http://www.lepoint.fr/sante/ibuprofene-attention-a-l-insuffisance-cardiaque-29-09-2016-2072262_40.php
vendredi 30 septembre 2016
Nos ancêtres les Sarrasins…
http://www.lemonde.fr/archeologie/video/2016/09/29/nos-ancetres-les-sarrasins_5005683_1650751.html
Nos ancêtres les Gaulois ? Mais aussi Romains, Francs, Vikings, Burgondes, Wisigoths et… Sarrasins. En 2005, la découverte dans un parking de Nîmes de curieuses sépultures a permis de vérifier la présence de musulmans d’origine nord-africaine dès les incursions sarrasines du VIIIe siècle.
Premier épisode d’une série de cinq vidéos sur les traces laissées en France par les civilisations arabo-musulmanes, série proposée par Universcience.tv et extraite du webdoc « Nos ancêtres Sarrasins » visible en intégralité ici.
jeudi 29 septembre 2016
mardi 27 septembre 2016
Déodorant ou anti-transpirant : comment choisir son camp ?
http://www.lepoint.fr/sante/deodorant-ou-anti-transpirant-comment-choisir-son-camp-27-09-2016-2071676_40.php
Si certains produits cosmétiques comportant des sels d'aluminium sont cancérigènes, il faut faire attention à ne pas tout confondre...
PAR CÉLINE COUTEAU* ET LAURENCE COIFFARD**, THECONVERSATION.COMlundi 26 septembre 2016
Un ancien des HUG crie haro sur les déos à l'alu
Cancer du seinLe professeur Sappino, ancien chef de la cancérologie aux HUG, publie avec le docteur Mandriota une étude dans Journal of Cancer.
dimanche 25 septembre 2016
samedi 24 septembre 2016
vendredi 23 septembre 2016
jeudi 22 septembre 2016
mercredi 21 septembre 2016
mardi 20 septembre 2016
lundi 19 septembre 2016
dimanche 18 septembre 2016
samedi 17 septembre 2016
vendredi 16 septembre 2016
jeudi 15 septembre 2016
mercredi 14 septembre 2016
Votre cerveau fonctionne-t-il en « mode SMS » ?
NEWS L’envoi de textos s’appuierait sur une activité cérébrale bien particulière, baptisée « texting rhythm ». En tout cas, ce serait le cas chez un utilisateur sur cinq.
Pourquoi 20% ? Qu’ont-ils de particulier ? Les chercheurs l’ignorent, mais ils poursuivent leurs travaux pour essayer de le déterminer. La première phase a réuni des personnes âgées de 18 à 71 ans (36 ans en moyenne), suivies pendant 16 mois par une équipe américaine (Mayo Clinic). A intervalles réguliers, leur activité cérébrale a été analysée par électroencéphalographie (EEG) pendant des activités différentes : écritured’un SMS avec un smartphone, appel avec le même appareil, mouvements des doigts et des yeux dans d'autres circonstances, tests cognitifs (mémoire, raisonnement…) et de calcul, tâches de langage…
Les ondes cérébrales ont été comparées et les spécialistes ont donc isolé, chez 20% des participants, une configuration bien particulière et reproductible – « texting rhythm » - pendant la rédaction d’un SMS. Ces ondes étaient absentes lors des autres activités proposées dans cette expérience, et leur manifestation était indépendante de l’âge et du sexe, notamment. « Nos résultats suggèrent une nouvelle forme d’altération neurophysiologique des circuits cérébraux, spécifiquement associée à cette technologie et déclenchée uniquement par l’usage de ces appareils électroniques », indiquent les chercheurs.
La question consiste à comprendre les mécanismes qui interviennent dans ce processus, et la raison pour laquelle il n’a été observé que chez une personne sur cinq. Peut-être des nuances n’ont-elles pas été détectées chez les autres ? On ajoutera qu’au-delà de la mise en évidence de ce phénomène, les auteurs soulignent une conséquence pratique : la configuration « texting rhythm » (ou une variante) serait incompatible avec des tâches comme la conduite automobile. Autrement dit, c'est la confirmation qu'il est impossible de faire les deux en même temps, en tout cas en toute sécurité…
Pourquoi 20% ? Qu’ont-ils de particulier ? Les chercheurs l’ignorent, mais ils poursuivent leurs travaux pour essayer de le déterminer. La première phase a réuni des personnes âgées de 18 à 71 ans (36 ans en moyenne), suivies pendant 16 mois par une équipe américaine (Mayo Clinic). A intervalles réguliers, leur activité cérébrale a été analysée par électroencéphalographie (EEG) pendant des activités différentes : écritured’un SMS avec un smartphone, appel avec le même appareil, mouvements des doigts et des yeux dans d'autres circonstances, tests cognitifs (mémoire, raisonnement…) et de calcul, tâches de langage…
Les ondes cérébrales ont été comparées et les spécialistes ont donc isolé, chez 20% des participants, une configuration bien particulière et reproductible – « texting rhythm » - pendant la rédaction d’un SMS. Ces ondes étaient absentes lors des autres activités proposées dans cette expérience, et leur manifestation était indépendante de l’âge et du sexe, notamment. « Nos résultats suggèrent une nouvelle forme d’altération neurophysiologique des circuits cérébraux, spécifiquement associée à cette technologie et déclenchée uniquement par l’usage de ces appareils électroniques », indiquent les chercheurs.
