http://www.tdg.ch/high-tech/geants-controlent-plus-information/story/17027605
jeudi 30 juin 2016
mercredi 29 juin 2016
La mauvaise guerre de Greenpeace contre le glyphosate | Contrepoints
mardi 28 juin 2016
La Chine lance la fusée Longue Marche-7
http://www.lemonde.fr/cosmos/video/2016/06/27/la-chine-lance-la-fusee-longue-marche-7_4958877_1650695.html
La Chine a lancé samedi 25 juin sa première fusée de nouvelle génération, baptisée Longue Marche-7, à partir de son nouveau pas de tir à Wenchang (province de Hainan).
Cette fusée à deux étages doit devenir le principal lanceur de satellites chinois. Elle peut mettre en orbite jusqu’à 13,5 tonnes de charge utile, une fois et demie plus qu’auparavant. Le module transporté par la fusée est revenu sur Terre dimanche dans le désert de Mongolie-Intérieure, après 13 orbites.
Pékin entend rattraper son retard sur les Etats-Unis et l’Europe, mais aussi sur l’Inde, devenue en 2014 le premier pays d’Asie à atteindre Mars avec une sonde placée en orbite autour de la Planète rouge. La Chine a envoyé son premier homme dans l’espace en 2003 et espère inaugurer sa propre station spatiale autour de 2022, selon l’agence de presse Xinhua.
E-cigarette : que devient la fumée ?
NEWS Comment se transforme la vapeur exhalée par l’utilisateur de la cigarette électronique et présente-t-elle un risque pour le non usager ?
On sait que la fumée de cigarette classique expose à un risque toxique (tabagisme passif) et que les particules qu’elle contient s’incrustent partout (meubles, tissus…) pendant une longue période (exposition tertiaire). Qu’en est-il de la vapeur de l’e-cigarette ? Une équipe suisse s’est penchée sur la question, en réalisant l’une des toutes premières expériences sur cet aspect. Le « vapotage » a été confié à un dispositif électronique placé dans une pièce de laboratoire close équipée de capteurs. Toute une série de modèles de cigarette électronique et divers e-liquides ont été testés.
Que constate-t-on ? D’abord une augmentation rapide des concentrations de particules pendant les 2 à 5 secondes qui suivent le dégagement de vapeur, suivie par une baisse tout aussi rapide, pour rejoindre endéans les 10 secondes les taux mesurés avant l’émission. Quand on parle de particules, ceci renvoie en fait aux gouttelettes de vapeur liquide, qui s’évaporent donc extrêmement vite. Ensuite, les relevés effectués une demi-heure après l’émission de fumée n’ont pas montré d’accumulation de particules dans la pièce (sans aération, rappelons-le). Autrement dit, poursuivent les chercheurs, la cigarette électronique ne compromettrait pas la qualité de l’air ambiant. D’autres études sont nécessaires pour vérifier cette conclusion.
On sait que la fumée de cigarette classique expose à un risque toxique (tabagisme passif) et que les particules qu’elle contient s’incrustent partout (meubles, tissus…) pendant une longue période (exposition tertiaire). Qu’en est-il de la vapeur de l’e-cigarette ? Une équipe suisse s’est penchée sur la question, en réalisant l’une des toutes premières expériences sur cet aspect. Le « vapotage » a été confié à un dispositif électronique placé dans une pièce de laboratoire close équipée de capteurs. Toute une série de modèles de cigarette électronique et divers e-liquides ont été testés.
