http://www.lepoint.fr/astronomie/une-tempete-solaire-va-s-abattre-sur-la-terre-30-01-2017-2101244_1925.php
mardi 31 janvier 2017
lundi 30 janvier 2017
Les meilleurs miroirs du monde sont français
http://www.lemonde.fr/sciences/video/2017/01/27/les-meilleurs-miroirs-du-monde-sont-francais_5070067_1650684.html
Les miroirs les plus réfléchissants du monde, qui renvoient 99,9999 % de la lumière incidente, sortent d’un laboratoire français ! Comme l’explique cette vidéo proposée par CNRS Le Journal, les miroirs des détecteurs d’ondes gravitationnelles, instruments scientifiques ultrasensibles, sont traités à Lyon.
Les miroirs les plus parfaits du monde par CNRS
Les miroirs les plus réfléchissants du monde, qui renvoient 99,9999 % de la lumière incidente, sortent d’un laboratoire français ! Comme l’explique cette vidéo proposée par CNRS Le Journal, les miroirs des détecteurs d’ondes gravitationnelles, instruments scientifiques ultrasensibles, sont traités à Lyon.
Les miroirs les plus parfaits du monde par CNRS
dimanche 29 janvier 2017
samedi 28 janvier 2017
Cybersécurité : comment protéger ses données personnelles ?
http://www.lemonde.fr/pixels/video/2017/01/27/cybersecurite-comment-proteger-ses-donnees-personnelles_5070341_4408996.html
Face à la multiplication de cyberattaques, un citoyen « lambda » peut devenir une cible. Documents d’identité, coordonnées bancaires, photos compromettantes,… les raisons sont nombreuses de voir son ordinateur piraté. Comment se protéger ? Comment bien choisir son mot de passe ? Comment sécuriser un réseau wifi ? Les conseils de notre journaliste Martin Untersinger du service Pixels.
Le patch qui analyse votre sueur
NEWS La transpiration émet de nombreuses informations physiologiques : elles peuvent être interprétées en temps réel grâce à un patch et une application pour smartphone.
Ce dispositif, en cours de développement, a été mis au point par une équipe américaine (Northwestern University). Ce n’est pas la première fois, loin s’en faut, que des chercheurs s’intéressent de très près à la sueur, qu’on assimile trop souvent à de l’eau : s’il s’agit de son composant principal, elle contient bien d’autres substances, comme du lactate, du glucose, du chlore, du sodium, du potassium, du magnésium, du calcium, du fer…
Le patch développé par les ingénieurs américains se compose de petits tubes qui captent la sueur et la déposent dans quatre réservoirs contenant un liquide qui change de couleur selon le pH (acidité), le taux de glucose, de lactate et de chlore. Les modifications de couleur sont interprétées par une application smartphone, et le patch en lui-même (une seule utilisation par unité) ne nécessite pas de source d’énergie pour fonctionner.
Ces paramètres - en particulier le glucose et le lactate - sont notamment intéressants pour les sportifs, mais la perspective est de pouvoir élargir et affiner le champ d’analyse, et envisager une utilisation permettant de détecter des problèmes de santé. Des tests de fiabilité ont été réalisés sur des volontaires qui ont porté le patch (sur le bras et le dos) lors d’une activité physique en intérieur (vélo stationnaire) et en extérieur (course à pied). Les résultats ont été convaincants dans les deux cas. Aucune date de commercialisation n'a encore été communiquée.
Ce dispositif, en cours de développement, a été mis au point par une équipe américaine (Northwestern University). Ce n’est pas la première fois, loin s’en faut, que des chercheurs s’intéressent de très près à la sueur, qu’on assimile trop souvent à de l’eau : s’il s’agit de son composant principal, elle contient bien d’autres substances, comme du lactate, du glucose, du chlore, du sodium, du potassium, du magnésium, du calcium, du fer…
Le patch développé par les ingénieurs américains se compose de petits tubes qui captent la sueur et la déposent dans quatre réservoirs contenant un liquide qui change de couleur selon le pH (acidité), le taux de glucose, de lactate et de chlore. Les modifications de couleur sont interprétées par une application smartphone, et le patch en lui-même (une seule utilisation par unité) ne nécessite pas de source d’énergie pour fonctionner.
Ces paramètres - en particulier le glucose et le lactate - sont notamment intéressants pour les sportifs, mais la perspective est de pouvoir élargir et affiner le champ d’analyse, et envisager une utilisation permettant de détecter des problèmes de santé. Des tests de fiabilité ont été réalisés sur des volontaires qui ont porté le patch (sur le bras et le dos) lors d’une activité physique en intérieur (vélo stationnaire) et en extérieur (course à pied). Les résultats ont été convaincants dans les deux cas. Aucune date de commercialisation n'a encore été communiquée.
