vendredi 31 mai 2019
Les éoliennes sont-elles dangereuses pour la santé ?
VIDÉO Migraines, nausées, tachycardie… Depuis plusieurs années, des personnes vivant à proximité de parcs éoliens rapportent des symptômes inexpliqués. Selon des associations de riverains et certains politiques, la responsabilité des éoliennes ne fait aucun doute. Qu’en est-il vraiment ?
https://www.lemonde.fr/planete/video/2019/05/30/les-eoliennes-sont-elles-dangereuses-pour-la-sante_5469580_3244.html
On a retrouvé la plus grosse abeille du monde
NEWS Elle n’avait plus été aperçue depuis près de 40 ans : un entomologiste a redécouvert l’abeille de Wallace, la plus grosse du monde, qui n’est observée qu’exceptionnellement.
L’abeille de Wallace (Megachile pluto) n’est connue que sur quelques îles des Moluques du Nord, enIndonésie, où elle évolue dans des zones reculées des forêts tropicales humides. Elle fut découverte en 1858 par le biologiste britannique Alfred Russel Wallace, puis pendant plus d’un siècle, personne n’est parvenu à l’observer, au point qu’elle fut considérée comme probablement éteinte. Et ceci jusqu’en 1981, lorsqu’un entomologiste américain réussit à identifier six nids.
Puis plus rien, et ce n’est qu’en février dernier que le photographe américain Clay Bolt, grand spécialiste des abeilles et qui participait à une expédition du Global Wildlife Conservation, a pu à nouveau immortaliser cet insecte étonnant, qu’il qualifie de « bouledogue volant ».
L’abeille de Wallace fait quatre fois la taille d’une abeille à miel, soit l’équivalent de la longueur d’un pouce humain. La femelle peut atteindre 4 cm de long et 6 cm d’envergure. Cette espèce est classée comme « vulnérable » par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), sachant les menaces qui pèsent sur son biotope. La difficulté à l’observer tient non seulement au fait qu’elle soit rare, mais aussi aux
L’abeille de Wallace (Megachile pluto) n’est connue que sur quelques îles des Moluques du Nord, enIndonésie, où elle évolue dans des zones reculées des forêts tropicales humides. Elle fut découverte en 1858 par le biologiste britannique Alfred Russel Wallace, puis pendant plus d’un siècle, personne n’est parvenu à l’observer, au point qu’elle fut considérée comme probablement éteinte. Et ceci jusqu’en 1981, lorsqu’un entomologiste américain réussit à identifier six nids.
Puis plus rien, et ce n’est qu’en février dernier que le photographe américain Clay Bolt, grand spécialiste des abeilles et qui participait à une expédition du Global Wildlife Conservation, a pu à nouveau immortaliser cet insecte étonnant, qu’il qualifie de « bouledogue volant ».
L’abeille de Wallace fait quatre fois la taille d’une abeille à miel, soit l’équivalent de la longueur d’un pouce humain. La femelle peut atteindre 4 cm de long et 6 cm d’envergure. Cette espèce est classée comme « vulnérable » par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), sachant les menaces qui pèsent sur son biotope. La difficulté à l’observer tient non seulement au fait qu’elle soit rare, mais aussi aux
jeudi 30 mai 2019
mercredi 29 mai 2019
mardi 28 mai 2019
lundi 27 mai 2019
dimanche 26 mai 2019
samedi 25 mai 2019
Arthrose et mal de dos : attention aux antidouleurs puissants
NEWS En cas de douleurs chroniques non cancéreuses, ici associées à l’arthrose et au mal de dos, l’utilisation d’analgésiques opioïdes n’est pas pas indiquée.
Il s’agit d’un constat global, et les médecins en évalueront la pertinence en fonction des situations individuelles de leurs patients. Le Centre belge d’information pharmaco-thérapeutique (CBIP) rappelle qu’il avait déjà souligné qu’il n’existaitaucune preuve solide justifiant l’utilisation d’opioïdes dans le cas de douleurs chroniques non cancéreuses, alors que ces médicaments sont associés à un risque marqué d’effet indésirables graves, de dépendance et d’abus.
Le CBIP fait état d’une étude américaine menée pendant un an sur des patients souffrant de douleurs chroniques liées à de l’arthrose ou à des problèmes au dos. Les effets sur lescapacités fonctionnelles et sur la douleur ont été comparés entre les médicaments opioïdes (par exemple : codéine, tramadol, fentanyl, oxycodone…) et non opioïdes. Le résultat montre que la « stratégie opioïdes » n’est pas plus efficace à moyen et à long terme (période de 3 à 12 mois), alors qu’elle entraîne nettement plus d’effets secondaires.
Le CBIP souligne que le traitement de la douleur chronique nécessite une prise en charge globale, veillant notamment à un mode de vie actif et à la santé mentale du patient.
