NEWS Certains utilisateurs du réseau social Facebook auraient tout intérêt à déconnecter pendant quelques jours : une pause de temps en temps leur ferait le plus grand bien.
L’étude a concerné un millier d’usagers (moyenne d’âge de 34 ans), aux profils très divers (nombre d’amis, fréquence et durée de connexion, comportement sur le réseau social…). Une équipe danoise (université de Copenhague) les a répartis en deux groupes : les uns ont continué à utiliser Facebook comme d’habitude, alors que les autres ne s’y sont pas connectés pendant une semaine (c’est en tout cas ce qui leur avait été demandé, environ 10% ont quand même craqué à l’une ou l’autre reprise).
Un questionnaire à remplir tous les jours a mis en évidence un double phénomène dans le « groupe pause » : une augmentation du sentiment de bien-être et un renforcement des émotions positives. Mais, mais… Cette amélioration concerne surtout trois grands types d’utilisateurs : les usagers - très - intensifs, les passifs (consultation de Facebook sans vraiment interagir) et ceux qui ont tendance à… envier les autres et à être agacés par leurs interventions (statuts, commentaires, photos…).
Dans le cas d’une utilisation disons « normale », la pause n’influence pas vraiment le bien-être, sans doute parce qu’il n’est pas affecté. Pour les trois catégories problématiques, les auteurs de cette étude conseillent de prendre de la distance à intervalles réguliers, et de profiter de l’occasion pour s’interroger sur ce que devrait être leur bon usage de Facebook…
L’étude a concerné un millier d’usagers (moyenne d’âge de 34 ans), aux profils très divers (nombre d’amis, fréquence et durée de connexion, comportement sur le réseau social…). Une équipe danoise (université de Copenhague) les a répartis en deux groupes : les uns ont continué à utiliser Facebook comme d’habitude, alors que les autres ne s’y sont pas connectés pendant une semaine (c’est en tout cas ce qui leur avait été demandé, environ 10% ont quand même craqué à l’une ou l’autre reprise).
Un questionnaire à remplir tous les jours a mis en évidence un double phénomène dans le « groupe pause » : une augmentation du sentiment de bien-être et un renforcement des émotions positives. Mais, mais… Cette amélioration concerne surtout trois grands types d’utilisateurs : les usagers - très - intensifs, les passifs (consultation de Facebook sans vraiment interagir) et ceux qui ont tendance à… envier les autres et à être agacés par leurs interventions (statuts, commentaires, photos…).
Dans le cas d’une utilisation disons « normale », la pause n’influence pas vraiment le bien-être, sans doute parce qu’il n’est pas affecté. Pour les trois catégories problématiques, les auteurs de cette étude conseillent de prendre de la distance à intervalles réguliers, et de profiter de l’occasion pour s’interroger sur ce que devrait être leur bon usage de Facebook…
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