NEWS En cas de douleurs chroniques non cancéreuses, ici associées à l’arthrose et au mal de dos, l’utilisation d’analgésiques opioïdes n’est pas pas indiquée.
Il s’agit d’un constat global, et les médecins en évalueront la pertinence en fonction des situations individuelles de leurs patients. Le Centre belge d’information pharmaco-thérapeutique (CBIP) rappelle qu’il avait déjà souligné qu’il n’existaitaucune preuve solide justifiant l’utilisation d’opioïdes dans le cas de douleurs chroniques non cancéreuses, alors que ces médicaments sont associés à un risque marqué d’effet indésirables graves, de dépendance et d’abus.
Le CBIP fait état d’une étude américaine menée pendant un an sur des patients souffrant de douleurs chroniques liées à de l’arthrose ou à des problèmes au dos. Les effets sur lescapacités fonctionnelles et sur la douleur ont été comparés entre les médicaments opioïdes (par exemple : codéine, tramadol, fentanyl, oxycodone…) et non opioïdes. Le résultat montre que la « stratégie opioïdes » n’est pas plus efficace à moyen et à long terme (période de 3 à 12 mois), alors qu’elle entraîne nettement plus d’effets secondaires.
Le CBIP souligne que le traitement de la douleur chronique nécessite une prise en charge globale, veillant notamment à un mode de vie actif et à la santé mentale du patient.
Il s’agit d’un constat global, et les médecins en évalueront la pertinence en fonction des situations individuelles de leurs patients. Le Centre belge d’information pharmaco-thérapeutique (CBIP) rappelle qu’il avait déjà souligné qu’il n’existaitaucune preuve solide justifiant l’utilisation d’opioïdes dans le cas de douleurs chroniques non cancéreuses, alors que ces médicaments sont associés à un risque marqué d’effet indésirables graves, de dépendance et d’abus.
Le CBIP fait état d’une étude américaine menée pendant un an sur des patients souffrant de douleurs chroniques liées à de l’arthrose ou à des problèmes au dos. Les effets sur lescapacités fonctionnelles et sur la douleur ont été comparés entre les médicaments opioïdes (par exemple : codéine, tramadol, fentanyl, oxycodone…) et non opioïdes. Le résultat montre que la « stratégie opioïdes » n’est pas plus efficace à moyen et à long terme (période de 3 à 12 mois), alors qu’elle entraîne nettement plus d’effets secondaires.
Le CBIP souligne que le traitement de la douleur chronique nécessite une prise en charge globale, veillant notamment à un mode de vie actif et à la santé mentale du patient.
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