NEWS L’ostéoporose est souvent associée aux femmes, en particulier après la ménopause. Pourtant, les hommes ne sont pas épargnés, loin s’en faut.
L’ostéoporose correspond à une diminution de la densité osseuse, avec une fragilisation des os, ce qui augmente sensiblement le risque de fracture. Globalement, elle affecte davantage les femmes post-ménopausées, en raison d’une baisse de la production d’hormones féminines (œstrogènes). Mais les hommes ne sont pas épargnés, et chez eux, les conséquences peuvent être bien plus graves que chez les femmes. C’est ce que confirment deux études récentes.
• La fracture secondaire. Une équipe québécoise (université McGill) a suivi plusieurs dizaines de milliers d’hommes et de femmes (plus de 50 ans à l’entame) pendant une période d’une vingtaine d’années. Objectif : évaluer le risque de fracture secondaire après une première fracture de la hanche, d’une vertèbre ou du bras. Il s’avère que le risque est trois fois plus élevé chez les hommes que chez les femmes, et que chez eux, il est à son maximum dans les trois années qui suivent la première fracture.
• La mortalité. Une équipe américaine (université du Minnesota) souligne que par rapport aux femmes, le risque de décès dans l’année qui suit une fracture de la hanche est doublé chez les hommes. Mais dans le même temps, il s’avère que la poursuite d’une activité physique (même modeste) jusqu’à un âge avancé exerce un effet protecteur contre le risque de fracture, en raison d’une meilleure résistance osseuse.
Ce qu’il faut surtout retenir, c’est que contrairement à une idée répandue, l’ostéoporose n’est pas « un problème de femme », et que les hommes ont tout intérêt à se préoccuper de cette question.
L’ostéoporose correspond à une diminution de la densité osseuse, avec une fragilisation des os, ce qui augmente sensiblement le risque de fracture. Globalement, elle affecte davantage les femmes post-ménopausées, en raison d’une baisse de la production d’hormones féminines (œstrogènes). Mais les hommes ne sont pas épargnés, et chez eux, les conséquences peuvent être bien plus graves que chez les femmes. C’est ce que confirment deux études récentes.
• La fracture secondaire. Une équipe québécoise (université McGill) a suivi plusieurs dizaines de milliers d’hommes et de femmes (plus de 50 ans à l’entame) pendant une période d’une vingtaine d’années. Objectif : évaluer le risque de fracture secondaire après une première fracture de la hanche, d’une vertèbre ou du bras. Il s’avère que le risque est trois fois plus élevé chez les hommes que chez les femmes, et que chez eux, il est à son maximum dans les trois années qui suivent la première fracture.
• La mortalité. Une équipe américaine (université du Minnesota) souligne que par rapport aux femmes, le risque de décès dans l’année qui suit une fracture de la hanche est doublé chez les hommes. Mais dans le même temps, il s’avère que la poursuite d’une activité physique (même modeste) jusqu’à un âge avancé exerce un effet protecteur contre le risque de fracture, en raison d’une meilleure résistance osseuse.
Ce qu’il faut surtout retenir, c’est que contrairement à une idée répandue, l’ostéoporose n’est pas « un problème de femme », et que les hommes ont tout intérêt à se préoccuper de cette question.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire