NEWS On ne soupçonne pas tout ce que peuvent révéler les traces de doigts sur un téléphone portable. Ces dépôts sur le GSM en disent beaucoup sur notre mode de vie.
Des spécialistes américains (université de Californie) ont effectué des prélèvements sur plusieurs dizaines de téléphones portables et sur la main dominante de leurs utilisateurs. Comme l’explique Le Figaro, ces échantillons ont ensuite été analysés et leur contenu a été comparé avec une base de données qui répertorie la composition chimique de milliers de substances. Le résultat est étonnant ! Les molécules retrouvées sur les portables ont ainsi permis de déterminer si l’utilisateur était un homme ou une femme, s’il préférait la bière ou le vin, ce qu’il venait de manger, s’il prenait ou non tel ou tel type de médicament, s’il avait mis de la crème solaire ou encore - la liste est longue - s’il s’était protégé avec un spray antimoustiques.
Et il s’avère que si certaines molécules disparaissent relativement vite, d’autres restent présentes sur le smartphone pendant plusieurs mois, même si l’écran du téléphone a été nettoyé. Les chercheurs vont procéder aux mêmes types d’essais sur les portefeuilles et les clés, tout en étoffant encore leur banque de données moléculaires. Ils expliquent, poursuit Le Figaro, que ces indices pourraient être utilisés un jour dans le cadre d’une enquête criminelle, mais nous sommes évidemment très loin de la fiabilité de l’ADN ou de l’empreinte digitale.
Des spécialistes américains (université de Californie) ont effectué des prélèvements sur plusieurs dizaines de téléphones portables et sur la main dominante de leurs utilisateurs. Comme l’explique Le Figaro, ces échantillons ont ensuite été analysés et leur contenu a été comparé avec une base de données qui répertorie la composition chimique de milliers de substances. Le résultat est étonnant ! Les molécules retrouvées sur les portables ont ainsi permis de déterminer si l’utilisateur était un homme ou une femme, s’il préférait la bière ou le vin, ce qu’il venait de manger, s’il prenait ou non tel ou tel type de médicament, s’il avait mis de la crème solaire ou encore - la liste est longue - s’il s’était protégé avec un spray antimoustiques.
Et il s’avère que si certaines molécules disparaissent relativement vite, d’autres restent présentes sur le smartphone pendant plusieurs mois, même si l’écran du téléphone a été nettoyé. Les chercheurs vont procéder aux mêmes types d’essais sur les portefeuilles et les clés, tout en étoffant encore leur banque de données moléculaires. Ils expliquent, poursuit Le Figaro, que ces indices pourraient être utilisés un jour dans le cadre d’une enquête criminelle, mais nous sommes évidemment très loin de la fiabilité de l’ADN ou de l’empreinte digitale.
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