Source: Science Translational Medicine (http://stm.sciencemag.org)
publié le : 28/01/2017 , mis à jour le 27/01/2017
http://www.passionsante.be/index.cfm?fuseaction=art&art_id=22838
vendredi 27 janvier 2017
jeudi 26 janvier 2017
mercredi 25 janvier 2017
L'entreprise américaine Hyperloop
L'entreprise américaine Hyperloop Transportation Technologies (HTT), qui veut développer le transport conçu par Elon Musk, a signé avec les collectivités locales de la «ville rose» et de la région un accord pour l'élaborer dans le secteur
http://www.liberation.fr/futurs/2017/01/24/hyperloop-un-train-supersonique-bientot-experimente-a-toulouse_1543758
L'entreprise américaine Hyperloop Transportation Technologies (HTT), qui veut développer le transport conçu par Elon Musk, a signé avec les collectivités locales de la «ville rose» et de la région un accord pour l'élaborer dans le secteur.Les dinosaures sont morts de froid
http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/
DÉCOUVERT en 1962 dans la province chinoise du Henan, le site néolithique de Jiahu a déjà livré quantité d'informations étonnantes sur la culture dite de ...
lundi 23 janvier 2017
le Reboussier de Science
Le fiasco du Galaxy Note 7 dû aux batteries défectueuses, selon Samsung
http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/01/23/le-fiasco-du-galaxy-note-7-du-aux-batteries-defectueuses-selon-samsung_5067176_3234.html
Une enquête interne a mobilisé 700 chercheurs et ingénieurs, qui ont testé plus de 200 000 appareils et plus de 30 000 batteries.Francis Hallé : l'homme qui murmurait à l'oreille des plantes
http://www.lepoint.fr/environnement/francis-halle-l-homme-qui-murmurait-a-l-oreille-des-plantes-22-01-2017-2099210_1927.php
Le botaniste, fasciné par les stratégies du végétal, est un amoureux de la forêt tropicale. Aujourd'hui, elle est en péril. Il lance un cri d'alarme.Que voit un chien quand il regarde la télévision ?
http://www.lepoint.fr/science/que-voit-un-chien-quand-il-regarde-la-television-21-01-2017-2098975_25.php
Le meilleur compagnon de l'homme apprécie le petit écran. Mais quels sont ses programmes préférés ? Une chercheuse s'est penchée sur cette question.
dimanche 22 janvier 2017
Galileo : plusieurs horloges atomiques sont tombées en panne
Galileo : plusieurs horloges atomiques sont tombées en panne
http://www.lemonde.fr/cosmos/article/2017/01/18/galileo-plusieurs-horloges-atomiques-sont-tombees-en-panne_5064681_1650695.html
Cet incident « n’affecte pas pour le moment » le système de navigation par satellites, a précisé le directeur de l’Agence spatiale européenne.
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mardi 17 janvier 2017
lundi 16 janvier 2017
dimanche 15 janvier 2017
Hépatite C : le virus, roi du camouflage
NEWS C’est une première mondiale : des chercheurs sont parvenus à visualiser de manière directe le virus de l’hépatite C, un expert du camouflage.
Cette prouesse est à mettre au crédit d’une équipe française (université de Tours). Personne jusqu’à présent n’avait réussi à observer ce virus au microscope. « Dans le sang, il ressemble à une simple petite sphère blanche au milieu d’autres sphères blanches », explique le coordinateur de ces travaux, cité par Sciences et Avenir. Ces autres petites sphères blanches, ce sont des lipoprotéines, les particules qui transportent le gras dans le corps. Le virus et les lipoprotéines non seulement se ressemblent, mais en plus interagissent étroitement, ce qui rend le germe plus difficilement détectable pour le système immunitaire. Et donc aussi pour les scientifiques.
« Un vrai jeu de cache-cache », résume Sciences et Avenir. Par microscopie électronique, les chercheurs français ont réussi un tour de force. « La structure du virus concorde tout à fait avec des travaux antérieurs de biologie moléculaire qui prédisaient son organisation : ces observations valident vingt-cinq ans de travail de la communauté scientifique », souligne l’équipe française. Et Sciences et Avenir ajoute : « Au-delà de la prouesse technique, cette percée ouvre un nouveau champ de recherche contre l’hépatite C ». Si des traitements sont disponibles, le vaccin n’a pas encore été trouvé, et ce pas en avant pourrait contribuer à sa mise au point.
Cette prouesse est à mettre au crédit d’une équipe française (université de Tours). Personne jusqu’à présent n’avait réussi à observer ce virus au microscope. « Dans le sang, il ressemble à une simple petite sphère blanche au milieu d’autres sphères blanches », explique le coordinateur de ces travaux, cité par Sciences et Avenir. Ces autres petites sphères blanches, ce sont des lipoprotéines, les particules qui transportent le gras dans le corps. Le virus et les lipoprotéines non seulement se ressemblent, mais en plus interagissent étroitement, ce qui rend le germe plus difficilement détectable pour le système immunitaire. Et donc aussi pour les scientifiques.
