https://www.tdg.ch/savoirs/sciences/sclerose-plaques-molecule-prometteuse/story/21108760
mercredi 31 janvier 2018
mardi 30 janvier 2018
Paracétamol : très efficace, mais...
NEWS Utilisé aux doses recommandées, le paracétamol est un antidouleur de choix. Mais le surdosage menace : chaque année, il cause la mort de nombreuses personnes.
Le paracétamol est de très loin l’antalgique le plus administré dans le monde. Pourtant, rappelle le Pr Serge Erlinger (Journal international de médecine), il présente une marge de sécurité relativement étroite, et à des doses trop élevées, il peut être à l’origine d’hépatites foudroyantes (inflammation du foie), potentiellement mortelles. Ainsi, chaque année, aux Etats-Unis, il est responsable de 500 décès, plus de 100.000 appels aux centres antipoisons, 50.000 admissions aux urgences et plus de 10.000 hospitalisations ; et ceci pour 139 millions de prescriptions, sans compter l’automédication (comme en Belgique ou en France, le médicament est en vente libre).
Le paracétamol s’inscrit comme la première cause d’hépatites fulminantes aux Etats-Unis et en Europe, et beaucoup sont dues à un surdosage lors de l’automédication. Une alternative consisterait en la mise au point d’une molécule proche, avec les mêmes vertus, sans la toxicité. « Quel formidable débouché pour un laboratoire qui trouverait cette pilule miracle ! », ajoute le Pr Erlinger (spécialiste en gastro-entérologie et en hépatologie). En attendant, il est important de rappeler les précautions d’emploi du paracétamol, à n’utiliser qu’aux doses (lors de chaque prise, respect des délais entre les prises, nombre de jours consécutifs…) recommandées par le fabricant, le médecin ou le pharmacien. Ajoutons que lorsque ces conditions d’utilisation sont respectées, la balance risques - bénéfices est (très) favorable au paracétamol en comparaison avec d’autres antidouleurs.
Le paracétamol est de très loin l’antalgique le plus administré dans le monde. Pourtant, rappelle le Pr Serge Erlinger (Journal international de médecine), il présente une marge de sécurité relativement étroite, et à des doses trop élevées, il peut être à l’origine d’hépatites foudroyantes (inflammation du foie), potentiellement mortelles. Ainsi, chaque année, aux Etats-Unis, il est responsable de 500 décès, plus de 100.000 appels aux centres antipoisons, 50.000 admissions aux urgences et plus de 10.000 hospitalisations ; et ceci pour 139 millions de prescriptions, sans compter l’automédication (comme en Belgique ou en France, le médicament est en vente libre).
Le paracétamol s’inscrit comme la première cause d’hépatites fulminantes aux Etats-Unis et en Europe, et beaucoup sont dues à un surdosage lors de l’automédication. Une alternative consisterait en la mise au point d’une molécule proche, avec les mêmes vertus, sans la toxicité. « Quel formidable débouché pour un laboratoire qui trouverait cette pilule miracle ! », ajoute le Pr Erlinger (spécialiste en gastro-entérologie et en hépatologie). En attendant, il est important de rappeler les précautions d’emploi du paracétamol, à n’utiliser qu’aux doses (lors de chaque prise, respect des délais entre les prises, nombre de jours consécutifs…) recommandées par le fabricant, le médecin ou le pharmacien. Ajoutons que lorsque ces conditions d’utilisation sont respectées, la balance risques - bénéfices est (très) favorable au paracétamol en comparaison avec d’autres antidouleurs.
Source: Journal of Hepatology (www.journal-of-hepatology.e)
publié le : 30/01/2018 , mis à jour le 29/01/2018
publié le : 30/01/2018 , mis à jour le 29/01/2018
lundi 29 janvier 2018
ARTE Regards Un vaccin ? Non, merci !
https://www.arte.tv/fr/videos/078230-009-A/arte-regards/
De plus en plus nombreux, les anti-vaccins semblent balayer d’un revers de main les conclusions de l’OMS, selon laquelle la vaccination permet d’éviter jusqu’à trois millions de morts par an. Et offre une protection pour soi, mais aussi pour ceux qui nous entourent. Pourquoi les "anti" rejettent-ils ces arguments ?
