http://www.lepoint.fr/science/archeologie-les-mysteres-des-chameaux-du-desert-saoudien-27-02-2018-2198145_25.php
mercredi 28 février 2018
mardi 27 février 2018
lundi 26 février 2018
dimanche 25 février 2018
samedi 24 février 2018
Chaque pianiste a-t-il un son particulier ?
http://www.lemonde.fr/sciences/video/2018/02/23/chaque-pianiste-a-t-il-un-son-particulier_5261473_1650684.html
La posture, les mouvements fins des pianistes influencent-ils le son produit par l’instrument ? Les concertistes en sont intimement convaincus. Dans ce reportage proposé par CNRS Le Journal, une équipe d’acousticiens et de biomécaniciens montent une expérience pour tenter de répondre à cette question.
La posture, les mouvements fins des pianistes influencent-ils le son produit par l’instrument ? Les concertistes en sont intimement convaincus. Dans ce reportage proposé par CNRS Le Journal, une équipe d’acousticiens et de biomécaniciens montent une expérience pour tenter de répondre à cette question.
vendredi 23 février 2018
Observez l’Hydre, la plus grande constellation du ciel
La plus grande constellation du ciel se lève vers 20 heures et vous n’en avez probablement jamais entendu parler… Comme l’explique cette vidéo proposée par Universcience.tv, il s’agit de l’Hydre, dont la tête se trouve entre les étoiles Procyon, de la constellation du Petit Chien, et Regulus, de la constellation du Lion. C’est la représentation céleste du monstre combattu par Hercule.
jeudi 22 février 2018
Le cloud est-il écolo ?
http://www.lemonde.fr/planete/video/2018/02/21/le-cloud-est-il-ecolo_5260125_3244.html
Cloud, cela veut dire « nuage » en anglais. Comme si nos données se baladaient dans le ciel, à côté des oiseaux et des avions… C’est peut-être pour cela qu’on a souvent l’impression que le cloud est écolo. Pourtant, pour fonctionner, il nécessite du matériel informatique terrestre et bien réel, qui prend la forme de milliers de serveurs, réunis dans d’immenses hangars appelés data centers. Or, ces temples dédiés aux données consomment des quantités astronomiques d’électricité, ce qui engendre de la pollution
Cloud, cela veut dire « nuage » en anglais. Comme si nos données se baladaient dans le ciel, à côté des oiseaux et des avions… C’est peut-être pour cela qu’on a souvent l’impression que le cloud est écolo. Pourtant, pour fonctionner, il nécessite du matériel informatique terrestre et bien réel, qui prend la forme de milliers de serveurs, réunis dans d’immenses hangars appelés data centers. Or, ces temples dédiés aux données consomment des quantités astronomiques d’électricité, ce qui engendre de la pollution
mercredi 21 février 2018
Sensibilité au gluten : et si ce n’était pas… le gluten ?
NEWS Alors qu’elle ne présente pas d’intolérance (maladie cœliaque), une proportion non négligeable de la population rapporte souffrir de troubles intestinaux après avoir mangé des aliments contenant du gluten. On parle de sensibilité : mais le gluten est-il vraiment responsable ?
La « sensibilité au gluten non cœliaque » (SGNC) reste un sujet controversé. En tout cas, ces personnes indiquent développer des soucis que l’on peut rapprocher de ceux observés dans la « vraie » intolérance au gluten et dans le syndrome de l’intestin irritable : douleurs abdominales, ballonnements, diarrhée ou constipation, fatigue, maux de tête… Le mécanisme est très mal connu.
Une équipe norvégienne (université d’Oslo) a réalisé des tests auprès d’un groupe de participants qui auto-déclaraient une sensibilité au gluten (hors maladie cœliaque, donc). Tous les jours pendant une semaine, à plusieurs reprises et chaque fois avec un intervalle d’au moins une semaine, chacun a mangé une barre de muesli contenant soit du gluten(5,7 g), soit du fructane (2,1 g), soit un placebo (ni gluten, ni fructane). L’alimentation quotidienne répondait aux mêmes paramètres pour tous. Le fructane est un glucide (sucre) que l’on retrouve dans de nombreux produits contenant des céréales… et du gluten - farine, pâte, pain… -, ainsi que dans une série d’aliments, singulièrement les végétaux (oignon, ail, poireau, artichaut, asperge…). Au terme de chaque phase de l’expérience, les volontaires - qui ignoraient ce que contenait la barre de muesli - ont indiqué dans quelle mesure ils avaient souffert de problèmes intestinaux.
