NEWS La constatation est très étonnante : plus d’un an après le décès, le corps humain continue à bouger, et ce sont surtout les bras qui sont concernés par ce phénomène associé au processus de décomposition.
On savait que le corps humain bougeait lors des premières phases de la décomposition, ce qui n’a rien de surprenant puisque les membres se momifient, les ligaments se déshydratent et s’atrophient. Mais comme le rapporte Sciences et Avenir, c’est la première fois qu’on constate que cela se produit bien longtemps après le décès. Pendant 17 mois, une équipe australienne (Australian Facility for Taphonomic Experimental Research) a filmé un corps en décomposition, légué à une « ferme de corps humains » (une infrastructure permettant de mener des investigations sur la décomposition des cadavres dans une grande diversité de conditions).
Et la surprise a été de taille lorsque les chercheurs ont observé, plus d’un an après le décès, que les bras bougeaient encore, et ceci de manière significative. Ainsi, poursuit Sciences et Avenir, « les bras allongés le long du corps au début de l’expérience se sont éloignés du buste pour se retrouver placés plus haut à la fin, sachant qu’un des membres supérieurs a même fait l’aller - retour, s’éloignant et se rapprochant du torse à plusieurs reprises ».
Bien entendu, cette dynamique résulte du processus de décomposition, mais on ignorait qu’elle pouvait persister sur une période aussi longue. Ces éléments devraient contribuer à l’évolution de la médecine légale, et en particulier dans le domaine de l’investigation criminelle.
On savait que le corps humain bougeait lors des premières phases de la décomposition, ce qui n’a rien de surprenant puisque les membres se momifient, les ligaments se déshydratent et s’atrophient. Mais comme le rapporte Sciences et Avenir, c’est la première fois qu’on constate que cela se produit bien longtemps après le décès. Pendant 17 mois, une équipe australienne (Australian Facility for Taphonomic Experimental Research) a filmé un corps en décomposition, légué à une « ferme de corps humains » (une infrastructure permettant de mener des investigations sur la décomposition des cadavres dans une grande diversité de conditions).
Et la surprise a été de taille lorsque les chercheurs ont observé, plus d’un an après le décès, que les bras bougeaient encore, et ceci de manière significative. Ainsi, poursuit Sciences et Avenir, « les bras allongés le long du corps au début de l’expérience se sont éloignés du buste pour se retrouver placés plus haut à la fin, sachant qu’un des membres supérieurs a même fait l’aller - retour, s’éloignant et se rapprochant du torse à plusieurs reprises ».
Bien entendu, cette dynamique résulte du processus de décomposition, mais on ignorait qu’elle pouvait persister sur une période aussi longue. Ces éléments devraient contribuer à l’évolution de la médecine légale, et en particulier dans le domaine de l’investigation criminelle.
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