NEWS Le fait de s’asseoir sur le siège « fenêtre », au milieu, ou côté couloir fait-il une différence dans le risque de contracter une maladie infectieuse lors d’un voyage en avion ?
Comme l’explique cette équipe américaine (Emory Université), « avec quelque trois milliards de passagers chaque année, la transmission de maladies infectieuses à bord des avions constitue une importante question de santé publique ». Pourtant, si des cas d’infections graves ont été rapportés, l’ampleur de ce risque est inconnue.
Les chercheurs ont mené l’enquête lors de dix vols intercontinentaux au départ des Etats-Unis, dont certains en période d’épidémie de grippe. Ils ont observé le comportement des passagers en classe économique, ainsi que de l’équipage, tout en effectuant une série de prélèvements.
Que constate-t-on ?
• Le risque d’infection directe est faible pour les passagers qui ne sont pas assis à proximité d’une personne malade. Et par proximité, on parle d’environ un mètre : au-delà, la probabilité d’être infecté baisse considérablement.
• Les passagers côté couloir se lèvent deux fois plus souvent de leur siège que ceux côté hublot (fréquence intermédiaire pour les passagers assis au milieu). En soi, c’est une bonne chose lors d’un vol long courrier (un peu d’exercice de temps en temps est important pour la circulation sanguine). Toutefois, cela signifie aussi que ces passagers sont plus susceptibles d’entrer en contact avec une personne infectée croisée ailleurs en cabine.
• Un membre d’équipage malade expose à un risque majeur d’infection en raison de la fréquence des contacts avec les passagers, et en particulier ceux assis côté couloir (distance de moins d’un mètre).
• Une série de surfaces peuvent être contaminées : tablette du plateau-repas, poignée de porte des toilettes… Il est conseillé d’utiliser un produit désinfectant (lingette…) pour assainir les mains, et éviter autant que possible de les porter à la bouche ou au nez.
Ce sont là les constations les plus marquantes. Et quand on croise tout cela, le fait d’être assis côté couloir semble davantage exposer au risque infectieux, par rapport au milieu et au hublot. Ceci étant, les auteurs ajoutent que sauf à être assis sur la même rangée qu’une personne malade, le risque d’être infecté reste faible.
Comme l’explique cette équipe américaine (Emory Université), « avec quelque trois milliards de passagers chaque année, la transmission de maladies infectieuses à bord des avions constitue une importante question de santé publique ». Pourtant, si des cas d’infections graves ont été rapportés, l’ampleur de ce risque est inconnue.
Les chercheurs ont mené l’enquête lors de dix vols intercontinentaux au départ des Etats-Unis, dont certains en période d’épidémie de grippe. Ils ont observé le comportement des passagers en classe économique, ainsi que de l’équipage, tout en effectuant une série de prélèvements.
Que constate-t-on ?
• Le risque d’infection directe est faible pour les passagers qui ne sont pas assis à proximité d’une personne malade. Et par proximité, on parle d’environ un mètre : au-delà, la probabilité d’être infecté baisse considérablement.
• Les passagers côté couloir se lèvent deux fois plus souvent de leur siège que ceux côté hublot (fréquence intermédiaire pour les passagers assis au milieu). En soi, c’est une bonne chose lors d’un vol long courrier (un peu d’exercice de temps en temps est important pour la circulation sanguine). Toutefois, cela signifie aussi que ces passagers sont plus susceptibles d’entrer en contact avec une personne infectée croisée ailleurs en cabine.
• Un membre d’équipage malade expose à un risque majeur d’infection en raison de la fréquence des contacts avec les passagers, et en particulier ceux assis côté couloir (distance de moins d’un mètre).
• Une série de surfaces peuvent être contaminées : tablette du plateau-repas, poignée de porte des toilettes… Il est conseillé d’utiliser un produit désinfectant (lingette…) pour assainir les mains, et éviter autant que possible de les porter à la bouche ou au nez.
Ce sont là les constations les plus marquantes. Et quand on croise tout cela, le fait d’être assis côté couloir semble davantage exposer au risque infectieux, par rapport au milieu et au hublot. Ceci étant, les auteurs ajoutent que sauf à être assis sur la même rangée qu’une personne malade, le risque d’être infecté reste faible.
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