Que constate-t-on ? Sur une échelle de sévérité des troubles, le score le plus élevé est rapporté avec la barre au gluten dans 22% des cas, avec le placebo dans 37% des cas, et avec la barre au fructane dans 41% des cas. Quand on affine encore les résultats (sévérité faible, moyenne ou élevée), on ne constate pas de différence entre le groupe placebo et le groupe gluten. Même si d’autres recherches doivent être entreprises pour vérifier ces données, les auteurs en déduisent que dans bien des cas, la sensibilité au gluten n’est probablement pas liée au gluten lui-même, et en tout cas pas au gluten seul. Ceci pourrait expliquer la raison pour laquelle même en excluant autant que possible le gluten de leur alimentation, ces personnes continuent à ressentir les inconforts intestinaux, puisque le fructane (d’autres glucides apparentés sont-ils aussi en cause ?) est présent dans bien des aliments sans gluten…
La « sensibilité au gluten non cœliaque » (SGNC) reste un sujet controversé. En tout cas, ces personnes indiquent développer des soucis que l’on peut rapprocher de ceux observés dans la « vraie » intolérance au gluten et dans le syndrome de l’intestin irritable : douleurs abdominales, ballonnements, diarrhée ou constipation, fatigue, maux de tête… Le mécanisme est très mal connu.
Une équipe norvégienne (université d’Oslo) a réalisé des tests auprès d’un groupe de participants qui auto-déclaraient une sensibilité au gluten (hors maladie cœliaque, donc). Tous les jours pendant une semaine, à plusieurs reprises et chaque fois avec un intervalle d’au moins une semaine, chacun a mangé une barre de muesli contenant soit du gluten(5,7 g), soit du fructane (2,1 g), soit un placebo (ni gluten, ni fructane). L’alimentation quotidienne répondait aux mêmes paramètres pour tous. Le fructane est un glucide (sucre) que l’on retrouve dans de nombreux produits contenant des céréales… et du gluten - farine, pâte, pain… -, ainsi que dans une série d’aliments, singulièrement les végétaux (oignon, ail, poireau, artichaut, asperge…). Au terme de chaque phase de l’expérience, les volontaires - qui ignoraient ce que contenait la barre de muesli - ont indiqué dans quelle mesure ils avaient souffert de problèmes intestinaux.
Que constate-t-on ? Sur une échelle de sévérité des troubles, le score le plus élevé est rapporté avec la barre au gluten dans 22% des cas, avec le placebo dans 37% des cas, et avec la barre au fructane dans 41% des cas. Quand on affine encore les résultats (sévérité faible, moyenne ou élevée), on ne constate pas de différence entre le groupe placebo et le groupe gluten. Même si d’autres recherches doivent être entreprises pour vérifier ces données, les auteurs en déduisent que dans bien des cas, la sensibilité au gluten n’est probablement pas liée au gluten lui-même, et en tout cas pas au gluten seul. Ceci pourrait expliquer la raison pour laquelle même en excluant autant que possible le gluten de leur alimentation, ces personnes continuent à ressentir les inconforts intestinaux, puisque le fructane (d’autres glucides apparentés sont-ils aussi en cause ?) est présent dans bien des aliments sans gluten…
Source: Gastroenterology (www.gastrojournal.org)
publié le : 20/02/2018 , mis à jour le 19/02/2018
publié le : 20/02/2018 , mis à jour le 19/02/2018
mardi 20 février 2018
lundi 19 février 2018
dimanche 18 février 2018
samedi 17 février 2018
Diabète : l’effet protecteur des antioxydants
NEWS On les trouve en abondance dans les fruits et les légumes : une alimentation riche en antioxydants réduit fortement le risque de diabète.
Des recherches récentes suggèrent que le phénomène de stress oxydatif (agression des cellules par les radicaux libres) contribue au développement du diabète de type 2 (DT2). Or, la nourriture, et en particulier les fruits et les légumes, contiennent une grande variété de composants avec une activité antioxydante, qui permettent donc de lutter contre le stress oxydatif. Et contre le risque de diabète ? Une équipe française (Inserm) a suivi pendant une quinzaine d’années quelque 65.000 femmes d’âge moyen. Les cas de diabète ont été analysés à la lumière du comportement nutritionnel, et en particulier les apports en antioxydants (sur base d’un questionnaire très fouillé).
Le résultat montre que par rapport au groupe avec les apports les plus faibles en antioxydants, les apports moyens à élevés réduisent le risque de diabète de 26% à 30%, ce qui est considérable. En fait, on observe un « effet plateau » : au-delà d’une certaine quantité (15 mmol / jour, pour être précis), l’effet protecteur n’augmente plus. En réalité, une consommation quotidienne bien équilibrée (5 portions de fruits et de légumes) semble suffire. Il faut ajouter que ce bénéfice se maintient après avoir pris en compte les facteurs de risque classiques de diabète, et en particulier la sédentarité et un indice de masse corporelle (IMC) élevé.
Quels sont les aliments riches en antioxydants (vitamines C et E, lycopène, flavonoïdes, bêta-carotène…) ? Le chocolat noir, les noix, le pruneau, la myrtille, le raisin, la noisette, le thé, le café, le vin rouge (modérément…), l’orange, le brocoli, l’épinard, la carotte, la tomate, le kiwi… En fait, une alimentation diversifiée, intégrant une belle quantité de fruits et de légumes, devrait répondre aux besoins en antioxydants.
