https://www.lefigaro.fr/sciences/etats-unis-une-operation-du-cerveau-retransmise-en-direct-sur-facebook-20191030
jeudi 31 octobre 2019
Cancer de la peau : la protection des fruits et des légumes
NEWS La vitamine A d’origine alimentaire, surtout celle fournie par les fruits et les légumes, pourrait exercer un effet protecteur contre le cancer de la peau, en l’occurrence le carcinome épidermoïde cutané (ou carcinome spinocellulaire).
Plusieurs études ont cherché à évaluer le bénéfice de la vitamine A dans ce contexte (elle joue un rôle important pour la bonne santé de la peau), mais elles ont abouti à des conclusions contradictoires. Une équipe américaine (Brown University) a examiné des données issues de deux très larges études, regroupant au total quelque 120.000 personnes (hommes et femmes d’âge moyen à l’entame), suivies pendant une période d’une trentaine d’années. Leur régime alimentaire a été évalué périodiquement, et ces informations ont été croisées avec les cas de carcinome épidermoïde cutané (carcinome spinocellulaire), l’une des formes de cancer de la peau.
Ainsi que l’explique le Dr Marie-Line Barbet (Journal international de médecine), « par rapport aux plus faibles, les apports les plus élevés en vitamine A sont associés à unediminution significative du risque de carcinome épidermoïde cutané, et ceci après ajustement pour le phototype, les antécédents de coups de soleil, ainsi que les antécédents familiaux de cancer cutané ». La baisse moyenne du risque s’établit à 17%.
Pour illustrer le propos, les apports les plus élevés en vitamine A correspondent à environ deux grandes carottes par jour. Les apports les plus élevés en lycopène (tomate et autres fruits rouges) et en lutéine (légumes jaunes ou à feuilles vertes) sont également associés à une baisse du risque. La plus grande part de l’apport en vitamine A était fournie par les fruits et les légumes (carotte, potimarron, abricot, fruit de la passion, mangue, clémentine, orange, pêche…), plutôt que par des sources animales ou des suppléments. Si des biais méthodologiques ne sont pas à exclure, ces travaux tendent à soutenir l’hypothèse que les fruits et les légumes, en particulier ceux riches en vitamine A, pourraient contribuer à exercer un effet protecteur contre ce type de cancer de la peau.
Plusieurs études ont cherché à évaluer le bénéfice de la vitamine A dans ce contexte (elle joue un rôle important pour la bonne santé de la peau), mais elles ont abouti à des conclusions contradictoires. Une équipe américaine (Brown University) a examiné des données issues de deux très larges études, regroupant au total quelque 120.000 personnes (hommes et femmes d’âge moyen à l’entame), suivies pendant une période d’une trentaine d’années. Leur régime alimentaire a été évalué périodiquement, et ces informations ont été croisées avec les cas de carcinome épidermoïde cutané (carcinome spinocellulaire), l’une des formes de cancer de la peau.
Ainsi que l’explique le Dr Marie-Line Barbet (Journal international de médecine), « par rapport aux plus faibles, les apports les plus élevés en vitamine A sont associés à unediminution significative du risque de carcinome épidermoïde cutané, et ceci après ajustement pour le phototype, les antécédents de coups de soleil, ainsi que les antécédents familiaux de cancer cutané ». La baisse moyenne du risque s’établit à 17%.
Pour illustrer le propos, les apports les plus élevés en vitamine A correspondent à environ deux grandes carottes par jour. Les apports les plus élevés en lycopène (tomate et autres fruits rouges) et en lutéine (légumes jaunes ou à feuilles vertes) sont également associés à une baisse du risque. La plus grande part de l’apport en vitamine A était fournie par les fruits et les légumes (carotte, potimarron, abricot, fruit de la passion, mangue, clémentine, orange, pêche…), plutôt que par des sources animales ou des suppléments. Si des biais méthodologiques ne sont pas à exclure, ces travaux tendent à soutenir l’hypothèse que les fruits et les légumes, en particulier ceux riches en vitamine A, pourraient contribuer à exercer un effet protecteur contre ce type de cancer de la peau.
mercredi 30 octobre 2019
mardi 29 octobre 2019
lundi 28 octobre 2019
Sargasses : un programme international officiellement créé
https://www.lefigaro.fr/sciences/sargasses-un-programme-international-officiellement-cree-20191027
Un «programme caribéen sur les sargasses», qui permettra la mise en place d'une plateforme d'information et d'un centre d'alerte, a été officiellement constitué samedi 26 octobre à l'issue d'une conférence internationale à Pointe-à-Pitre réunissant délégations nationales et organisations régionales des Caraïbes.