Que constate-t-on ? D’abord une augmentation rapide des concentrations de particules pendant les 2 à 5 secondes qui suivent le dégagement de vapeur, suivie par une baisse tout aussi rapide, pour rejoindre endéans les 10 secondes les taux mesurés avant l’émission. Quand on parle de particules, ceci renvoie en fait aux gouttelettes de vapeur liquide, qui s’évaporent donc extrêmement vite. Ensuite, les relevés effectués une demi-heure après l’émission de fumée n’ont pas montré d’accumulation de particules dans la pièce (sans aération, rappelons-le). Autrement dit, poursuivent les chercheurs, la cigarette électronique ne compromettrait pas la qualité de l’air ambiant. D’autres études sont nécessaires pour vérifier cette conclusion.
lundi 27 juin 2016
dimanche 26 juin 2016
samedi 25 juin 2016
Démonstration d’un skateboard volant
http://www.lemonde.fr/sciences/video/2016/06/22/demonstration-d-un-skateboard-volant_4955850_1650684.html
Il y a quelques jours, les visiteurs de la Cité des sciences et de l’industrie ont pu voir toutes sortes d’objets volants dans le cadre du festival « Drôle de drone ». Comme le montre cette vidéo proposée par Universcience.tv, le plus spectaculaire fut ce « skateboard » volant sur laquelle le Canadien Alexandre Duru, cofondateur d’Omni Hoverboards, a plané au-dessus des bassins entourant la Cité.
Il y a quelques jours, les visiteurs de la Cité des sciences et de l’industrie ont pu voir toutes sortes d’objets volants dans le cadre du festival « Drôle de drone ». Comme le montre cette vidéo proposée par Universcience.tv, le plus spectaculaire fut ce « skateboard » volant sur laquelle le Canadien Alexandre Duru, cofondateur d’Omni Hoverboards, a plané au-dessus des bassins entourant la Cité.
vendredi 24 juin 2016
jeudi 23 juin 2016
mercredi 22 juin 2016
mardi 21 juin 2016
Piqûre de méduse : l’eau chaude, c’est le meilleur réflexe
NEWS Comment faut-il réagir en cas de piqûre de méduse ? Les avis sont très partagés, mais il semble bien que la meilleure solution consiste à utiliser de l’eau bien chaude.
Notons d’abord que chaque année, les piqûres de méduse causent beaucoup plus de décès que les attaques de requin (quinze à trente fois plus, selon les estimations). « Il s’agit donc d’un important problème de santé publique, et l’optimisation des soins de premiers secours est essentielle », note en préambule cette équipe américaine (université de Hawaï). Bien entendu, toutes les méduses ne présentent pas le même danger, mais il reste que la plupart font très mal quand elles piquent. Faut-il uriner sur la plaie, l’asperger d’eau froide, la frotter avec des glaçons, mettre du vinaigre, de la salive… ? Non.
Les chercheurs notent que la littérature scientifique considère que le venin et les toxines des méduses deviennent instables (se dégradent) avec la chaleur et à des températures qui ne présentent pas de risque pour la santé humaine. L’analyse d’une série d’études réalisées sur le sujet concorde : l’application de glace (ou d’eau froide) ne présente pas d’intérêt dans cette situation, pas plus que l’urine. La bonne solution, c’est d’immerger la partie touchée dans de l’eau (très) chaude. Ceci soulage la douleur et atténue les risques pour la santé associés à ces piqûres.
Avant cela, rincez d'abord à l’eau de mer (en frottant délicatement), et pour éliminer les derniers filaments, recouvrez la plaie avec du sable, laissez sécher, retirez doucement le sable (et les filaments) avec un carton rigide, puis rincez à nouveau (toujours à l’eau de mer). En cas de doute, il est évidemment nécessaire de se tourner sans tarder vers un médecin.
Notons d’abord que chaque année, les piqûres de méduse causent beaucoup plus de décès que les attaques de requin (quinze à trente fois plus, selon les estimations). « Il s’agit donc d’un important problème de santé publique, et l’optimisation des soins de premiers secours est essentielle », note en préambule cette équipe américaine (université de Hawaï). Bien entendu, toutes les méduses ne présentent pas le même danger, mais il reste que la plupart font très mal quand elles piquent. Faut-il uriner sur la plaie, l’asperger d’eau froide, la frotter avec des glaçons, mettre du vinaigre, de la salive… ? Non.
