https://www.lefigaro.fr/sciences/votre-reve-d-enfant-peut-devenir-realite-l-esa-va-recruter-de-nouveaux-astronautes-20191129
samedi 30 novembre 2019
vendredi 29 novembre 2019
jeudi 28 novembre 2019
mercredi 27 novembre 2019
Vitamine B6 : attention aux risques des suppléments
NEWS La vitamine B6 est présente dans de nombreux aliments, mais aussi dans une multitude de compléments alimentaires et de produits enrichis en vitamines. Attention au surdosage, qui peut causer des troubles du système nerveux.
La carence en vitamine B6 est rare, et dans la plupart des cas, elle est associée à d’autres déficits vitaminiques (en particulier des autres vitamines B). Ceci s’observe notamment chez les personnes alcooliques chroniques. Des taux bas peuvent aussi être identifiés, mais ce n’est pas systématique, lors de certaines maladies (insuffisance rénale, malabsorption intestinale…) ou situations (grossesse, obésité…). Sinon, les aliments d’origine animale ou végétale fournissent les quantités nécessaires.
La carence en vitamine B6 se traduit généralement par des symptômes de neuropathie (atteinte des nerfs périphériques), avec douleurs, engourdissement des membres, paresthésie (trouble du toucher), sensation de brûlure ou de piqûre, démangeaisons… C’est le cas aussi lors d’une surdose, indique la revue médicale Prescrire, et les atteintes peuvent être invalidantes (problèmes progressifs de coordination, démarche instable, maladresse des mains…).
Le délai d’apparition des troubles dépend de la dose et de la durée de la prise : il est d’autant plus court que la dose quotidienne de vitamine B6 est élevée. Les troubles régressent au moins en partie après l’arrêt de la vitamine B6, et ils s’atténuent parfois très lentement, sur plusieurs mois, alors que des séquelles ont été observées. « Hormis quelques indications médicales très précises, consommer de la vitamine B6 en plus de l’alimentation n’est pas justifié, et encore moins en quantité supérieure à 25 mg par jour », poursuit Prescrire. Or, ceci n’est pas toujours mentionné dans les notices des compléments alimentaires ou des suppléments vitaminiques. En tout état de cause, « les patients ont intérêt à être informés des risques de surdose vitaminique que font courir de nombreux produits, par les doses proposées, par le cumul de plusieurs produits et par la prise sur une longue durée ».
La carence en vitamine B6 est rare, et dans la plupart des cas, elle est associée à d’autres déficits vitaminiques (en particulier des autres vitamines B). Ceci s’observe notamment chez les personnes alcooliques chroniques. Des taux bas peuvent aussi être identifiés, mais ce n’est pas systématique, lors de certaines maladies (insuffisance rénale, malabsorption intestinale…) ou situations (grossesse, obésité…). Sinon, les aliments d’origine animale ou végétale fournissent les quantités nécessaires.
La carence en vitamine B6 se traduit généralement par des symptômes de neuropathie (atteinte des nerfs périphériques), avec douleurs, engourdissement des membres, paresthésie (trouble du toucher), sensation de brûlure ou de piqûre, démangeaisons… C’est le cas aussi lors d’une surdose, indique la revue médicale Prescrire, et les atteintes peuvent être invalidantes (problèmes progressifs de coordination, démarche instable, maladresse des mains…).
Le délai d’apparition des troubles dépend de la dose et de la durée de la prise : il est d’autant plus court que la dose quotidienne de vitamine B6 est élevée. Les troubles régressent au moins en partie après l’arrêt de la vitamine B6, et ils s’atténuent parfois très lentement, sur plusieurs mois, alors que des séquelles ont été observées. « Hormis quelques indications médicales très précises, consommer de la vitamine B6 en plus de l’alimentation n’est pas justifié, et encore moins en quantité supérieure à 25 mg par jour », poursuit Prescrire. Or, ceci n’est pas toujours mentionné dans les notices des compléments alimentaires ou des suppléments vitaminiques. En tout état de cause, « les patients ont intérêt à être informés des risques de surdose vitaminique que font courir de nombreux produits, par les doses proposées, par le cumul de plusieurs produits et par la prise sur une longue durée ».
mardi 26 novembre 2019
Un Romand est l'expert mondial des empreintes
https://www.tdg.ch/savoirs/romand-expert-mondial-empreintes/story/21894130
Sciences criminellesChristophe Champod, professeur à l'Université de Lausanne, vient de recevoir la médaille Douglas M. Lucas 2020, la plus prestigieuse dans le domaine des sciences forensiques.
