NEWS Pour maintenir son cerveau en bonne forme le plus longtemps possible et pour ralentir le déclin des facultés lorsqu’il a débuté, il est essentiel de pratiquer une activité physique régulière, ne fût-ce que la marche.
D’innombrables études confirment l’association - très - bénéfique entre l’exercice physique et la santé cérébrale, à titre préventif contre le déclin cognitif et la démence (dont la maladie d’Alzheimer) et comme support de la prise en charge des patients dont les facultés sont dégradées. Ce que montre cette équipe américaine (université du Kansas), c’est qu’il est important que ce message soit encore mieux entendu, mais aussi que l’approche soit bien davantage personnalisée. Les chercheurs ont intégré dans leur étude des participants avec ou sans déclin cognitif. Tous ont été équipés d’un accéléromètre afin de déterminer les paramètres de leur activité physique pendant la journée, ainsi que la qualité de leur sommeil (mouvements durant la nuit).
Le résultat montre que globalement, les personnes présentant un déclin cognitif ont une activité physique moins importante, et que celle-ci est organisée de manière très différente, puisqu’elles sont beaucoup moins actives le matin que les personnes sans déclin cognitif. Les auteurs estiment qu’il s’agit d’une piste importante pour leur prise en charge. D’abord par une intervention sur le sommeil, puisque lorsqu’il est perturbé, moins reposant, cela se répercute sur l’état de forme (la motivation, aussi) le matin.
Ensuite, et alors qu’elles en ont un grand besoin, les personnes qui développent un déclin cognitif ont tendance à pratiquer moins d’activité physique : les inciter à bouger davantage le matin (le moment « creux » de la journée sur ce plan) permettrait d’améliorer sensiblement la situation. La marche, tout simplement, est déjà extrêmement bénéfique. Et ces observations montrent aussi combien il est important de personnaliser l’approche et d’établir un programme d’activités individualisé en fonction des caractéristiques et des habitudes de chacun.
D’innombrables études confirment l’association - très - bénéfique entre l’exercice physique et la santé cérébrale, à titre préventif contre le déclin cognitif et la démence (dont la maladie d’Alzheimer) et comme support de la prise en charge des patients dont les facultés sont dégradées. Ce que montre cette équipe américaine (université du Kansas), c’est qu’il est important que ce message soit encore mieux entendu, mais aussi que l’approche soit bien davantage personnalisée. Les chercheurs ont intégré dans leur étude des participants avec ou sans déclin cognitif. Tous ont été équipés d’un accéléromètre afin de déterminer les paramètres de leur activité physique pendant la journée, ainsi que la qualité de leur sommeil (mouvements durant la nuit).
Le résultat montre que globalement, les personnes présentant un déclin cognitif ont une activité physique moins importante, et que celle-ci est organisée de manière très différente, puisqu’elles sont beaucoup moins actives le matin que les personnes sans déclin cognitif. Les auteurs estiment qu’il s’agit d’une piste importante pour leur prise en charge. D’abord par une intervention sur le sommeil, puisque lorsqu’il est perturbé, moins reposant, cela se répercute sur l’état de forme (la motivation, aussi) le matin.
Ensuite, et alors qu’elles en ont un grand besoin, les personnes qui développent un déclin cognitif ont tendance à pratiquer moins d’activité physique : les inciter à bouger davantage le matin (le moment « creux » de la journée sur ce plan) permettrait d’améliorer sensiblement la situation. La marche, tout simplement, est déjà extrêmement bénéfique. Et ces observations montrent aussi combien il est important de personnaliser l’approche et d’établir un programme d’activités individualisé en fonction des caractéristiques et des habitudes de chacun.
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