NEWS L’implication d’un proche dans la surveillance de l’apparition d’un cancer de la peau est déterminante pour une détection à un stade précoce.
Comme l’explique Le Quotidien du Médecin, la promotion de l’auto-examen régulier de la peau constitue une des mesures clés pour renforcer le dépistage du cancer cutané. Et quand on dit auto-examen, c'est au sens large, puisque ceci implique aussi l’entourage. Il est possible de se surveiller seul, mais l’intervention d’un tiers (partenaire, membre de la famille, ami…) représente un atout supplémentaire, sachant qu’une certaine préparation est nécessaire.
Une équipe américaine (université Northwestern) a suivi pendant deux ans quatre groupes constitués chacun par un patient avec un antécédent de mélanome et un « partenaire de surveillance » choisi dans l’entourage. Les trois premiers groupes ont reçu une formation préalable d’une demi-heure sur les signes d’alerte pouvant aider à reconnaître un mélanome, soit par un échange avec un formateur, soit en consultant une documentation sur papier, soit par une présentation sur une tablette électronique. Le Quotidien du Médecin ajoute que pour consolider leurs connaissances et assurer le suivi, les participants ont rencontré régulièrement un dermatologue (tous les quatre mois). Dans le dernier groupe, aucune formation ou consigne n’a été dispensée.
Au terme de l’étude, il s’avère que les mélanomes – et plus globalement les cancers de la peau - n’ont été identifiés (75% à un stade précoce) par les patients ou leur « partenaire de surveillance » que dans les trois groupes « formés », alors que les personnes du quatrième groupe n’ont réussi à en détecter aucun. Ceci indique qu’avec une formation initiale, la surveillance et l’implication de l’entourage peuvent favoriser la détection précoce d’un mélanome ou d’une récidive, poursuit Le Quotidien du Médecin.
Les chercheurs expliquent que « la prochaine étape visera à déterminer s’il peut être aussi efficace de dispenser ce programme de formation sur Internet sans nécessité de rencontrer un dermatologue ». Ce que l’on peut déjà confirmer, et ceci vaut en particulier pour les personnes à risque, c’est que l’auto-surveillance, personnelle et/ou avec l’aide d’un proche, présente un intérêt majeur, pour ne pas dire crucial.
Comme l’explique Le Quotidien du Médecin, la promotion de l’auto-examen régulier de la peau constitue une des mesures clés pour renforcer le dépistage du cancer cutané. Et quand on dit auto-examen, c'est au sens large, puisque ceci implique aussi l’entourage. Il est possible de se surveiller seul, mais l’intervention d’un tiers (partenaire, membre de la famille, ami…) représente un atout supplémentaire, sachant qu’une certaine préparation est nécessaire.
Une équipe américaine (université Northwestern) a suivi pendant deux ans quatre groupes constitués chacun par un patient avec un antécédent de mélanome et un « partenaire de surveillance » choisi dans l’entourage. Les trois premiers groupes ont reçu une formation préalable d’une demi-heure sur les signes d’alerte pouvant aider à reconnaître un mélanome, soit par un échange avec un formateur, soit en consultant une documentation sur papier, soit par une présentation sur une tablette électronique. Le Quotidien du Médecin ajoute que pour consolider leurs connaissances et assurer le suivi, les participants ont rencontré régulièrement un dermatologue (tous les quatre mois). Dans le dernier groupe, aucune formation ou consigne n’a été dispensée.
Au terme de l’étude, il s’avère que les mélanomes – et plus globalement les cancers de la peau - n’ont été identifiés (75% à un stade précoce) par les patients ou leur « partenaire de surveillance » que dans les trois groupes « formés », alors que les personnes du quatrième groupe n’ont réussi à en détecter aucun. Ceci indique qu’avec une formation initiale, la surveillance et l’implication de l’entourage peuvent favoriser la détection précoce d’un mélanome ou d’une récidive, poursuit Le Quotidien du Médecin.
Les chercheurs expliquent que « la prochaine étape visera à déterminer s’il peut être aussi efficace de dispenser ce programme de formation sur Internet sans nécessité de rencontrer un dermatologue ». Ce que l’on peut déjà confirmer, et ceci vaut en particulier pour les personnes à risque, c’est que l’auto-surveillance, personnelle et/ou avec l’aide d’un proche, présente un intérêt majeur, pour ne pas dire crucial.
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