L'Homme a une chance sur 87'000 de disparaître
https://www.tdg.ch/savoirs/sciences/homme-chance-87000-disparaitre/story/27838871
ScienceDes chercheurs de l'Université d'Oxford ont calculé la probabilité d'extinction naturelle de l'espèce humaine dans l'année en cours.
lundi 25 novembre 2019
Objectif Mars : peut-on survivre au voyage ?
https://www.lemonde.fr/sciences/video/2019/11/24/objectif-mars-peut-on-survivre-au-voyage_6020334_1650684.html
Depuis un demi-siècle, l’humanité a envoyé et posé sur sa surface plusieurs robots. Mais réussir à y emmener des humains s’avère plus complexe.
Depuis un demi-siècle, l’humanité a envoyé et posé sur sa surface plusieurs robots. Mais réussir à y emmener des humains s’avère plus complexe.
dimanche 24 novembre 2019
Cholestérol et statines : faut-il poursuivre toute sa vie ?
NEWS La question de savoir s'il est judicieux de prendre des statines (contre le cholestérol) même après 75 ans pour prévenir les problèmes cardiovasculaires fait l'objet de nombreux débats. Des nouvelles données viennent l'alimenter.
Une étude française montre que les personnes en bonne santé âgées de 75 ans qui cessent d'utiliser des statines pour abaisser leur taux de cholestérol ont plus de risques de souffrir de problèmes cardiaques et vasculaires que celles qui poursuivent le traitement.
Les chercheurs ont analysé des données concernant plus de 120.000 personnes âgées qui prenaient des statines depuis au moins deux ans. Elles ont été suivies pendant une moyenne de 2,4 ans.
Résultat : les participants qui avaient arrêté de prendre des statines depuis plus de trois mois pour des raisons diverses étaient 33% plus susceptibles de subir une crise cardiaque. Il est donc important que les patients sous statines, quel que soit leur âge, n'interrompent éventuellement le traitement qu'après concertation étroite avec leur médecin.
Une étude française montre que les personnes en bonne santé âgées de 75 ans qui cessent d'utiliser des statines pour abaisser leur taux de cholestérol ont plus de risques de souffrir de problèmes cardiaques et vasculaires que celles qui poursuivent le traitement.
Les chercheurs ont analysé des données concernant plus de 120.000 personnes âgées qui prenaient des statines depuis au moins deux ans. Elles ont été suivies pendant une moyenne de 2,4 ans.
Résultat : les participants qui avaient arrêté de prendre des statines depuis plus de trois mois pour des raisons diverses étaient 33% plus susceptibles de subir une crise cardiaque. Il est donc important que les patients sous statines, quel que soit leur âge, n'interrompent éventuellement le traitement qu'après concertation étroite avec leur médecin.
Source: European Heart Journal (https://academic.oup.com/eu)
publié le : 24/11/2019 , mis à jour le 23/11/2019
publié le : 24/11/2019 , mis à jour le 23/11/2019
samedi 23 novembre 2019
vendredi 22 novembre 2019
jeudi 21 novembre 2019
A quoi ressemblait notre ancêtre commun ?
NEWS Notre espèce, Homo sapiens, est apparue en Afrique voici environ 300.000 ans. Mais où exactement, et comment ? Et à quoi ressemblait l’ancêtre commun de l’homme moderne ?
Les fossiles africains de moins de 500.000 ans connus à ce jour étant peu nombreux, il manque des pièces au puzzle de notre espèce. Une équipe franco-britannique (CNRS / Musée national d’Histoire naturelle et université de Cambridge) a voulu augmenter le nombre de fossiles disponibles en créant des « fossiles virtuels ».
Pour cela, les chercheurs ont mesuré sous toutes les coutures 263 crânes fossiles et modernes d’hominines (Hominina), correspondant à 29 populations, de manière à pouvoir les modéliser en trois dimensions. Ils montrent ainsi qu’il existe une correspondance forte entre les formes crâniennes moyennes de chacune des 29 populations, et la position de celles-ci dans un arbre de parenté basé sur des données essentiellement génétiques.
Les fossiles africains de moins de 500.000 ans connus à ce jour étant peu nombreux, il manque des pièces au puzzle de notre espèce. Une équipe franco-britannique (CNRS / Musée national d’Histoire naturelle et université de Cambridge) a voulu augmenter le nombre de fossiles disponibles en créant des « fossiles virtuels ».
Pour cela, les chercheurs ont mesuré sous toutes les coutures 263 crânes fossiles et modernes d’hominines (Hominina), correspondant à 29 populations, de manière à pouvoir les modéliser en trois dimensions. Ils montrent ainsi qu’il existe une correspondance forte entre les formes crâniennes moyennes de chacune des 29 populations, et la position de celles-ci dans un arbre de parenté basé sur des données essentiellement génétiques.
