http://www.lepoint.fr/culture/dans-la-famille-maths-je-demande-24-02-2017-2107130_3.php
mardi 28 février 2017
Santé: les vaccins sur le banc des accusés
http://www.lesoir.be/1449584/article/soirmag/soir-mag-sante/2017-02-27/sante-vaccins-sur-banc-%E2%80%85des-accuses
Si vous êtes pour ou contre la vaccination: prenez le temps de lire cet article et de vous informer
Si vous êtes pour ou contre la vaccination: prenez le temps de lire cet article et de vous informer
lundi 27 février 2017
Cancer du sein : bientôt des chiens dépisteurs ?
http://www.lepoint.fr/sante/cancer-du-sein-bientot-des-chiens-depisteurs-25-02-2017-2107409_40.php
Dépister le cancer du sein grâce à l'odorat de chiens spécialement dressés ? Même les scientifiques de l'Académie de médecine s'y intéressent. C'est à la demande de sa commission de cancérologie qu'Isabelle Fromantin, de l'Institut Curie, est allée présenter les résultats de la première étape de l'étude Kdog entamée en avril 2016. Et ceux-ci sont positifs. « Il s'agit d'une étude extrêmement sérieuse, un très beau travail scientifique qui a suscité l'enthousiasme », reconnaît le professeur Richard Villet, patron de la commission de l'Académie de médecine. « Et nous espérons bien que l'année prochaine nous sera présentée une étude clinique complète validant définitivement cette hypothèse. »
Dépister le cancer du sein grâce à l'odorat de chiens spécialement dressés ? Même les scientifiques de l'Académie de médecine s'y intéressent. C'est à la demande de sa commission de cancérologie qu'Isabelle Fromantin, de l'Institut Curie, est allée présenter les résultats de la première étape de l'étude Kdog entamée en avril 2016. Et ceux-ci sont positifs. « Il s'agit d'une étude extrêmement sérieuse, un très beau travail scientifique qui a suscité l'enthousiasme », reconnaît le professeur Richard Villet, patron de la commission de l'Académie de médecine. « Et nous espérons bien que l'année prochaine nous sera présentée une étude clinique complète validant définitivement cette hypothèse. »
dimanche 26 février 2017
L'alimentation contre le vieillissement du cerveau
NEWS L’adhésion au régime méditerranéen (ou crétois) freine le processus naturel d’atrophie cérébrale, ralentissant ainsi le vieillissement du cerveau.
On connaît les bienfaits de ce régime alimentaire pour la santé cardiovasculaire et métabolique(diabète, en particulier). De précédentes études avaient aussi montré qu’il contribuait à préserver les facultés cognitives (mémoire, raisonnement, attention, prise de décision…), altérées avec l’âge qui avance. Ces recherches-ci, réalisées par une équipe écossaise (université d’Edimbourg), ont porté sur le volume cérébral.
Des seniors ont été suivis pendant trois ans, durant lesquels ils ont renseigné périodiquement leurs habitudes alimentaires. L’adhésion faible, moyenne ou forte aux grands principes du régime méditerranéen a été évaluée. Celui-ci repose, rappelons-le, sur des apports abondants en fruits et en légumes, l’huile d’olive comme matière grasse principale, du poisson plutôt que de la viande rouge, relativement peu de produits laitiers, ou encore une consommation très modérée d’alcool (en privilégiant le vin rouge). A l’entame et à la fin du suivi, les participants ont été soumis à une résonance magnétique (IRM) cérébrale.
Les observations montrent qu’un faible respect du régime est prédictif d’une atrophie plus importante du cerveau, et ceci après avoir tenu compte d’une série de variables (statut socio-économique, état de santé général…). L’effet protecteur du régime méditerranéen est qualifié de « significatif », puisqu’une adhésion forte ralentirait de moitié le déclin associé au vieillissement. Ceci pourrait permettre de comprendre les bienfaits déjà observés du régime crétois en termes de préservation des facultés cognitives. Quant à l’explication de cet effet bénéfique, les auteurs pensent qu’il n’est pas lié à l’un ou l’autre composant du régime, mais sans doute à leur combinaison, à leur interaction.
On connaît les bienfaits de ce régime alimentaire pour la santé cardiovasculaire et métabolique(diabète, en particulier). De précédentes études avaient aussi montré qu’il contribuait à préserver les facultés cognitives (mémoire, raisonnement, attention, prise de décision…), altérées avec l’âge qui avance. Ces recherches-ci, réalisées par une équipe écossaise (université d’Edimbourg), ont porté sur le volume cérébral.
