NEWS La pratique de la méditation de pleine conscience modifie des structures cérébrales importantes pour notre fonctionnement personnel et notre relation aux autres.
Cette étude s’est étalée sur neuf mois et elle a concerné des adultes âgés de 20 à 55 ans. Une équipe allemande (Max Planck Institute) a organisé trois modules de méditation de pleine conscience, d’une durée de trois mois chacun, centrés sur des fonctions différentes. A la fin de chaque module, les participants ont été soumis à une résonance magnétique (IRM) du cerveau et à des tests comportementaux.
• Module 1. Le schéma classique de la méditation de pleine conscience, avec l’attention centrée sur le moment présent et l’introspection, en faisant notamment intervenir des techniques de respiration. L’IRM montre, chez la plupart des volontaires, un épaississement de régions du cerveau associées à des fonctions cognitives comme le langage, le raisonnement, le traitement de l’information ou l’attention, avec une amélioration des résultats lors des tests comportementaux.
• Module 2. Centré sur l’empathie, la compassion, la gestion des émotions, la relation aux autres, la motivation. L’IRM met en évidence des modifications (plasticité) dans des zones du cerveau liées à notre conscience, aux émotions (peur, agressivité, plaisir…), auxaddictions, aux comportements sociaux…, avec une évolution personnelle positive en termes d’approche des autres.
• Module 3. Consacré à la communication, au départ d’une meilleure connaissance de soi pour mieux comprendre l’autre. A nouveau, l’IRM indique des changements, ici dans des régions intervenant dans le langage, le vécu émotionnel, l’évaluation des expériences passées, l’approche des autres et de notre environnement.
Sur base de ces résultats, les chercheurs considèrent que la méditation de pleine conscience modifie réellement les structures cérébrales, et ils estiment d'ailleurs qu’elle pourrait intervenir dans la prise en charge de troubles comme le déficit de l’attention et l’hyperactivité (TDA/H), l’autisme ou la schizophrénie. Plus largement, les spécialistes soutiennent que la méditation, par ses implications sur le plan personnel et relationnel, devrait trouver sa place à la maison, dans les écoles et dans les entreprises.
Cette étude s’est étalée sur neuf mois et elle a concerné des adultes âgés de 20 à 55 ans. Une équipe allemande (Max Planck Institute) a organisé trois modules de méditation de pleine conscience, d’une durée de trois mois chacun, centrés sur des fonctions différentes. A la fin de chaque module, les participants ont été soumis à une résonance magnétique (IRM) du cerveau et à des tests comportementaux.
• Module 1. Le schéma classique de la méditation de pleine conscience, avec l’attention centrée sur le moment présent et l’introspection, en faisant notamment intervenir des techniques de respiration. L’IRM montre, chez la plupart des volontaires, un épaississement de régions du cerveau associées à des fonctions cognitives comme le langage, le raisonnement, le traitement de l’information ou l’attention, avec une amélioration des résultats lors des tests comportementaux.
• Module 2. Centré sur l’empathie, la compassion, la gestion des émotions, la relation aux autres, la motivation. L’IRM met en évidence des modifications (plasticité) dans des zones du cerveau liées à notre conscience, aux émotions (peur, agressivité, plaisir…), auxaddictions, aux comportements sociaux…, avec une évolution personnelle positive en termes d’approche des autres.
• Module 3. Consacré à la communication, au départ d’une meilleure connaissance de soi pour mieux comprendre l’autre. A nouveau, l’IRM indique des changements, ici dans des régions intervenant dans le langage, le vécu émotionnel, l’évaluation des expériences passées, l’approche des autres et de notre environnement.
Sur base de ces résultats, les chercheurs considèrent que la méditation de pleine conscience modifie réellement les structures cérébrales, et ils estiment d'ailleurs qu’elle pourrait intervenir dans la prise en charge de troubles comme le déficit de l’attention et l’hyperactivité (TDA/H), l’autisme ou la schizophrénie. Plus largement, les spécialistes soutiennent que la méditation, par ses implications sur le plan personnel et relationnel, devrait trouver sa place à la maison, dans les écoles et dans les entreprises.
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