Se faire vacciner ? Plus jamais ! Selon un sondage récent, 41 % des Français estiment que les vaccins ne sont pas sûrs – ce qui en fait le peuple le plus "vaccino-sceptique" d’Europe. Lucie Michel, habitante de Nantes, est persuadée que ces injections seraient la cause de l’autisme et de l’épilepsie de son fils de 6 ans. Vent debout contre l’instauration depuis janvier 2018 de onze vaccins obligatoires pour les nouveau-nés, elle lutte avec l’aide d’un avocat pour que la loi française reconnaisse officiellement le danger de ces substances.
Cancer du côlon : le dépistage dès 45 ans ?
NEWS Le dépistage du cancer colorectal devrait-il démarrer plus tôt, c’est-à-dire dès 45 ans plutôt qu’à partir de 50 ans comme c’est le cas actuellement ? En tout cas, cela devrait être envisagé.
Sur base des résultats de quelque 6000 coloscopies, une équipe française a analysé la fréquence des lésions néoplasiques (bénignes ou malignes), des lésions pré-cancéreuses et des polypes en fonction des tranches d’âge. Ainsi que l’explique la revue médicale Le Généraliste, « l’incidence des lésions néoplasiques connaît une augmentation de 400%dans la tranche d’âge des 45-49 ans par rapport à celle de 40-44 ans, alors que le taux est plus élevé (+ 8%) entre 45-49 ans qu’entre 50-54 ans ». De même, « le nombre moyen de polypes augmente de 96% entre 40-44 ans et 45-49 ans, soit bien plus qu’entre 45-49 ans et 50-54 ans (+ 19%) ».
Le coordinateur de cette étude commente : « Ces résultats démontrent que c’est à 45 ans que l’on voit une augmentation remarquable de la fréquence des lésions colorectales, en particulier des néoplasies précoces. Même lorsque les patients avec des antécédents familiaux et personnels de polypes ou de cancer sont exclus des résultats, il y a encore une augmentation notable des taux de détection chez les patients à partir de 45 ans ». Dès lors, « nos recherches indiquent clairement que le dépistage du cancer colorectal devrait commencer à l’âge de 45 ans. Ceci nous aiderait à renforcer la détection précoce de ce cancer et permettrait également l’identification et l’élimination des polypes pouvant devenir cancéreux ».
Bémol toutefois : les patients étudiés ici ne correspondent probablement pas à la population générale, puisqu’ils étaient éligibles pour une coloscopie (qui n’est pas un examen banal…). On rappellera qu’à l’heure actuelle, la grande majorité des programmes de dépistage européens, dont en Belgique et en France, recommandent le dépistage à partir de 50 ans, avec recherche de sang dans les selles.
Sur base des résultats de quelque 6000 coloscopies, une équipe française a analysé la fréquence des lésions néoplasiques (bénignes ou malignes), des lésions pré-cancéreuses et des polypes en fonction des tranches d’âge. Ainsi que l’explique la revue médicale Le Généraliste, « l’incidence des lésions néoplasiques connaît une augmentation de 400%dans la tranche d’âge des 45-49 ans par rapport à celle de 40-44 ans, alors que le taux est plus élevé (+ 8%) entre 45-49 ans qu’entre 50-54 ans ». De même, « le nombre moyen de polypes augmente de 96% entre 40-44 ans et 45-49 ans, soit bien plus qu’entre 45-49 ans et 50-54 ans (+ 19%) ».
Le coordinateur de cette étude commente : « Ces résultats démontrent que c’est à 45 ans que l’on voit une augmentation remarquable de la fréquence des lésions colorectales, en particulier des néoplasies précoces. Même lorsque les patients avec des antécédents familiaux et personnels de polypes ou de cancer sont exclus des résultats, il y a encore une augmentation notable des taux de détection chez les patients à partir de 45 ans ». Dès lors, « nos recherches indiquent clairement que le dépistage du cancer colorectal devrait commencer à l’âge de 45 ans. Ceci nous aiderait à renforcer la détection précoce de ce cancer et permettrait également l’identification et l’élimination des polypes pouvant devenir cancéreux ».
Bémol toutefois : les patients étudiés ici ne correspondent probablement pas à la population générale, puisqu’ils étaient éligibles pour une coloscopie (qui n’est pas un examen banal…). On rappellera qu’à l’heure actuelle, la grande majorité des programmes de dépistage européens, dont en Belgique et en France, recommandent le dépistage à partir de 50 ans, avec recherche de sang dans les selles.
Source: United European Gastroenterology (www.ueg.eu/home)
publié le : 29/01/2018 , mis à jour le 28/01/2018
publié le : 29/01/2018 , mis à jour le 28/01/2018
dimanche 28 janvier 2018
samedi 27 janvier 2018
vendredi 26 janvier 2018
jeudi 25 janvier 2018
Les champignons : une arme anti-vieillissement ?
