NEWS Les seniors qui vivent avec un chien ou un chat bénéficient d’une certaine protection contre la mortalité prématurée associée à un accident cardiovasculaire.
Cette équipe australienne (Monash University) a extrait des données d’une étude plus large, portant sur la pression artérielle, afin de déterminer dans quelle mesure la présence d’un animal de compagnie (essentiellement un chien ou un chat) pouvait exercer un effet protecteur contre la mortalité prématurée chez des seniors hypertendus. Le suivi s’est étalé sur une très longue période, durant laquelle ont été relevés les décès d’origine cardiovasculaire ou liés à une autre cause (cancer, autre maladie, accident…). Au sein de ce groupe, 36% des participants ont déclaré posséder un animal de compagnie au début de l’étude.
Le résultat montre que ces personnes s’exposent à un risque de mortalité prématurée d’origine cardiovasculaire (infarctus, notamment) réduit de 26% par rapport à ceux et celles qui ne vivent pas avec un chien ou un chat. Cet effet protecteur ne paraît pas significatif pour les autres causes de mortalité. L’explication ? Des hypothèses plutôt, qui renvoient en particulier à davantage d’activité physique (la promenade quotidienne du chien…) et à un effet psychologique bénéfique de l’animal de compagnie (apaisement…).
Cette équipe australienne (Monash University) a extrait des données d’une étude plus large, portant sur la pression artérielle, afin de déterminer dans quelle mesure la présence d’un animal de compagnie (essentiellement un chien ou un chat) pouvait exercer un effet protecteur contre la mortalité prématurée chez des seniors hypertendus. Le suivi s’est étalé sur une très longue période, durant laquelle ont été relevés les décès d’origine cardiovasculaire ou liés à une autre cause (cancer, autre maladie, accident…). Au sein de ce groupe, 36% des participants ont déclaré posséder un animal de compagnie au début de l’étude.
Le résultat montre que ces personnes s’exposent à un risque de mortalité prématurée d’origine cardiovasculaire (infarctus, notamment) réduit de 26% par rapport à ceux et celles qui ne vivent pas avec un chien ou un chat. Cet effet protecteur ne paraît pas significatif pour les autres causes de mortalité. L’explication ? Des hypothèses plutôt, qui renvoient en particulier à davantage d’activité physique (la promenade quotidienne du chien…) et à un effet psychologique bénéfique de l’animal de compagnie (apaisement…).
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