NEWS Comment se transforme la vapeur exhalée par l’utilisateur de la cigarette électronique et présente-t-elle un risque pour le non usager ?
On sait que la fumée de cigarette classique expose à un risque toxique (tabagisme passif) et que les particules qu’elle contient s’incrustent partout (meubles, tissus…) pendant une longue période (exposition tertiaire). Qu’en est-il de la vapeur de l’e-cigarette ? Une équipe suisse s’est penchée sur la question, en réalisant l’une des toutes premières expériences sur cet aspect. Le « vapotage » a été confié à un dispositif électronique placé dans une pièce de laboratoire close équipée de capteurs. Toute une série de modèles de cigarette électronique et divers e-liquides ont été testés.
Que constate-t-on ? D’abord une augmentation rapide des concentrations de particules pendant les 2 à 5 secondes qui suivent le dégagement de vapeur, suivie par une baisse tout aussi rapide, pour rejoindre endéans les 10 secondes les taux mesurés avant l’émission. Quand on parle de particules, ceci renvoie en fait aux gouttelettes de vapeur liquide, qui s’évaporent donc extrêmement vite. Ensuite, les relevés effectués une demi-heure après l’émission de fumée n’ont pas montré d’accumulation de particules dans la pièce (sans aération, rappelons-le). Autrement dit, poursuivent les chercheurs, la cigarette électronique ne compromettrait pas la qualité de l’air ambiant. D’autres études sont nécessaires pour vérifier cette conclusion.
On sait que la fumée de cigarette classique expose à un risque toxique (tabagisme passif) et que les particules qu’elle contient s’incrustent partout (meubles, tissus…) pendant une longue période (exposition tertiaire). Qu’en est-il de la vapeur de l’e-cigarette ? Une équipe suisse s’est penchée sur la question, en réalisant l’une des toutes premières expériences sur cet aspect. Le « vapotage » a été confié à un dispositif électronique placé dans une pièce de laboratoire close équipée de capteurs. Toute une série de modèles de cigarette électronique et divers e-liquides ont été testés.
Que constate-t-on ? D’abord une augmentation rapide des concentrations de particules pendant les 2 à 5 secondes qui suivent le dégagement de vapeur, suivie par une baisse tout aussi rapide, pour rejoindre endéans les 10 secondes les taux mesurés avant l’émission. Quand on parle de particules, ceci renvoie en fait aux gouttelettes de vapeur liquide, qui s’évaporent donc extrêmement vite. Ensuite, les relevés effectués une demi-heure après l’émission de fumée n’ont pas montré d’accumulation de particules dans la pièce (sans aération, rappelons-le). Autrement dit, poursuivent les chercheurs, la cigarette électronique ne compromettrait pas la qualité de l’air ambiant. D’autres études sont nécessaires pour vérifier cette conclusion.
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