Des seniors ont été suivis pendant trois ans, durant lesquels ils ont renseigné périodiquement leurs habitudes alimentaires. L’adhésion faible, moyenne ou forte aux grands principes du régime méditerranéen a été évaluée. Celui-ci repose, rappelons-le, sur des apports abondants en fruits et en légumes, l’huile d’olive comme matière grasse principale, du poisson plutôt que de la viande rouge, relativement peu de produits laitiers, ou encore une consommation très modérée d’alcool (en privilégiant le vin rouge). A l’entame et à la fin du suivi, les participants ont été soumis à une résonance magnétique (IRM) cérébrale.
Les observations montrent qu’un faible respect du régime est prédictif d’une atrophie plus importante du cerveau, et ceci après avoir tenu compte d’une série de variables (statut socio-économique, état de santé général…). L’effet protecteur du régime méditerranéen est qualifié de « significatif », puisqu’une adhésion forte ralentirait de moitié le déclin associé au vieillissement. Ceci pourrait permettre de comprendre les bienfaits déjà observés du régime crétois en termes de préservation des facultés cognitives. Quant à l’explication de cet effet bénéfique, les auteurs pensent qu’il n’est pas lié à l’un ou l’autre composant du régime, mais sans doute à leur combinaison, à leur interaction.
Source: Neurology (www.neurology.org)
publié le : 26/02/2017 , mis à jour le 25/02/2017
publié le : 26/02/2017 , mis à jour le 25/02/2017
samedi 25 février 2017
vendredi 24 février 2017
jeudi 23 février 2017
Singapour : un phénomène rare surnommé à tort « arc-en-ciel de feu »
http://www.lemonde.fr/sciences/video/2017/02/21/singapour-un-phenomene-rare-surnomme-a-tort-arc-en-ciel-de-feu_5083292_1650684.html
A Singapour, un phénomène optique et atmosphérique rare a été observé, le 21 février. Sur les réseaux sociaux, il a rapidement été surnommé « arc-en-ciel de feu ». Cependant, il s’agit d’un arc circumhorizontal.
Contrairement à un arc-en-ciel, il ne se produit pas quand les rayons du soleil viennent frapper les gouttes de pluie. Il se produit au niveau de nuages de très haute altitude, les cirrus. Ce halo coloré apparaît quand les rayons du soleil se réfractent sur des cristaux de glace plats de forme hexagonale et qui se trouvent à l’horizontale.
mercredi 22 février 2017
Facebook : devez-vous faire une petite pause ?
NEWS Certains utilisateurs du réseau social Facebook auraient tout intérêt à déconnecter pendant quelques jours : une pause de temps en temps leur ferait le plus grand bien.
L’étude a concerné un millier d’usagers (moyenne d’âge de 34 ans), aux profils très divers (nombre d’amis, fréquence et durée de connexion, comportement sur le réseau social…). Une équipe danoise (université de Copenhague) les a répartis en deux groupes : les uns ont continué à utiliser Facebook comme d’habitude, alors que les autres ne s’y sont pas connectés pendant une semaine (c’est en tout cas ce qui leur avait été demandé, environ 10% ont quand même craqué à l’une ou l’autre reprise).
Un questionnaire à remplir tous les jours a mis en évidence un double phénomène dans le « groupe pause » : une augmentation du sentiment de bien-être et un renforcement des émotions positives. Mais, mais… Cette amélioration concerne surtout trois grands types d’utilisateurs : les usagers - très - intensifs, les passifs (consultation de Facebook sans vraiment interagir) et ceux qui ont tendance à… envier les autres et à être agacés par leurs interventions (statuts, commentaires, photos…).
Dans le cas d’une utilisation disons « normale », la pause n’influence pas vraiment le bien-être, sans doute parce qu’il n’est pas affecté. Pour les trois catégories problématiques, les auteurs de cette étude conseillent de prendre de la distance à intervalles réguliers, et de profiter de l’occasion pour s’interroger sur ce que devrait être leur bon usage de Facebook…
L’étude a concerné un millier d’usagers (moyenne d’âge de 34 ans), aux profils très divers (nombre d’amis, fréquence et durée de connexion, comportement sur le réseau social…). Une équipe danoise (université de Copenhague) les a répartis en deux groupes : les uns ont continué à utiliser Facebook comme d’habitude, alors que les autres ne s’y sont pas connectés pendant une semaine (c’est en tout cas ce qui leur avait été demandé, environ 10% ont quand même craqué à l’une ou l’autre reprise).
Un questionnaire à remplir tous les jours a mis en évidence un double phénomène dans le « groupe pause » : une augmentation du sentiment de bien-être et un renforcement des émotions positives. Mais, mais… Cette amélioration concerne surtout trois grands types d’utilisateurs : les usagers - très - intensifs, les passifs (consultation de Facebook sans vraiment interagir) et ceux qui ont tendance à… envier les autres et à être agacés par leurs interventions (statuts, commentaires, photos…).