NEWS Les champignons, en particulier les cèpes, contiennent des concentrations importantes en antioxydants précieux pour la santé.
« Les sous-bois de nos forêts nous offrent-ils un aliment anti-âge ? », s’interroge Futura Sciences. Une équipe américaine (Penn State) a analysé la teneur en deux antioxydants (ergothionéine et glutathion) dans une grande variété de champignons. Premier point : on observe une forte variation d’une espèce à l’autre, avec un facteur vingt (0,11 à 2,41 mg/g de poids sec) pour le glutathion, des quantités corrélées à celles de l’ergothionéine. Ensuite, il s’avère que, globalement, le chapeau contient plus d’antioxydants que le pied. Trois : les cèpes décrochent la palme, sachant que si les autres espèces (comme le champignon de Paris) affichent des teneurs plus faibles en antioxydants, elles restent plus élevées que pour bien d’autres aliments.
L’un des coordinateurs de cette étude rappelle qu’une association a été établie, à l’échelle de la population, entre la consommation d’ergothionéine et le risque de maladie neurodégénérative. Le lien de cause à effet n’est pas clair, sachant néanmoins que les antioxydants contribuent à la lutte contre le stress oxydatif, un processus impliqué dans le développement de nombreuses maladies chroniques.
« Les sous-bois de nos forêts nous offrent-ils un aliment anti-âge ? », s’interroge Futura Sciences. Une équipe américaine (Penn State) a analysé la teneur en deux antioxydants (ergothionéine et glutathion) dans une grande variété de champignons. Premier point : on observe une forte variation d’une espèce à l’autre, avec un facteur vingt (0,11 à 2,41 mg/g de poids sec) pour le glutathion, des quantités corrélées à celles de l’ergothionéine. Ensuite, il s’avère que, globalement, le chapeau contient plus d’antioxydants que le pied. Trois : les cèpes décrochent la palme, sachant que si les autres espèces (comme le champignon de Paris) affichent des teneurs plus faibles en antioxydants, elles restent plus élevées que pour bien d’autres aliments.
L’un des coordinateurs de cette étude rappelle qu’une association a été établie, à l’échelle de la population, entre la consommation d’ergothionéine et le risque de maladie neurodégénérative. Le lien de cause à effet n’est pas clair, sachant néanmoins que les antioxydants contribuent à la lutte contre le stress oxydatif, un processus impliqué dans le développement de nombreuses maladies chroniques.
Source: Food Chemistry (www.journals.elsevier.com/f)
publié le : 25/01/2018 , mis à jour le 24/01/2018
publié le : 25/01/2018 , mis à jour le 24/01/2018
mercredi 24 janvier 2018
Astronautes : l’espace modifie le cerveau
NEWS Un long séjour dans l’espace modifie certaines structures cérébrales des astronautes (spationautes). Pour combien de temps et avec quelles conséquences : cela reste à déterminer.
Il existe peu d’informations sur les effets d’un vol spatial sur la configuration anatomique du cerveau, indique cette équipe américaine (Medical University of South California). En collaboration avec des experts de la Nasa, les chercheurs ont soumis des astronautes à des résonances magnétiques (IRM) avant et après un séjour dans l’espace, soit de longue durée (18 astronautes : 165 jours en moyenne), soit de courte durée (16 astronautes : 14 jours en moyenne). Les images ont été analysées par des spécialistes qui ignoraient la durée du séjour.
Que constate-t-on ?
• Un rétrécissement du sillon central (qui parcourt la surface externe du cerveau) chez 17 des 18 astronautes « longue durée » contre 3 des 16 « courte durée ».
• Un déplacement du cerveau vers le haut chez 12 des 18 « longue durée », mais aucun des « courte durée ».
• Ce mouvement du cerveau entraîne une compression du liquide céphalo-rachidien (dans lequel baigne le cerveau) au sommet de la boîte crânienne.
On observe aussi chez 3 « longue durée » l’apparition d’un œdème du disque optique (ou œdème papillaire), sans doute lié à l’augmentation de la pression intracrânienne et en tout cas associé au rétrécissement du sillon central. Voilà pour le constat. Mais qu’en est-il des conséquences ? On l’ignore. Les auteurs indiquent que les recherches se poursuivent afin de déterminer la durée de ces changements et leurs implications cliniques, ce qui peut prendre un long moment…
Il existe peu d’informations sur les effets d’un vol spatial sur la configuration anatomique du cerveau, indique cette équipe américaine (Medical University of South California). En collaboration avec des experts de la Nasa, les chercheurs ont soumis des astronautes à des résonances magnétiques (IRM) avant et après un séjour dans l’espace, soit de longue durée (18 astronautes : 165 jours en moyenne), soit de courte durée (16 astronautes : 14 jours en moyenne). Les images ont été analysées par des spécialistes qui ignoraient la durée du séjour.
