NEWS L’infarctus de l’œil, ou thrombose artérielle de la rétine, est un accident rare mais grave, non seulement pour la vision, mais aussi comme signe annonciateur d’un problème plus étendu.
On parle également d’occlusion artérielle rétinienne, lorsqu’un caillot bloque la circulation dans l’artère centrale de la rétine. Cet infarctus se traduit par une perte brutale de la vision, souvent sans douleur ni rougeur. La prise en charge par un ophtalmologue ne doit pas tarder, car l’accident peut entraîner des dommages irréversibles et une perte totale de la vision.
Mais il y a une autre étape importante : l’évaluation de la santé artérielle globale, car cette thrombose doit être considérée comme un signal d’alarme plus général. Ainsi, rappelle Le Figaro, une étude a montré qu’un patient sur cent victime d’un infarctus de l’œil va souffrir d’un accident vasculaire cérébral (AVC) dans les trois mois qui suivent. Et le risque augmente aussi pour l’infarctus du myocarde. Il est donc indispensable de procéder à un bilan cérébro et cardiovasculaire. Or, une équipe américaine (Cornell University) montre que dans un tiers des cas, ce bilan complet n’est pas réalisé, et en tout cas pas assez rapidement. Si l’infarctus de l’œil reste un accident relativement rare, il s’agit toujours d’une urgence, pour l’œil comme pour le cœur et le cerveau.
On parle également d’occlusion artérielle rétinienne, lorsqu’un caillot bloque la circulation dans l’artère centrale de la rétine. Cet infarctus se traduit par une perte brutale de la vision, souvent sans douleur ni rougeur. La prise en charge par un ophtalmologue ne doit pas tarder, car l’accident peut entraîner des dommages irréversibles et une perte totale de la vision.
Mais il y a une autre étape importante : l’évaluation de la santé artérielle globale, car cette thrombose doit être considérée comme un signal d’alarme plus général. Ainsi, rappelle Le Figaro, une étude a montré qu’un patient sur cent victime d’un infarctus de l’œil va souffrir d’un accident vasculaire cérébral (AVC) dans les trois mois qui suivent. Et le risque augmente aussi pour l’infarctus du myocarde. Il est donc indispensable de procéder à un bilan cérébro et cardiovasculaire. Or, une équipe américaine (Cornell University) montre que dans un tiers des cas, ce bilan complet n’est pas réalisé, et en tout cas pas assez rapidement. Si l’infarctus de l’œil reste un accident relativement rare, il s’agit toujours d’une urgence, pour l’œil comme pour le cœur et le cerveau.
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