Dans le cas d’une utilisation disons « normale », la pause n’influence pas vraiment le bien-être, sans doute parce qu’il n’est pas affecté. Pour les trois catégories problématiques, les auteurs de cette étude conseillent de prendre de la distance à intervalles réguliers, et de profiter de l’occasion pour s’interroger sur ce que devrait être leur bon usage de Facebook…
Source: Cyberpsychology, Behavior, and Social Networking (http://online.liebertpub.com/loi/cyber)
publié le : 22/02/2017 , mis à jour le 21/02/2017
publié le : 22/02/2017 , mis à jour le 21/02/2017
mardi 21 février 2017
lundi 20 février 2017
dimanche 19 février 2017
samedi 18 février 2017
Embarquement immédiat pour les étoiles
http://www.lemonde.fr/cosmos/video/2017/02/17/embarquement-immediat-pour-les-etoiles_5081430_1650695.html
Sofia est un Boeing 747 pas comme les autres. Géré par la NASA et par le DLR, l’agence spatiale allemande, cet avion a été aménagé pour accueillir un télescope. Comme l’explique cette vidéo proposée par CNRS Le Journal, cet observatoire volant monte dans la stratosphère pour observer la nébuleuse d’Orion, où se forment des étoiles.
Embarquement immédiat pour les étoiles par
Sofia est un Boeing 747 pas comme les autres. Géré par la NASA et par le DLR, l’agence spatiale allemande, cet avion a été aménagé pour accueillir un télescope. Comme l’explique cette vidéo proposée par CNRS Le Journal, cet observatoire volant monte dans la stratosphère pour observer la nébuleuse d’Orion, où se forment des étoiles.
Embarquement immédiat pour les étoiles par
vendredi 17 février 2017
jeudi 16 février 2017
Les nouveaux défis éthiques de la génétique
http://www.lemonde.fr/biologie/video/2017/02/15/les-nouveaux-defis-ethiques-de-la-genetique_5079906_1650740.html
Avec CRISPR-CAS9 (Clustered Regularly Interspaced Palindromic Repeats associated protein 9 ou « courtes répétitions palindromiques groupées et régulièrement interespacées associées à la protéine 9 »), nouvelle technique de modification de l’ADN, un outil de génie génétique facile à utiliser s’installe dans tous les laboratoires. Dans cette vidéo réalisée par Universcience.tv, le généticien Patrick Gaudray, membre du Haut Conseil des biotechnologies, revient sur les dérives potentielles liées au développement fulgurant de cet outil.
Avec CRISPR-CAS9 (Clustered Regularly Interspaced Palindromic Repeats associated protein 9 ou « courtes répétitions palindromiques groupées et régulièrement interespacées associées à la protéine 9 »), nouvelle technique de modification de l’ADN, un outil de génie génétique facile à utiliser s’installe dans tous les laboratoires. Dans cette vidéo réalisée par Universcience.tv, le généticien Patrick Gaudray, membre du Haut Conseil des biotechnologies, revient sur les dérives potentielles liées au développement fulgurant de cet outil.
Peur et stress : respirez par la bouche !
NEWS Dans une situation d’anxiété, de peur, de stress…, notre respiration par le nez s’accélère : le fait d’inhaler par la bouche aide à se calmer.
C’est l’une des conclusions « pratiques » que l’on peut déduire de cette étude américaine (Northwestern University). Les spécialistes ont d’abord été intrigués par les résultats de tests effectués sur des patients épileptiques. L’examen de leur activité cérébrale, par électrodes, a en effet montré qu’elle se modifiait selon le rythme de la respiration, et dans des régions associées aux émotions, en particulier l’amygdale. Une expérience a ensuite été réalisée sur des volontaires, avec enregistrement de l’activité cérébrale et de la respiration. Des photos de visages exprimant un éventail de réactions - neutralité, joie, peur, surprise… - ont été diffusées.
Que constate-t-on ? Lorsque les participants observent les visages « peur » en respirant par le nez, le rythme de la respiration s’accélère (surtout l’inhalation), et l’expression est jugée « inquiétante ». Lorsque les mêmes visages « peur » sont visualisés en respirant par la bouche, l’impression désagréable est moins forte, et le rythme de la respiration plus lent que lors de la respiration par le nez. On note aussi que les expressions de peur sont mieux mémorisées - l’impression est plus durable - lorsqu’on respire par le nez que par la bouche.
Les auteurs considèrent que l’accélération de la respiration par le nez confère un avantage, en ce sens que « ce réflexe dans une situation hostile - celle qui déclenche la peur - peut avoir un effet positif sur la fonction cérébrale, avec un temps de réponse plus rapide ». Une autre implication renvoie aux mécanismes basiques de la méditation, qui se concentre sur la respiration. Face au stress, le fait de respirer lentement et par la bouche contribue à atténuer la réaction cérébrale, et en quelque sorte à se re-synchroniser.