Il s’agit d’un constat global, et les médecins en évalueront la pertinence en fonction des situations individuelles de leurs patients. Le Centre belge d’information pharmaco-thérapeutique (CBIP) rappelle qu’il avait déjà souligné qu’il n’existaitaucune preuve solide justifiant l’utilisation d’opioïdes dans le cas de douleurs chroniques non cancéreuses, alors que ces médicaments sont associés à un risque marqué d’effet indésirables graves, de dépendance et d’abus.
Le CBIP fait état d’une étude américaine menée pendant un an sur des patients souffrant de douleurs chroniques liées à de l’arthrose ou à des problèmes au dos. Les effets sur lescapacités fonctionnelles et sur la douleur ont été comparés entre les médicaments opioïdes (par exemple : codéine, tramadol, fentanyl, oxycodone…) et non opioïdes. Le résultat montre que la « stratégie opioïdes » n’est pas plus efficace à moyen et à long terme (période de 3 à 12 mois), alors qu’elle entraîne nettement plus d’effets secondaires.
Le CBIP souligne que le traitement de la douleur chronique nécessite une prise en charge globale, veillant notamment à un mode de vie actif et à la santé mentale du patient.
Source: CBIP (www.cbip.be/fr/start)
publié le : 25/05/2019
publié le : 25/05/2019
vendredi 24 mai 2019
mercredi 22 mai 2019
Plongée au cœur de la mémoire, notre GPS de 0 à 110 ans
https://www.lemonde.fr/sciences/article/2019/05/21/plongee-au-c-ur-de-la-memoire-notre-gps-de-0-a-110-ans_5464852_1650684.html
A l’occasion du lancement de l’application « Mémorable » par « Le Monde », enquête sur le fonctionnement de la mémoire. La science donne des pistes pour la nourrir et la préserver, à l’heure où le numérique transforme le rapport aux savoirs.
A l’occasion du lancement de l’application « Mémorable » par « Le Monde », enquête sur le fonctionnement de la mémoire. La science donne des pistes pour la nourrir et la préserver, à l’heure où le numérique transforme le rapport aux savoirs.
mardi 21 mai 2019
lundi 20 mai 2019
dimanche 19 mai 2019
Edulcorants : quel effet sur le poids et la santé ?
NEWS Les personnes qui souhaitent limiter les apports caloriques, par exemple pour perdre du poids, ont-elles intérêt à remplacer le sucre par un édulcorant artificiel, comme l'aspartame ? On pourrait le penser, mais la réponse n'est pas si évidente.
Une vaste étude européenne commandée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) montre que les édulcorants artificiels ont peu ou pas d’effet sur le poids. Les chercheurs ont également comparé les effets potentiels des édulcorants artificiels avec ceux du sucre sur plusieurs aspects de la santé, comme la carie dentaire, le diabète, le cancer, la maladie cardiovasculaire, la tension artérielle, les maladies du rein, les allergies ou encore le comportement. Et ici aussi, pratiquement aucune différence n'a été trouvée. Une explication possible est que les édulcorants artificiels ne réduisent finalement pas l’apport énergétique.
Au total, les chercheurs ont analysé une cinquantaine d'études portant sur des enfants et des adultes, mais bon nombre d’entre elles étaient de mauvaise qualité, souvent de courte durée et sur un échantillon trop limité. Selon ces spécialistes, il est donc actuellementimpossible de déterminer si les édulcorants artificiels ont des effets bénéfiques sur la santé. De plus, leurs effets négatifs ne peuvent pas être complètement exclus.
Une vaste étude européenne commandée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) montre que les édulcorants artificiels ont peu ou pas d’effet sur le poids. Les chercheurs ont également comparé les effets potentiels des édulcorants artificiels avec ceux du sucre sur plusieurs aspects de la santé, comme la carie dentaire, le diabète, le cancer, la maladie cardiovasculaire, la tension artérielle, les maladies du rein, les allergies ou encore le comportement. Et ici aussi, pratiquement aucune différence n'a été trouvée. Une explication possible est que les édulcorants artificiels ne réduisent finalement pas l’apport énergétique.
Au total, les chercheurs ont analysé une cinquantaine d'études portant sur des enfants et des adultes, mais bon nombre d’entre elles étaient de mauvaise qualité, souvent de courte durée et sur un échantillon trop limité. Selon ces spécialistes, il est donc actuellementimpossible de déterminer si les édulcorants artificiels ont des effets bénéfiques sur la santé. De plus, leurs effets négatifs ne peuvent pas être complètement exclus.
publié le : 19/05/2019 , mis à jour le 18/05/2019
samedi 18 mai 2019
vendredi 17 mai 2019
jeudi 16 mai 2019
mercredi 15 mai 2019
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