Un «programme caribéen sur les sargasses», qui permettra la mise en place d'une plateforme d'information et d'un centre d'alerte, a été officiellement constitué samedi 26 octobre à l'issue d'une conférence internationale à Pointe-à-Pitre réunissant délégations nationales et organisations régionales des Caraïbes.
dimanche 27 octobre 2019
Heure d'hiver et heure d'été: impacts sur la santé
https://www.tdg.ch/savoirs/sante/heure-hiver-heure-dete-impacts-sante/story/14452946
VidéoLe médecin spécialiste du sommeil Raphaël Heinzer explique ce que ces changements d'heure impliquent pour notre rythme biologique.
samedi 26 octobre 2019
Objectif Mars : pourquoi le décollage est un casse-tête
https://www.lemonde.fr/sciences/video/2019/10/25/objectif-mars-pourquoi-le-decollage-est-un-casse-tete_6016948_1650684.html
Un demi-siècle après avoir marché sur la Lune, l’humanité a désormais le regard tourné vers Mars. Mais la route s’annonce bien plus compliquée.
Un demi-siècle après avoir marché sur la Lune, l’humanité a désormais le regard tourné vers Mars. Mais la route s’annonce bien plus compliquée.
Cerises acides (griottes) : un « plus » pour le cerveau
NEWS Des griottes pour la santé du cerveau ? En tout cas, la piste est intéressante : le fruit pourrait en effet agir favorablement sur les fonctions cognitives des seniors.
Comme d’autres fruits rouges, la griotte, ou cerise acide, est riche en flavonoïdes(polyphénols), dont les anthocyanes, à l’effetanti-inflammatoire et antioxydant. Cette équipe américaine (université du Delaware) avait déjà montré que la consommation de griottes pouvait contribuer à faire baisser la pression artérielle systolique chez les seniors, tout en agissant favorablement sur le stress oxydatif et le processus inflammatoire.
Dans le prolongement de ces travaux, les chercheurs ont examiné l’effet des griottes sur lafonction cognitive, toujours chez les seniors. Les participants, sans déficience cognitive, ont été scindés en deux groupes, suivis pendant trois mois.
• 1°) intégration des griottes (deux petites tasses par jour) dans le régime alimentaire habituel
• 2°) aucun changement
A l’entame et à la fin, les participants ont été soumis à différents tests. Le résultat met en évidence une amélioration « significative », dans le groupe griottes, des scores demémoire (en particulier la mémoire spatiale et la mémoire de travail), d’attention (capacité de concentration), et même d’habileté (mouvements moins lents et plus précis).
Les chercheurs indiquent : « La consommation quotidienne de griottes peut améliorer les habiletés cognitives, probablement par une action antioxydante et anti-inflammatoire, couplée à une baisse de la pression artérielle ». De manière assez classique, ils ajoutent que des recherches supplémentaires sont nécessaires pour confirmer ces observations.
Comme d’autres fruits rouges, la griotte, ou cerise acide, est riche en flavonoïdes(polyphénols), dont les anthocyanes, à l’effetanti-inflammatoire et antioxydant. Cette équipe américaine (université du Delaware) avait déjà montré que la consommation de griottes pouvait contribuer à faire baisser la pression artérielle systolique chez les seniors, tout en agissant favorablement sur le stress oxydatif et le processus inflammatoire.
Dans le prolongement de ces travaux, les chercheurs ont examiné l’effet des griottes sur lafonction cognitive, toujours chez les seniors. Les participants, sans déficience cognitive, ont été scindés en deux groupes, suivis pendant trois mois.
• 1°) intégration des griottes (deux petites tasses par jour) dans le régime alimentaire habituel
• 2°) aucun changement
A l’entame et à la fin, les participants ont été soumis à différents tests. Le résultat met en évidence une amélioration « significative », dans le groupe griottes, des scores demémoire (en particulier la mémoire spatiale et la mémoire de travail), d’attention (capacité de concentration), et même d’habileté (mouvements moins lents et plus précis).