C’est l’une des conclusions « pratiques » que l’on peut déduire de cette étude américaine (Northwestern University). Les spécialistes ont d’abord été intrigués par les résultats de tests effectués sur des patients épileptiques. L’examen de leur activité cérébrale, par électrodes, a en effet montré qu’elle se modifiait selon le rythme de la respiration, et dans des régions associées aux émotions, en particulier l’amygdale. Une expérience a ensuite été réalisée sur des volontaires, avec enregistrement de l’activité cérébrale et de la respiration. Des photos de visages exprimant un éventail de réactions - neutralité, joie, peur, surprise… - ont été diffusées.
Que constate-t-on ? Lorsque les participants observent les visages « peur » en respirant par le nez, le rythme de la respiration s’accélère (surtout l’inhalation), et l’expression est jugée « inquiétante ». Lorsque les mêmes visages « peur » sont visualisés en respirant par la bouche, l’impression désagréable est moins forte, et le rythme de la respiration plus lent que lors de la respiration par le nez. On note aussi que les expressions de peur sont mieux mémorisées - l’impression est plus durable - lorsqu’on respire par le nez que par la bouche.
Les auteurs considèrent que l’accélération de la respiration par le nez confère un avantage, en ce sens que « ce réflexe dans une situation hostile - celle qui déclenche la peur - peut avoir un effet positif sur la fonction cérébrale, avec un temps de réponse plus rapide ». Une autre implication renvoie aux mécanismes basiques de la méditation, qui se concentre sur la respiration. Face au stress, le fait de respirer lentement et par la bouche contribue à atténuer la réaction cérébrale, et en quelque sorte à se re-synchroniser.
mercredi 15 février 2017
mardi 14 février 2017
Myopie : plus de lumière et de légumes
NEWS La myopie connaît une progression exponentielle à travers le monde : il se confirme que le manque d’exposition à la lumière naturelle joue un rôle clé dans ce phénomène.
Cette hypothèse a déjà été avancée à plusieurs reprises, sachant que les études avaient porté sur des populations - relativement - jeunes. Une équipe britannique (London School of Hygiene) a mené l’enquête aux quatre coins de l’Europe, auprès de quelque 3.000 seniors. Les chercheurs ont évalué la vision et ses troubles, le mode de vie et les antécédents médicaux, et procédé à des dosages sanguins, afin de mettre en évidence les différences les plus significatives entre les myopes et ceux qui ne l’étaient pas.
Cette hypothèse a déjà été avancée à plusieurs reprises, sachant que les études avaient porté sur des populations - relativement - jeunes. Une équipe britannique (London School of Hygiene) a mené l’enquête aux quatre coins de l’Europe, auprès de quelque 3.000 seniors. Les chercheurs ont évalué la vision et ses troubles, le mode de vie et les antécédents médicaux, et procédé à des dosages sanguins, afin de mettre en évidence les différences les plus significatives entre les myopes et ceux qui ne l’étaient pas.
Chou, brocoli, épinard...
Les résultats, relayés par Le Figaro, montrent qu’une exposition annuelle importante auxultraviolets B (UVB), directement liée au temps passé dehors et à l’exposition au soleil, surtout avant l’âge de 30 ans, est associée à une réduction significative du risque de myopie. En parallèle, une augmentation du risque est observée avec l’allongement des études. Les spécialistes n’ont pas observé de corrélation entre la myopie et le taux sanguin de vitamine D, par contre c’est le cas avec le taux de lutéine. On retrouve ce pigment antioxydant en haute concentration dans les légumes verts foncés comme le chou et l'épinard, ainsi que dans la courge, le brocoli, le pois vert ou le maïs. Ce caroténoïde exercerait un effet protecteur en filtrant la lumière et en réduisant l’impact des radicaux libres sur la rétine. Son éventuel bénéfice préventif contre la myopie doit être mieux évalué, sachant que les dosages sanguins réalisés lors de cette étude l’ont été à un moment X, et on ne sait pas si les apports ont été élevés et constants tout au long de l’existence.
En tout cas, sur base de leurs observations, les chercheurs estiment que le fait de beaucoup s’exposer à la lumière naturelle pendant l’enfant et l’adolescence peut contribuer à réduire le risque de myopie (néanmoins influencé par d’autres facteurs, notamment génétiques), et qu’il n’est certainement pas inutile d’enrichir ses repas d’aliments riches en lutéine, qui ne peuvent pas faire de tort.
Source: JAMA Ophtalmology (http://archopht.jamanetwork.com/journal.aspx)
publié le : 12/02/2017 , mis à jour le 11/02/2017
publié le : 12/02/2017 , mis à jour le 11/02/2017
lundi 13 février 2017
Inscription à :
Articles (Atom)