Que constate-t-on ?
• Un rétrécissement du sillon central (qui parcourt la surface externe du cerveau) chez 17 des 18 astronautes « longue durée » contre 3 des 16 « courte durée ».
• Un déplacement du cerveau vers le haut chez 12 des 18 « longue durée », mais aucun des « courte durée ».
• Ce mouvement du cerveau entraîne une compression du liquide céphalo-rachidien (dans lequel baigne le cerveau) au sommet de la boîte crânienne.
On observe aussi chez 3 « longue durée » l’apparition d’un œdème du disque optique (ou œdème papillaire), sans doute lié à l’augmentation de la pression intracrânienne et en tout cas associé au rétrécissement du sillon central. Voilà pour le constat. Mais qu’en est-il des conséquences ? On l’ignore. Les auteurs indiquent que les recherches se poursuivent afin de déterminer la durée de ces changements et leurs implications cliniques, ce qui peut prendre un long moment…
Source: The New England Journal of Medicine (www.nejm.org)
publié le : 24/01/2018 , mis à jour le 23/01/2018
publié le : 24/01/2018 , mis à jour le 23/01/2018
mardi 23 janvier 2018
lundi 22 janvier 2018
La peur des trous, ou comment sauver sa peau
https://www.tdg.ch/savoirs/peur-trous-sauver-peau/story/12377768
On connaît l’arachnophobie, la peur des araignées, ou la triskaïdékaphobie, la phobie du chiffre 13, mais un peu moins la trypophobie.
On connaît l’arachnophobie, la peur des araignées, ou la triskaïdékaphobie, la phobie du chiffre 13, mais un peu moins la trypophobie.
Alexa, une assistante digitale presque féministe
https://www.tdg.ch/high-tech/alexa-assistante-digitale-presque-feministe/story/21058857
Il y a un an, une journaliste du média Quartz avait piégé Alexa, l’assistant personnel intelligent, ou sensé l’être, d’Amazon. L’idée de la rédactrice c’était de faire réagir l’avatar, de la faire se rebeller contre les insultes et remarques sexistes.
Il y a un an, une journaliste du média Quartz avait piégé Alexa, l’assistant personnel intelligent, ou sensé l’être, d’Amazon. L’idée de la rédactrice c’était de faire réagir l’avatar, de la faire se rebeller contre les insultes et remarques sexistes.
dimanche 21 janvier 2018
samedi 20 janvier 2018
L’esprit vagabond, un signe d’intelligence ?
NEWS Le trait est plus marqué chez certaines personnes que chez d’autres : la tendance à laisser son esprit errer pendant une tâche serait-elle le reflet de connexions cérébrales plus efficaces et plus créatives ?
C’est en tout cas ce que suggère cette équipe américaine (Georgia Institute of Technology), qui insiste cependant sur la nécessité d’affiner les données recueillies dans le cadre cette étude. En quoi a-t-elle consisté ? Des volontaires ont d’abord été soumis à une résonance magnétique cérébrale (IRMf) alors que leur cerveau était au repos (fixation d’un point pendant cinq minutes). Ceci a permis de déterminer chez chacun l’activité du réseau du mode par défaut (RMD), c’est-à-dire les régions cérébrales qui travaillent lorsque le cerveau est au repos, mais néanmoins actif. Ensuite, les participants ont réalisé des tests destinés à évaluer la fonction exécutive (capacité à s’adapter à des situations non routinières…),l’intelligence fluide (pensée logique, analyse et résolution de problèmes nouveaux, hors connaissances acquises…) et la créativité. En fait, ces trois fonctions sont reliées par bien des passerelles.
L’analyse des résultats montre une association très significative entre la tendance à l’esprit vagabond (rêveur), la connectivité du réseau du mode par défaut, et les trois facultés cognitives. Comment interpréter cela ? Les chercheurs indiquent que dans certaines circonstances, dans certains cas, le fait d’avoir tendance à rêvasser n’est pas nuisible, pas pénalisant, mais reflète au contraire un avantage en termes d’intelligence fluide et de créativité. Le cerveau peut ainsi accomplir une tâche donnée tout en vagabondant à certains moments à la recherche d’options originales. Bien sûr, lorsque le manque de concentration, la distraction, « les absences », deviennent problématiques, cela renvoie à d’autres considérations.