Des traits plutôt modernes
Cette bonne correspondance a permis de calculer la forme crânienne probable du dernier ancêtre commun à tous les Homo sapiens. Les traits de ce fossile virtuel, dont l’âge théorique serait de 300.000 ans, apparaissent relativement modernes. Avec la boîte crânienne arrondie, le front assez haut, des bourrelets sous-orbitaires peu marqués et une face peu projetée vers l’avant, sa morphologie est proche de certains fossiles datés de seulement 100.000 ans.
Les spécialistes ont comparé leur fossile virtuel à cinq de ses contemporains bien réels, des crânes d’Homo africans fossiles, âgés de 130.000 à 350.000 ans, et parfois considérés comme faisant partie de nos ancêtres. Cette analyse suggère que notre espèce serait née de l’hybridation des populations du sud et de l’est de l’Afrique. Des populations nord-africaines se seraient mélangées aux Néandertaliens à la suite de migrations vers l’Europe, contribuant de manière moindre à notre espèce.
Cette étude éclaire aussi l’histoire de notre espèce hors d’Afrique. Elle soutient l’hypothèse, établie par d’autres chercheurs sur base d’analyses génétiques, selon laquelle une première sortie d’Afrique n’a laissé de traces qu’en Océanie, puis une deuxième aurait permis à Homo sapiens de peupler successivement l’Europe, l’Asie et enfin l’Amérique.
Source: Nature Communications (www.nature.com/ncomms)
publié le : 21/11/2019 , mis à jour le 20/11/2019
publié le : 21/11/2019 , mis à jour le 20/11/2019
mercredi 20 novembre 2019
mardi 19 novembre 2019
lundi 18 novembre 2019
dimanche 17 novembre 2019
Cœur et cerveau : les étonnants bienfaits des myrtilles
NEWS Les produits rodenticides, appelés aussi les raticides, sont couramment utilisés pour éliminer les rongeurs nuisibles, en particulier les rats et les souris. Mais attention : ils peuvent causer des empoisonnements aux conséquences graves, notamment les produits contenant de l'alpha-chloralose.
Dans plusieurs pays, dont la Belgique et la France, les empoisonnements aux raticides sont en augmentation. Le Centre belge antipoisons a reçu l'année dernière environ un millier d'appels pour cette raison. Dans la grande majorité des cas (70%), ils concernent unanimal domestique (chien ou chat). La substance active semble être l'alpha-chloralose dans 10% des cas et les anticoagulants dans 65% des cas (inconnue pour les derniers 25%). La majorité des raticides contiennent des anticoagulants, mais on observe une utilisation croissante de ceux à base d'alpha-chloralose.
Par le passé, l'alpha-chloralose était utilisé comme somnifère et anesthésique. Il a été retiré du marché des médicaments. Il a fait sa réapparition comme poison contre les rats et les souris.
L'alpha-chloralose agit sur le système nerveux central. Les symptômes d'empoisonnement apparaissent peu après l'ingestion (une ou deux heures). Dans un premier temps, le produit provoque vomissements, vertiges, tremblements, sensation d'ébriété, convulsions, hypersécrétion bronchique... En cas d'ingestion massive, le coma peut survenir rapidement. Contrairement aux agents anticoagulants, il n’existe aucun antidotespécifique. Le traitement de base consiste à soutenir les fonctions vitales.
Dans plusieurs pays, dont la Belgique et la France, les empoisonnements aux raticides sont en augmentation. Le Centre belge antipoisons a reçu l'année dernière environ un millier d'appels pour cette raison. Dans la grande majorité des cas (70%), ils concernent unanimal domestique (chien ou chat). La substance active semble être l'alpha-chloralose dans 10% des cas et les anticoagulants dans 65% des cas (inconnue pour les derniers 25%). La majorité des raticides contiennent des anticoagulants, mais on observe une utilisation croissante de ceux à base d'alpha-chloralose.
Par le passé, l'alpha-chloralose était utilisé comme somnifère et anesthésique. Il a été retiré du marché des médicaments. Il a fait sa réapparition comme poison contre les rats et les souris.
L'alpha-chloralose agit sur le système nerveux central. Les symptômes d'empoisonnement apparaissent peu après l'ingestion (une ou deux heures). Dans un premier temps, le produit provoque vomissements, vertiges, tremblements, sensation d'ébriété, convulsions, hypersécrétion bronchique... En cas d'ingestion massive, le coma peut survenir rapidement. Contrairement aux agents anticoagulants, il n’existe aucun antidotespécifique. Le traitement de base consiste à soutenir les fonctions vitales.
Source: Centre antipoisons (www.centreantipoisons.be)
publié le : 17/11/2019 , mis à jour le 16/11/2019
publié le : 17/11/2019 , mis à jour le 16/11/2019
samedi 16 novembre 2019
vendredi 15 novembre 2019
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