quatre : on ne constate pas d’influence sur la forme des spermatozoïdes et leur capacité de déplacement (motilité). Et cinq : le fait de porter son appareil près de l’aine (dans une poche avant du pantalon…) ne semble pas avoir d’effet significatif.
Les auteurs de cette étude en déduisent que « certains modes d’utilisation du téléphone portable peuvent nuire à la concentration de sperme », mais ils ajoutent, et on pouvait s'en douter, que d’autres recherches sont nécessaires pour confirmer tout cela…
En ligne de mire : les ondes électromagnétiques émises par les portables. Des chercheurs israéliens (Carmel Medical Center) ont analysé le sperme d’hommes qui consultaient en raison de doutes (fondés ou non) sur leur fertilité. Un questionnaire a permis d’évaluer une série de paramètres portant essentiellement sur le mode de vie, et en particulier sur l’utilisation du téléphone mobile.
Premier point : l’utilisation du portable plus d’une heure par jour est associée à un risque sensiblement plus élevé de présenter une concentration anormale (trop faible) de spermatozoïdes. Deux : le fait de téléphoner alors que l’appareil est en charge constitue un facteur de risque supplémentaire (combien d’usagers ne laissent-ils pas leur portable constamment en charge, notamment au bureau ?). Trois : cette association est particulièrement forte chez les fumeurs (pourquoi... ?). Quatre : on ne constate pas d’influence sur la forme des spermatozoïdes et leur capacité de déplacement (motilité). Et cinq : le fait de porter son appareil près de l’aine (dans une poche avant du pantalon…) ne semble pas avoir d’effet significatif.
Les auteurs de cette étude en déduisent que « certains modes d’utilisation du téléphone portable peuvent nuire à la concentration de sperme », mais ils ajoutent, et on pouvait s'en douter, que d’autres recherches sont nécessaires pour confirmer tout cela…
Source: Reproductive BioMedicine Online (www.rbmojournal.com)
mardi 17 mai 2016
lundi 16 mai 2016
dimanche 15 mai 2016
samedi 14 mai 2016
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