La question consiste à comprendre les mécanismes qui interviennent dans ce processus, et la raison pour laquelle il n’a été observé que chez une personne sur cinq. Peut-être des nuances n’ont-elles pas été détectées chez les autres ? On ajoutera qu’au-delà de la mise en évidence de ce phénomène, les auteurs soulignent une conséquence pratique : la configuration « texting rhythm » (ou une variante) serait incompatible avec des tâches comme la conduite automobile. Autrement dit, c'est la confirmation qu'il est impossible de faire les deux en même temps, en tout cas en toute sécurité…
Source: Epilepsy & Behavior (www.journals.elsevier.com/epilepsy-and-behavior)
mardi 13 septembre 2016
lundi 12 septembre 2016
dimanche 11 septembre 2016
samedi 10 septembre 2016
vendredi 9 septembre 2016
jeudi 8 septembre 2016
Smartphone dans le lit : un effet très étrange
NEWS Le fait d’utiliser son smartphone dans le lit peut-il déclencher une cécité temporaire ? C’est ce que suggère un médecin britannique, mais cela ne présente pas de danger.
Tout est parti du cas de deux femmes (22 et 40 ans) qui se sont présentées dans un hôpital londonien en se plaignant de troubles soudains de la vision alors qu’elles étaient tranquillement allongées dans leur lit. A plusieurs reprises, elles ont eu l’impression de devenir « aveugles » d’un œil pendant quelques minutes (jusqu’à un quart d’heure). Les patientes ont été soumises à une série d’examens, et rien d’anormal n’a été décelé. Mystère donc, jusqu’au moment où le médecin leur a demandé de décrire très précisément les circonstances dans lesquelles cette « cécité temporaire » était survenue.
L’une et l’autre ont expliqué que peu avant, elles avaient consulté leur smartphone alors qu’elles étaient allongées sur le côté, dans la pénombre ou l'obscurité, un œil collé à l’oreiller et l’autre fixant l’écran. Une position peu confortable, mais soit. A partir de là, le praticien a émis l’hypothèse que l’œil regardant le smartphone était « lumino-adapté », alors que celui qui était bloqué par l’oreiller était « obscuro-adapté ». Et lorsque les deux yeux ont recommencé à travailler ensemble, l’œil « lumino-adapté » a mis du temps à s’habituer à l’obscurité, ce qui a créé un décalage visuel, et cette impression de cécité.
Pour vérifier cela, des médecins ont eux-mêmes réalisé un test de « vision monoculaire », avec le smartphone placé à une distance d’un bras allongé. Ils confirment que la sensibilité visuelle dans l’obscurité est notablement réduite après avoir fixé l’écran, et que la récupération demande plusieurs minutes. Ils ajoutent que ce phénomène ne prête pas à conséquence, puisqu’il ne laisse aucune séquelle. Enfin, concluent-ils, « ceci devrait rassurer les personnes confrontées à ce souci, qui peut créer de l’anxiété, et leur éviter des examens médicaux coûteux et inutiles ».
Tout est parti du cas de deux femmes (22 et 40 ans) qui se sont présentées dans un hôpital londonien en se plaignant de troubles soudains de la vision alors qu’elles étaient tranquillement allongées dans leur lit. A plusieurs reprises, elles ont eu l’impression de devenir « aveugles » d’un œil pendant quelques minutes (jusqu’à un quart d’heure). Les patientes ont été soumises à une série d’examens, et rien d’anormal n’a été décelé. Mystère donc, jusqu’au moment où le médecin leur a demandé de décrire très précisément les circonstances dans lesquelles cette « cécité temporaire » était survenue.
L’une et l’autre ont expliqué que peu avant, elles avaient consulté leur smartphone alors qu’elles étaient allongées sur le côté, dans la pénombre ou l'obscurité, un œil collé à l’oreiller et l’autre fixant l’écran. Une position peu confortable, mais soit. A partir de là, le praticien a émis l’hypothèse que l’œil regardant le smartphone était « lumino-adapté », alors que celui qui était bloqué par l’oreiller était « obscuro-adapté ». Et lorsque les deux yeux ont recommencé à travailler ensemble, l’œil « lumino-adapté » a mis du temps à s’habituer à l’obscurité, ce qui a créé un décalage visuel, et cette impression de cécité.
Pour vérifier cela, des médecins ont eux-mêmes réalisé un test de « vision monoculaire », avec le smartphone placé à une distance d’un bras allongé. Ils confirment que la sensibilité visuelle dans l’obscurité est notablement réduite après avoir fixé l’écran, et que la récupération demande plusieurs minutes. Ils ajoutent que ce phénomène ne prête pas à conséquence, puisqu’il ne laisse aucune séquelle. Enfin, concluent-ils, « ceci devrait rassurer les personnes confrontées à ce souci, qui peut créer de l’anxiété, et leur éviter des examens médicaux coûteux et inutiles ».
Source: The New England Journal of Medicine (www.nejm.org)
mardi 6 septembre 2016
lundi 5 septembre 2016
dimanche 4 septembre 2016
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