Des recherches récentes suggèrent que le phénomène de stress oxydatif (agression des cellules par les radicaux libres) contribue au développement du diabète de type 2 (DT2). Or, la nourriture, et en particulier les fruits et les légumes, contiennent une grande variété de composants avec une activité antioxydante, qui permettent donc de lutter contre le stress oxydatif. Et contre le risque de diabète ? Une équipe française (Inserm) a suivi pendant une quinzaine d’années quelque 65.000 femmes d’âge moyen. Les cas de diabète ont été analysés à la lumière du comportement nutritionnel, et en particulier les apports en antioxydants (sur base d’un questionnaire très fouillé).
Le résultat montre que par rapport au groupe avec les apports les plus faibles en antioxydants, les apports moyens à élevés réduisent le risque de diabète de 26% à 30%, ce qui est considérable. En fait, on observe un « effet plateau » : au-delà d’une certaine quantité (15 mmol / jour, pour être précis), l’effet protecteur n’augmente plus. En réalité, une consommation quotidienne bien équilibrée (5 portions de fruits et de légumes) semble suffire. Il faut ajouter que ce bénéfice se maintient après avoir pris en compte les facteurs de risque classiques de diabète, et en particulier la sédentarité et un indice de masse corporelle (IMC) élevé.
Quels sont les aliments riches en antioxydants (vitamines C et E, lycopène, flavonoïdes, bêta-carotène…) ? Le chocolat noir, les noix, le pruneau, la myrtille, le raisin, la noisette, le thé, le café, le vin rouge (modérément…), l’orange, le brocoli, l’épinard, la carotte, la tomate, le kiwi… En fait, une alimentation diversifiée, intégrant une belle quantité de fruits et de légumes, devrait répondre aux besoins en antioxydants.
Source: Diabetologia (https://link.springer.com/j)
vendredi 16 février 2018
Automutilation sur Internet : étrange et inquiétant
NEWS Alors qu’on étudie beaucoup le harcèlement numérique (digital), un autre phénomène est beaucoup moins connu, et pourtant bien réel : celui de l’auto-flagellation.
L’automutilation numérique se définit par le fait de poster sur les réseaux sociaux, de manière anonyme, du contenu blessant contre soi-même. Une équipe américaine (University of Wisconsin) a interrogé à ce sujet quelque 6000 adolescents (12 à 17 ans), représentatifs de la population de cet âge. Premier élément : 6% d’entre eux indiquent avoir diffusé sur Internet - anonymement, donc - des propos méchants sur eux-mêmes.
L’automutilation numérique se définit par le fait de poster sur les réseaux sociaux, de manière anonyme, du contenu blessant contre soi-même. Une équipe américaine (University of Wisconsin) a interrogé à ce sujet quelque 6000 adolescents (12 à 17 ans), représentatifs de la population de cet âge. Premier élément : 6% d’entre eux indiquent avoir diffusé sur Internet - anonymement, donc - des propos méchants sur eux-mêmes.
Détestation de soi, recherche d'attention...
Comme le détaille Sciences et Avenir, environ la moitié ne l’ont fait qu’une seule fois, 35% plusieurs fois, et 13% de manière régulière. Les garçons sont un peu plus représentés (7%) que les filles (5%). L’âge n’a pas vraiment d’influence, au contraire de l’orientation sexuelle : les non-hétérosexuels sont trois fois plus susceptibles d’adopter ce comportement. Autre facteur majeur : les victimes de cyber-harcèlement ou de harcèlement à l’école sont douze fois plus à risque de s’automutiler sur Internet.
Une question ouverte a permis de cerner les motivations de ces jeunes. Certains éléments sont récurrents : la détestation de soi, la recherche d’attention, les symptômes dépressifs, l’envie de connaître la réaction des autres… « Nous devons accepter le fait troublant que dans certains cas, l’agresseur et la cible sont une seule et même personne », poursuit le coordinateur de cette étude. « En outre, ce comportement indique un profond besoin de support social et clinique. L’automutilation numérique est un problème nouveau qui demande une attention particulière. Des recherches plus approfondies doivent étudier les motivations qui sous-tendent ce comportement, et de quelle manière il est corrélé à l’automutilation hors ligne et aux pensées suicidaires. Ceci permettra de dégager des approches préventives ».
Il serait aussi intéressant d’évaluer la fréquence de ce comportement dans la population adulte.
Source: Journal of Adolescent Health (www.jahonline.org)
publié le : 15/02/2018
publié le : 15/02/2018
jeudi 15 février 2018
mercredi 14 février 2018
Le WIFI, dangereux pour la santé par le WLAN en voitures autonomes
WLAN im Auto beeinflusst Gehirnströme
Hirnströme oder technische Störung?
Texte en allemand, désolé , lire via Google traduction?
Le Monde de demain avec ces radiations via les voitures autonomes
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