Les chercheurs indiquent : « La consommation quotidienne de griottes peut améliorer les habiletés cognitives, probablement par une action antioxydante et anti-inflammatoire, couplée à une baisse de la pression artérielle ». De manière assez classique, ils ajoutent que des recherches supplémentaires sont nécessaires pour confirmer ces observations.
Source: Food & Function (https://pubs.rsc.org/en/jou)
publié le : 25/10/2019 , mis à jour le 25/10/2019
publié le : 25/10/2019 , mis à jour le 25/10/2019
vendredi 25 octobre 2019
L’univers tout entier passe aux rayons X
https://www.lefigaro.fr/sciences/l-univers-tout-entier-passe-aux-rayons-x-20191024
Nous ne percevons avec nos yeux qu’une infime partie de la diversité lumineuse du monde. Une minuscule poignée de longueurs d’onde allant du rouge au violet. C’est parfaitement adapté au pic de lumino...
Nous ne percevons avec nos yeux qu’une infime partie de la diversité lumineuse du monde. Une minuscule poignée de longueurs d’onde allant du rouge au violet. C’est parfaitement adapté au pic de lumino...
jeudi 24 octobre 2019
La Thaïlande va interdire le glyphosate et deux autres pesticides
https://www.lemonde.fr/planete/article/2019/10/22/la-thailande-va-interdire-le-glyphosate-et-deux-autres-pesticides_6016482_3244.html
La commission des substances dangereuses a voté l’interdiction du glyphosate, du chlorpyrifos et du paraquat à compter du 1er décembre.
La commission des substances dangereuses a voté l’interdiction du glyphosate, du chlorpyrifos et du paraquat à compter du 1er décembre.
Chiens et chats : quelle est cette bactérie mortelle pour l’homme ?
NEWS Plusieurs cas d’amputation et de décès ont été rapportés suite à une morsure ou au léchage par un chien (surtout) ou un chat. En cause : Capnocytophaga canimorsus, une bactérie peuplant la gueule des animaux de compagnie.
Cette bactérie serait présente chez à peu près un quart des chiens, pour lesquels, comme pour les chats, elle ne représente aucun danger. Par contre, lorsque le germe infecte l’être humain, la situation peut se compliquer de manière dramatique. C. canimorsus est véhiculée par la salive, et elle pénètre l’organisme humain suite à une morsure ou au léchage (via une plaie). Voici peu, l’actualité a rapporté le cas d’une Américaine qui a dû être amputée des pieds et des mains après avoir développé une infection à C. canimorsus. Des décès ont également été notifiés.
Les symptômes classiques vont d’un léger syndrome grippal à un sepsis général (inflammation et infection systémique grave). En général, les patients se plaignent (à des degrés variables) d’une combinaison de manifestations : fièvre, vomissements, diarrhée, malaise, douleurs abdominales et musculaires, maux de tête, difficultés respiratoires, éruption cutanée diffuse… Si ces signes apparaissent dans les jours qui suivent un contact avec un chien (ou un chat), il est crucial de se tourner vers un médecin : dans la majorité des cas, un traitement antibiotique assure la guérison.
Sinon, l’infection peut évoluer de manière catastrophique, provoquant notamment des troubles de la coagulation, une atteinte cardiaque ou encore une méningite. Certaines personnes sont bien plus à risque de développer une infection sévère. Parmi celles-ci, on mentionnera les patients qui ont subi une ablation de la rate (splénectomie), les gros buveurs d’alcool et en cas de système immunitaire affaibli (en raison d’une maladie ou d’un traitement). Ceci étant, n’importe qui, même en parfaite santé, peut présenter une infection grave à C. canimorsus. Les cas sont relativement rares, mais ils existent : attention donc aux signaux d’alerte.
Cette bactérie serait présente chez à peu près un quart des chiens, pour lesquels, comme pour les chats, elle ne représente aucun danger. Par contre, lorsque le germe infecte l’être humain, la situation peut se compliquer de manière dramatique. C. canimorsus est véhiculée par la salive, et elle pénètre l’organisme humain suite à une morsure ou au léchage (via une plaie). Voici peu, l’actualité a rapporté le cas d’une Américaine qui a dû être amputée des pieds et des mains après avoir développé une infection à C. canimorsus. Des décès ont également été notifiés.
