NEWS Les symptômes de la grippe sont assez classiques, mais d’autres infections peuvent se manifester de manière similaire. Comment poser le bon diagnostic ?
La grippe est caractérisée par des symptômescomme l’apparition brusque de fièvre (pouvant être élevée), des frissons, des maux de tête, des douleurs musculaires, une sensation de malaise et de la toux. La survenue brutale d’une fièvre accompagnée de douleurs musculaires est appelée syndrome grippal. Des infections respiratoires liées à des virus autres que grippaux, ou à des bactéries, peuvent présenter des manifestations cliniques similaires à la grippe.
Le test de référence pour confirmer un diagnostic de grippe renvoie à l’analyse virologique, en laboratoire, d’un prélèvement rhinopharyngé. Ceci étant, au moment de la consultation, le médecin doit s’efforcer de poser le bon diagnostic.
La revue médicale Prescrire explique : « En pratique, quand on évoque une grippe, les informations recueillies par le médecin lors de l’entretien et de l’examen clinique sont dans l’ensemble trop peu discriminantes pour écarter ou retenir en confiance ce diagnostic. C’est surtout la connaissance de la prévalence de la grippe à ce moment qui rend plus ou moins probable le diagnostic. En période épidémique, la probabilité de grippe est d’environ 70% chez les patients qui présentent un syndrome grippal, alors qu’elle n’est que de 1% hors phase épidémique ».
La grippe est caractérisée par des symptômescomme l’apparition brusque de fièvre (pouvant être élevée), des frissons, des maux de tête, des douleurs musculaires, une sensation de malaise et de la toux. La survenue brutale d’une fièvre accompagnée de douleurs musculaires est appelée syndrome grippal. Des infections respiratoires liées à des virus autres que grippaux, ou à des bactéries, peuvent présenter des manifestations cliniques similaires à la grippe.
Le test de référence pour confirmer un diagnostic de grippe renvoie à l’analyse virologique, en laboratoire, d’un prélèvement rhinopharyngé. Ceci étant, au moment de la consultation, le médecin doit s’efforcer de poser le bon diagnostic.
La revue médicale Prescrire explique : « En pratique, quand on évoque une grippe, les informations recueillies par le médecin lors de l’entretien et de l’examen clinique sont dans l’ensemble trop peu discriminantes pour écarter ou retenir en confiance ce diagnostic. C’est surtout la connaissance de la prévalence de la grippe à ce moment qui rend plus ou moins probable le diagnostic. En période épidémique, la probabilité de grippe est d’environ 70% chez les patients qui présentent un syndrome grippal, alors qu’elle n’est que de 1% hors phase épidémique ».
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