C’est en tout cas ce que suggère cette équipe américaine (Georgia Institute of Technology), qui insiste cependant sur la nécessité d’affiner les données recueillies dans le cadre cette étude. En quoi a-t-elle consisté ? Des volontaires ont d’abord été soumis à une résonance magnétique cérébrale (IRMf) alors que leur cerveau était au repos (fixation d’un point pendant cinq minutes). Ceci a permis de déterminer chez chacun l’activité du réseau du mode par défaut (RMD), c’est-à-dire les régions cérébrales qui travaillent lorsque le cerveau est au repos, mais néanmoins actif. Ensuite, les participants ont réalisé des tests destinés à évaluer la fonction exécutive (capacité à s’adapter à des situations non routinières…),l’intelligence fluide (pensée logique, analyse et résolution de problèmes nouveaux, hors connaissances acquises…) et la créativité. En fait, ces trois fonctions sont reliées par bien des passerelles.
L’analyse des résultats montre une association très significative entre la tendance à l’esprit vagabond (rêveur), la connectivité du réseau du mode par défaut, et les trois facultés cognitives. Comment interpréter cela ? Les chercheurs indiquent que dans certaines circonstances, dans certains cas, le fait d’avoir tendance à rêvasser n’est pas nuisible, pas pénalisant, mais reflète au contraire un avantage en termes d’intelligence fluide et de créativité. Le cerveau peut ainsi accomplir une tâche donnée tout en vagabondant à certains moments à la recherche d’options originales. Bien sûr, lorsque le manque de concentration, la distraction, « les absences », deviennent problématiques, cela renvoie à d’autres considérations.
Source: Neuropsychologia (www.journals.elsevier.com/n)
publié le : 20/01/2018 , mis à jour le 19/01/2018
publié le : 20/01/2018 , mis à jour le 19/01/2018
vendredi 19 janvier 2018
jeudi 18 janvier 2018
Castor et Pollux, les jumeaux célestes
http://www.lemonde.fr/cosmos/video/2018/01/17/castor-et-pollux-les-jumeaux-celestes_5242993_1650695.html
Regardez vers l’est en début de soirée. Au-dessus et à gauche de la constellation d’Orion, vous verrez facilement deux étoiles brillantes et d’éclat comparable. Comme l’explique cette vidéo proposée par Universcience.tv, ce sont Castor et Pollux, les étoiles principales de la constellation des Gémeaux. Deux astres très proches dans le ciel mais très différents.
Regardez vers l’est en début de soirée. Au-dessus et à gauche de la constellation d’Orion, vous verrez facilement deux étoiles brillantes et d’éclat comparable. Comme l’explique cette vidéo proposée par Universcience.tv, ce sont Castor et Pollux, les étoiles principales de la constellation des Gémeaux. Deux astres très proches dans le ciel mais très différents.
mercredi 17 janvier 2018
La station spatiale chinoise Tiangong-1 va retomber sur Terre sous contrôle
TIANGONG 1 - NORAD 37820 - 3D Online Satellite Tracking
Le satellite qui va s'écraser sur vos pieds vers mars 2018
http://www.satflare.com/track.asp?q=37820#TOP
http://www.satflare.com/track.asp?q=37820#TOP
Cette intelligence artificielle transcrit vos pensées en images
http://www.lemonde.fr/sciences/video/2018/01/16/cette-intelligence-artificielle-transcrit-vos-pensees-en-images_5242603_1650684.html
LE MONDE
Demain, on sera peut-être capables de lire dans les pensées. C’est sans doute un peu effrayant, mais c’est ce que laissent croire les travaux d’une équipe de chercheurs japonais du Computational Neuroscience Laboratories de Kyoto et de l’université de Kyoto.
Ces derniers ont créé une intelligence artificielle capable de transcrire des pensées en images. Par l’intermédiaire de scintigraphies cérébrales, ils ont réalisé des tests, étalés sur une période de dix semaines, sur plusieurs sujets humains. Analysés en temps réel, leurs cerveaux « observaient » des images ou devaient « penser » à des images. Ainsi, l’intelligence artificielle a pu développer un réseau d’apprentissage capable de traduire des ondes cérébrales en images et de répéter ce schéma afin de s’approcher le plus fidèlement possible de l’image observée ou pensée.
mardi 16 janvier 2018
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