« Un vrai jeu de cache-cache », résume Sciences et Avenir. Par microscopie électronique, les chercheurs français ont réussi un tour de force. « La structure du virus concorde tout à fait avec des travaux antérieurs de biologie moléculaire qui prédisaient son organisation : ces observations valident vingt-cinq ans de travail de la communauté scientifique », souligne l’équipe française. Et Sciences et Avenir ajoute : « Au-delà de la prouesse technique, cette percée ouvre un nouveau champ de recherche contre l’hépatite C ». Si des traitements sont disponibles, le vaccin n’a pas encore été trouvé, et ce pas en avant pourrait contribuer à sa mise au point.
samedi 14 janvier 2017
vendredi 13 janvier 2017
jeudi 12 janvier 2017
S’inspirer de plantes pour produire de l’énergie
http://www.lemonde.fr/sciences/video/2017/01/11/s-inspirer-de-plantes-pour-produire-de-l-energie_5060821_1650684.html
En concevant un catalyseur inspiré d’une enzyme, l’hydrogénase, qui, chez certaines microalgues, transforme l’eau en hydrogène, les chimistes Marc Fontecave (Collège de France) et Vincent Artero (Commissariat à l’énergie atomique ) ont pour objectif de produire de l’hydrogène à bas coûts. Comme l’explique cette vidéo proposée par Universcience.tv, l’idée est de pouvoir ensuite alimenter des piles à combustible, systèmes autonomes de production d’énergie propre, à l’échelle d’une maison ou d’un quartier.
mercredi 11 janvier 2017
mardi 10 janvier 2017
lundi 9 janvier 2017
Smartphone : les traces de doigts vous trahissent !
NEWS On ne soupçonne pas tout ce que peuvent révéler les traces de doigts sur un téléphone portable. Ces dépôts sur le GSM en disent beaucoup sur notre mode de vie.
Des spécialistes américains (université de Californie) ont effectué des prélèvements sur plusieurs dizaines de téléphones portables et sur la main dominante de leurs utilisateurs. Comme l’explique Le Figaro, ces échantillons ont ensuite été analysés et leur contenu a été comparé avec une base de données qui répertorie la composition chimique de milliers de substances. Le résultat est étonnant ! Les molécules retrouvées sur les portables ont ainsi permis de déterminer si l’utilisateur était un homme ou une femme, s’il préférait la bière ou le vin, ce qu’il venait de manger, s’il prenait ou non tel ou tel type de médicament, s’il avait mis de la crème solaire ou encore - la liste est longue - s’il s’était protégé avec un spray antimoustiques.
Et il s’avère que si certaines molécules disparaissent relativement vite, d’autres restent présentes sur le smartphone pendant plusieurs mois, même si l’écran du téléphone a été nettoyé. Les chercheurs vont procéder aux mêmes types d’essais sur les portefeuilles et les clés, tout en étoffant encore leur banque de données moléculaires. Ils expliquent, poursuit Le Figaro, que ces indices pourraient être utilisés un jour dans le cadre d’une enquête criminelle, mais nous sommes évidemment très loin de la fiabilité de l’ADN ou de l’empreinte digitale.
Des spécialistes américains (université de Californie) ont effectué des prélèvements sur plusieurs dizaines de téléphones portables et sur la main dominante de leurs utilisateurs. Comme l’explique Le Figaro, ces échantillons ont ensuite été analysés et leur contenu a été comparé avec une base de données qui répertorie la composition chimique de milliers de substances. Le résultat est étonnant ! Les molécules retrouvées sur les portables ont ainsi permis de déterminer si l’utilisateur était un homme ou une femme, s’il préférait la bière ou le vin, ce qu’il venait de manger, s’il prenait ou non tel ou tel type de médicament, s’il avait mis de la crème solaire ou encore - la liste est longue - s’il s’était protégé avec un spray antimoustiques.
Et il s’avère que si certaines molécules disparaissent relativement vite, d’autres restent présentes sur le smartphone pendant plusieurs mois, même si l’écran du téléphone a été nettoyé. Les chercheurs vont procéder aux mêmes types d’essais sur les portefeuilles et les clés, tout en étoffant encore leur banque de données moléculaires. Ils expliquent, poursuit Le Figaro, que ces indices pourraient être utilisés un jour dans le cadre d’une enquête criminelle, mais nous sommes évidemment très loin de la fiabilité de l’ADN ou de l’empreinte digitale.
Source: PNAS (www.pnas.org)
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