Les chercheurs notent que la littérature scientifique considère que le venin et les toxines des méduses deviennent instables (se dégradent) avec la chaleur et à des températures qui ne présentent pas de risque pour la santé humaine. L’analyse d’une série d’études réalisées sur le sujet concorde : l’application de glace (ou d’eau froide) ne présente pas d’intérêt dans cette situation, pas plus que l’urine. La bonne solution, c’est d’immerger la partie touchée dans de l’eau (très) chaude. Ceci soulage la douleur et atténue les risques pour la santé associés à ces piqûres.
Avant cela, rincez d'abord à l’eau de mer (en frottant délicatement), et pour éliminer les derniers filaments, recouvrez la plaie avec du sable, laissez sécher, retirez doucement le sable (et les filaments) avec un carton rigide, puis rincez à nouveau (toujours à l’eau de mer). En cas de doute, il est évidemment nécessaire de se tourner sans tarder vers un médecin.
Source: Toxins (www.mdpi.com/journal/toxins)
publié le : 21/06/2016 , mis à jour le 20/06/2016
publié le : 21/06/2016 , mis à jour le 20/06/2016
lundi 20 juin 2016
dimanche 19 juin 2016
samedi 18 juin 2016
Recycler les déchets électroniques avec... de l’eau à 500 °C
http://www.lemonde.fr/sciences/video/2016/06/17/recycler-les-dechets-electroniques-avec-de-l-eau-a-500-c_4953064_1650684.html
Recycler nos déchets électroniques avec..... par
Nos déchets électroniques valent littéralement de l’or. Mais isoler les métaux rares et précieux qu’ils contiennent n’est pas simple, car ces éléments sont inclus les uns dans les autres et dans des gangues en plastique. Comme l’explique cette vidéo proposée par CNRS, Le Journal, pour les dégager, une équipe de chercheurs français teste un nouveau protocole utilisant les propriétés étonnantes de l’eau quand elle se trouve dans un état extrême dit « supercritique ».
Recycler nos déchets électroniques avec..... par
Nos déchets électroniques valent littéralement de l’or. Mais isoler les métaux rares et précieux qu’ils contiennent n’est pas simple, car ces éléments sont inclus les uns dans les autres et dans des gangues en plastique. Comme l’explique cette vidéo proposée par CNRS, Le Journal, pour les dégager, une équipe de chercheurs français teste un nouveau protocole utilisant les propriétés étonnantes de l’eau quand elle se trouve dans un état extrême dit « supercritique ».
vendredi 17 juin 2016
Des « toits sauvages » pour reverdir la ville
http://www.lemonde.fr/sciences/video/2016/06/15/des-toits-sauvages-pour-reverdir-la-ville_4950671_1650684.html
Certaines grandes métropoles, comme Paris, manquent cruellement d’espaces verts. Que ce soit pour des raisons climatiques ou pour augmenter la biodiversité urbaine, des chercheurs tentent de trouver des solutions astucieuses pour reverdir la ville tout en imaginant la cité résiliente du futur. Objectif : inventer un nouvel écosystème urbain. Dans cette vidéo proposée par Universcience.tv, Frédéric Madre, écologue et co-fondateur de Topager, et Philippe Clergeau, expert-consultant en écologie urbaine (MNHN), présentent une expérience unique : les toitures végétales sauvages.
Certaines grandes métropoles, comme Paris, manquent cruellement d’espaces verts. Que ce soit pour des raisons climatiques ou pour augmenter la biodiversité urbaine, des chercheurs tentent de trouver des solutions astucieuses pour reverdir la ville tout en imaginant la cité résiliente du futur. Objectif : inventer un nouvel écosystème urbain. Dans cette vidéo proposée par Universcience.tv, Frédéric Madre, écologue et co-fondateur de Topager, et Philippe Clergeau, expert-consultant en écologie urbaine (MNHN), présentent une expérience unique : les toitures végétales sauvages.
jeudi 16 juin 2016
mercredi 15 juin 2016
mardi 14 juin 2016
lundi 13 juin 2016
dimanche 12 juin 2016
samedi 11 juin 2016
vendredi 10 juin 2016
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