NEWS La transpiration émet de nombreuses informations physiologiques : elles peuvent être interprétées en temps réel grâce à un patch et une application pour smartphone.
Ce dispositif, en cours de développement, a été mis au point par une équipe américaine (Northwestern University). Ce n’est pas la première fois, loin s’en faut, que des chercheurs s’intéressent de très près à la sueur, qu’on assimile trop souvent à de l’eau : s’il s’agit de son composant principal, elle contient bien d’autres substances, comme du lactate, du glucose, du chlore, du sodium, du potassium, du magnésium, du calcium, du fer…
Le patch développé par les ingénieurs américains se compose de petits tubes qui captent la sueur et la déposent dans quatre réservoirs contenant un liquide qui change de couleur selon le pH (acidité), le taux de glucose, de lactate et de chlore. Les modifications de couleur sont interprétées par une application smartphone, et le patch en lui-même (une seule utilisation par unité) ne nécessite pas de source d’énergie pour fonctionner.
Ces paramètres - en particulier le glucose et le lactate - sont notamment intéressants pour les sportifs, mais la perspective est de pouvoir élargir et affiner le champ d’analyse, et envisager une utilisation permettant de détecter des problèmes de santé. Des tests de fiabilité ont été réalisés sur des volontaires qui ont porté le patch (sur le bras et le dos) lors d’une activité physique en intérieur (vélo stationnaire) et en extérieur (course à pied). Les résultats ont été convaincants dans les deux cas. Aucune date de commercialisation n'a encore été communiquée.
Ce dispositif, en cours de développement, a été mis au point par une équipe américaine (Northwestern University). Ce n’est pas la première fois, loin s’en faut, que des chercheurs s’intéressent de très près à la sueur, qu’on assimile trop souvent à de l’eau : s’il s’agit de son composant principal, elle contient bien d’autres substances, comme du lactate, du glucose, du chlore, du sodium, du potassium, du magnésium, du calcium, du fer…
Le patch développé par les ingénieurs américains se compose de petits tubes qui captent la sueur et la déposent dans quatre réservoirs contenant un liquide qui change de couleur selon le pH (acidité), le taux de glucose, de lactate et de chlore. Les modifications de couleur sont interprétées par une application smartphone, et le patch en lui-même (une seule utilisation par unité) ne nécessite pas de source d’énergie pour fonctionner.
Ces paramètres - en particulier le glucose et le lactate - sont notamment intéressants pour les sportifs, mais la perspective est de pouvoir élargir et affiner le champ d’analyse, et envisager une utilisation permettant de détecter des problèmes de santé. Des tests de fiabilité ont été réalisés sur des volontaires qui ont porté le patch (sur le bras et le dos) lors d’une activité physique en intérieur (vélo stationnaire) et en extérieur (course à pied). Les résultats ont été convaincants dans les deux cas. Aucune date de commercialisation n'a encore été communiquée.
Source: Science Translational Medicine (http://stm.sciencemag.org)
publié le : 28/01/2017 , mis à jour le 27/01/2017
http://www.passionsante.be/index.cfm?fuseaction=art&art_id=22838
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