Les symptômes classiques vont d’un léger syndrome grippal à un sepsis général (inflammation et infection systémique grave). En général, les patients se plaignent (à des degrés variables) d’une combinaison de manifestations : fièvre, vomissements, diarrhée, malaise, douleurs abdominales et musculaires, maux de tête, difficultés respiratoires, éruption cutanée diffuse… Si ces signes apparaissent dans les jours qui suivent un contact avec un chien (ou un chat), il est crucial de se tourner vers un médecin : dans la majorité des cas, un traitement antibiotique assure la guérison.
Sinon, l’infection peut évoluer de manière catastrophique, provoquant notamment des troubles de la coagulation, une atteinte cardiaque ou encore une méningite. Certaines personnes sont bien plus à risque de développer une infection sévère. Parmi celles-ci, on mentionnera les patients qui ont subi une ablation de la rate (splénectomie), les gros buveurs d’alcool et en cas de système immunitaire affaibli (en raison d’une maladie ou d’un traitement). Ceci étant, n’importe qui, même en parfaite santé, peut présenter une infection grave à C. canimorsus. Les cas sont relativement rares, mais ils existent : attention donc aux signaux d’alerte.
mercredi 23 octobre 2019
mardi 22 octobre 2019
L'oiseau le plus bruyant du monde crie pour trouver l'amour
https://www.lefigaro.fr/sciences/l-oiseau-le-plus-bruyant-du-monde-crie-pour-trouver-l-amour-20191021
A vriller les tympans ou faire battre le coeur ? C'est bien par amour que l'araponga blanc, désigné lundi l'oiseau le plus bruyant du monde, fait résonner son chant dans les profondeurs de l'Amazonie. «Il chante la première note, tourné vers l'extérieur, puis il fait une rotation dramatique, presque théâtrale (...) expulsant une deuxième note en direction de sa prétendante», décrit à l'AFP le biologiste Jeff Podos de l'université Amherst dans l'Etat du Massachusetts, co-auteur d'une étude sur ce carillonneur, parue lundi dans la revue Current Biology.
A vriller les tympans ou faire battre le coeur ? C'est bien par amour que l'araponga blanc, désigné lundi l'oiseau le plus bruyant du monde, fait résonner son chant dans les profondeurs de l'Amazonie. «Il chante la première note, tourné vers l'extérieur, puis il fait une rotation dramatique, presque théâtrale (...) expulsant une deuxième note en direction de sa prétendante», décrit à l'AFP le biologiste Jeff Podos de l'université Amherst dans l'Etat du Massachusetts, co-auteur d'une étude sur ce carillonneur, parue lundi dans la revue Current Biology.
lundi 21 octobre 2019
Alimentation et cancer : les édulcorants
NEWS Utilisés comme substituts du sucre, les édulcorants (dont l'aspartame) sont parfois soupçonnés d'être associés à un risque plus élevé de cancer. Qu'en est-il ?
Sorbitol, sucralose, aspartame, xylitol... : les édulcorants présentent un fort pouvoir sucrant, alors qu'ils apportent très peu de calories. Quant au risque de cancer, la réponse est non, ils ne l'augmentent pas. Au contraire : en tant qu'alternative au sucre, ils peuvent contribuer à prévenir ou à combattre le surpoids et l'obésité, identifiés comme des facteurs de risque de certains cancers (et de maladies cardiovasculaires et métaboliques, comme le diabète).
Cependant, il ne faut pas en abuser. L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a déterminé la quantité journalière pouvant être consommée en toute sécurité. Vérifiez ici la quantité à ne pas dépasser, en fonction de votre poids, du type d'édulcorant et des produits (par marque) qui en contiennent (boisson, chocolat, confiture, biscuit, yaourt, édulcorant de table...).
Pourquoi cette mauvaise réputation de l'aspartame?
Si l'aspartame a mauvaise réputation, c'est parce que les études ont été mal interprétées. Des recherches ont montré que des rats nourris à l'aspartame s'exposaient à un risque beaucoup plus élevé de tumeur au cerveau. Ces travaux ont fait l’objet d’un examen approfondi par l’EFSA et il s’avère que les rats étaient déjà malades avant l'expérience et que des erreurs ont été commises lors de l'analyse des données.
Cette étude n’est donc plus incluse dans l’évaluation de l’aspartame. L'EFSA dispose d'éléments probants et sa conclusion est qu’un adulte peut consommer quotidiennement jusqu’à 40 mg par kg de poids corporel d’aspartame sans risque accru de cancer.
