NEWS Elle n’avait plus été aperçue depuis près de 40 ans : un entomologiste a redécouvert l’abeille de Wallace, la plus grosse du monde, qui n’est observée qu’exceptionnellement.
L’abeille de Wallace (Megachile pluto) n’est connue que sur quelques îles des Moluques du Nord, enIndonésie, où elle évolue dans des zones reculées des forêts tropicales humides. Elle fut découverte en 1858 par le biologiste britannique Alfred Russel Wallace, puis pendant plus d’un siècle, personne n’est parvenu à l’observer, au point qu’elle fut considérée comme probablement éteinte. Et ceci jusqu’en 1981, lorsqu’un entomologiste américain réussit à identifier six nids.
Puis plus rien, et ce n’est qu’en février dernier que le photographe américain Clay Bolt, grand spécialiste des abeilles et qui participait à une expédition du Global Wildlife Conservation, a pu à nouveau immortaliser cet insecte étonnant, qu’il qualifie de « bouledogue volant ».
L’abeille de Wallace fait quatre fois la taille d’une abeille à miel, soit l’équivalent de la longueur d’un pouce humain. La femelle peut atteindre 4 cm de long et 6 cm d’envergure. Cette espèce est classée comme « vulnérable » par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), sachant les menaces qui pèsent sur son biotope. La difficulté à l’observer tient non seulement au fait qu’elle soit rare, mais aussi aux
L’abeille de Wallace (Megachile pluto) n’est connue que sur quelques îles des Moluques du Nord, enIndonésie, où elle évolue dans des zones reculées des forêts tropicales humides. Elle fut découverte en 1858 par le biologiste britannique Alfred Russel Wallace, puis pendant plus d’un siècle, personne n’est parvenu à l’observer, au point qu’elle fut considérée comme probablement éteinte. Et ceci jusqu’en 1981, lorsqu’un entomologiste américain réussit à identifier six nids.
Puis plus rien, et ce n’est qu’en février dernier que le photographe américain Clay Bolt, grand spécialiste des abeilles et qui participait à une expédition du Global Wildlife Conservation, a pu à nouveau immortaliser cet insecte étonnant, qu’il qualifie de « bouledogue volant ».
L’abeille de Wallace fait quatre fois la taille d’une abeille à miel, soit l’équivalent de la longueur d’un pouce humain. La femelle peut atteindre 4 cm de long et 6 cm d’envergure. Cette espèce est classée comme « vulnérable » par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), sachant les menaces qui pèsent sur son biotope. La difficulté à l’observer tient non seulement au fait qu’elle soit rare, mais aussi aux
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