NEWS La vitamine A d’origine alimentaire, surtout celle fournie par les fruits et les légumes, pourrait exercer un effet protecteur contre le cancer de la peau, en l’occurrence le carcinome épidermoïde cutané (ou carcinome spinocellulaire).
Plusieurs études ont cherché à évaluer le bénéfice de la vitamine A dans ce contexte (elle joue un rôle important pour la bonne santé de la peau), mais elles ont abouti à des conclusions contradictoires. Une équipe américaine (Brown University) a examiné des données issues de deux très larges études, regroupant au total quelque 120.000 personnes (hommes et femmes d’âge moyen à l’entame), suivies pendant une période d’une trentaine d’années. Leur régime alimentaire a été évalué périodiquement, et ces informations ont été croisées avec les cas de carcinome épidermoïde cutané (carcinome spinocellulaire), l’une des formes de cancer de la peau.
Ainsi que l’explique le Dr Marie-Line Barbet (Journal international de médecine), « par rapport aux plus faibles, les apports les plus élevés en vitamine A sont associés à unediminution significative du risque de carcinome épidermoïde cutané, et ceci après ajustement pour le phototype, les antécédents de coups de soleil, ainsi que les antécédents familiaux de cancer cutané ». La baisse moyenne du risque s’établit à 17%.
Pour illustrer le propos, les apports les plus élevés en vitamine A correspondent à environ deux grandes carottes par jour. Les apports les plus élevés en lycopène (tomate et autres fruits rouges) et en lutéine (légumes jaunes ou à feuilles vertes) sont également associés à une baisse du risque. La plus grande part de l’apport en vitamine A était fournie par les fruits et les légumes (carotte, potimarron, abricot, fruit de la passion, mangue, clémentine, orange, pêche…), plutôt que par des sources animales ou des suppléments. Si des biais méthodologiques ne sont pas à exclure, ces travaux tendent à soutenir l’hypothèse que les fruits et les légumes, en particulier ceux riches en vitamine A, pourraient contribuer à exercer un effet protecteur contre ce type de cancer de la peau.
Plusieurs études ont cherché à évaluer le bénéfice de la vitamine A dans ce contexte (elle joue un rôle important pour la bonne santé de la peau), mais elles ont abouti à des conclusions contradictoires. Une équipe américaine (Brown University) a examiné des données issues de deux très larges études, regroupant au total quelque 120.000 personnes (hommes et femmes d’âge moyen à l’entame), suivies pendant une période d’une trentaine d’années. Leur régime alimentaire a été évalué périodiquement, et ces informations ont été croisées avec les cas de carcinome épidermoïde cutané (carcinome spinocellulaire), l’une des formes de cancer de la peau.
Ainsi que l’explique le Dr Marie-Line Barbet (Journal international de médecine), « par rapport aux plus faibles, les apports les plus élevés en vitamine A sont associés à unediminution significative du risque de carcinome épidermoïde cutané, et ceci après ajustement pour le phototype, les antécédents de coups de soleil, ainsi que les antécédents familiaux de cancer cutané ». La baisse moyenne du risque s’établit à 17%.
Pour illustrer le propos, les apports les plus élevés en vitamine A correspondent à environ deux grandes carottes par jour. Les apports les plus élevés en lycopène (tomate et autres fruits rouges) et en lutéine (légumes jaunes ou à feuilles vertes) sont également associés à une baisse du risque. La plus grande part de l’apport en vitamine A était fournie par les fruits et les légumes (carotte, potimarron, abricot, fruit de la passion, mangue, clémentine, orange, pêche…), plutôt que par des sources animales ou des suppléments. Si des biais méthodologiques ne sont pas à exclure, ces travaux tendent à soutenir l’hypothèse que les fruits et les légumes, en particulier ceux riches en vitamine A, pourraient contribuer à exercer un effet protecteur contre ce type de cancer de la peau.
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