Les autres édulcorants ont également fait l’objet d’une étude approfondie et ils ont été jugés sûrs. Il est cependant important de ne pas dépasser l'apport quotidien acceptable.
dimanche 20 octobre 2019
samedi 19 octobre 2019
vendredi 18 octobre 2019
jeudi 17 octobre 2019
Gazon artificiel : un risque pour la santé ?
NEWS Voici quelque temps, la sécurité des granulés de plastique utilisés pour la fabrication du gazon synthétique avait suscité des inquiétudes. Ce caoutchouc était soupçonné d'avoir des effets nocifs, notamment comme perturbateur endocrinien. Qu'en est-il ?
Pas nocif ? En 2017, l’European Chemicals Agency (Echa) avait conclu que les risques du gazon artificiel pour les enfants étaient « négligeables ». Les dalles en caoutchouc utilisées entre autres sur les terrains de jeux pour amortir les chutes sont elles aussi sûres.
Nocif ? Un groupe de scientifiques néerlandais a récemment estimé que les granulés en plastique pouvaient contenir des substances cancérigènes et agir sur le système immunitaire. Selon ces spécialistes, il ne faut pas interdire la fréquentation des terrains en gazon synthétique, mais les pratiquants, et ils pensent surtout aux enfants, doivent éviter de porter les mains à la bouche après avoir touché ce matériau. Après l'activité sportive, l'enfant (comme l'adulte) doit prendre une douche et les vêtements doivent être lavés.
Pas nocif ? En 2017, l’European Chemicals Agency (Echa) avait conclu que les risques du gazon artificiel pour les enfants étaient « négligeables ». Les dalles en caoutchouc utilisées entre autres sur les terrains de jeux pour amortir les chutes sont elles aussi sûres.
Nocif ? Un groupe de scientifiques néerlandais a récemment estimé que les granulés en plastique pouvaient contenir des substances cancérigènes et agir sur le système immunitaire. Selon ces spécialistes, il ne faut pas interdire la fréquentation des terrains en gazon synthétique, mais les pratiquants, et ils pensent surtout aux enfants, doivent éviter de porter les mains à la bouche après avoir touché ce matériau. Après l'activité sportive, l'enfant (comme l'adulte) doit prendre une douche et les vêtements doivent être lavés.
mercredi 16 octobre 2019
mardi 15 octobre 2019
Une comète interstellaire découverte dans notre système solaire
https://www.lemonde.fr/sciences/article/2019/10/14/decouverte-d-une-comete-interstellaire-dans-notre-systeme-solaire_6015495_1650684.html
Une comète venue d’ailleurs a été repérée au sein de notre système solaire, révèle une étude publiée, lundi 14 octobre, dans la revue scientifique Nature Astronomy. C’est la deuxième du genre après la découverte, en 2017, d’Oumuamua, un étrange objet en forme de cigare.
Une comète venue d’ailleurs a été repérée au sein de notre système solaire, révèle une étude publiée, lundi 14 octobre, dans la revue scientifique Nature Astronomy. C’est la deuxième du genre après la découverte, en 2017, d’Oumuamua, un étrange objet en forme de cigare.
lundi 14 octobre 2019
Deux nouveaux sites archéologiques dévoilés dans la Vallée des singes à Louxor (photos)
https://www.lesoir.be/253455/article/2019-10-13/deux-nouveaux-sites-archeologiques-devoiles-dans-la-vallee-des-singes-louxor
Deux nouveaux sites archéologiques ont été dévoilés dans la vallée ouest de Louxor, également connue sous le nom de Vallée des singes, par le ministère égyptien des Antiquités. Entre autres découvertes, les archéologues ont trouvé sur le site des centaines de perles d’incrustation et d’objets en or qui ont servi à décorer les cercueils royaux.
Deux nouveaux sites archéologiques ont été dévoilés dans la vallée ouest de Louxor, également connue sous le nom de Vallée des singes, par le ministère égyptien des Antiquités. Entre autres découvertes, les archéologues ont trouvé sur le site des centaines de perles d’incrustation et d’objets en or qui ont servi à décorer les cercueils royaux.
dimanche 13 octobre 2019
samedi 12 octobre 2019
vendredi 11 octobre 2019
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