Articles associ
samedi 31 mars 2018
vendredi 30 mars 2018
Parker Solar Probe, la sonde qui doit s’approcher le plus près possible du Soleil
La sonde de la NASA Parker Solar Probe décollera en juillet. Elle voyagera sept ans en orbite autour du Soleil. L’objectif est de comprendre, d’une part, pourquoi l’atmosphère du Soleil, sa « couronne », est plus chaude que la surface de l’étoile et, d’autre part, d’apprendre sur les mécanismes des vents solaires.
Pour cela, la sonde de la taille d’une petite voiture (610 kg) va étudier l’étoile de très près. La NASA prévoit trois passages à 6,5 millions de kilomètres du Soleil. Aucun engin n’est arrivé aussi près.
Les données envoyées sur Terre par Parker Solar Probe permettront aux scientifiques de comprendre comment anticiper les tempêtes et éruptions solaires qui perturbent nos systèmes de télécommunications et de réseaux électriques. Les tempêtes solaires peuvent, par exemple, abîmer les satellites ou brouiller leurs systèmes de transmission. Et le trafic aérien ou la localisation par GPS dépendent de ces satellites.
Ce sont les vents solaires qui sont aussi à l’origine du phénomène spectaculaire des aurores boréales.
Pour cela, la sonde de la taille d’une petite voiture (610 kg) va étudier l’étoile de très près. La NASA prévoit trois passages à 6,5 millions de kilomètres du Soleil. Aucun engin n’est arrivé aussi près.
Les données envoyées sur Terre par Parker Solar Probe permettront aux scientifiques de comprendre comment anticiper les tempêtes et éruptions solaires qui perturbent nos systèmes de télécommunications et de réseaux électriques. Les tempêtes solaires peuvent, par exemple, abîmer les satellites ou brouiller leurs systèmes de transmission. Et le trafic aérien ou la localisation par GPS dépendent de ces satellites.
Ce sont les vents solaires qui sont aussi à l’origine du phénomène spectaculaire des aurores boréales.
Un gardien de bœufs dans le ciel nocturne
Regardez en direction de l’est en début de nuit. Comme l’explique cette vidéo proposée par Universcience.tv, près de l’horizon, vous verrez facilement une étoile brillante : Arcturus, l’étoile principale de la constellation du Bouvier. Cette constellation en forme de cerf-volant représente un gardien de bœufs. Les Indiens du Nordeste brésilien y voyaient, eux, un piranha...
http://www.lemonde.fr/cosmos/video/2018/03/29/un-gardien-de-b-ufs-dans-le-ciel-nocturne_5278194_1650695.html
http://www.lemonde.fr/cosmos/video/2018/03/29/un-gardien-de-b-ufs-dans-le-ciel-nocturne_5278194_1650695.html
Comment notre personnalité change avec l’âge

Cette équipe américaine (Northwestern University) a croisé les résultats de trois vastes études réalisées aux Etats-Unis et en Europe, regroupant au total quelque 50.000 personnes suivies pendant plusieurs décennies. A intervalles périodiques, leur personnalité a été évaluée sur base d’une grille baptisée « Big Five » en anglais, et qui donne l’acronyme « Ocean » en français.
• O : ouverture d’esprit, originalité
• C : conscience, contrôle, contrainte
• E : extraversion, énergie, enthousiasme
• A : agréabilité, altruisme, affection
• N : négativisme (émotions négatives), nervosité, névrosisme (anxiété, instabilité émotionnelle)
Le résultat montre qu’avec l’âge qui avance, tous ces traits varient, sauf l’agréabilité, qui reste stable. Comme l’explique en substance Futura Sciences, « en vieillissant, nous sommes moins préoccupés par la nécessité de se conformer à un groupe, plus attachés à nos certitudes, plus tournés vers nous-mêmes ».
En fait, ceci correspond à la théorie de la « Dolce Vita » : des traits de personnalité prépondérants en milieu de vie s’estompent par la suite, au bénéfice de priorités qui relèvent du souci de bien-être (introversion, auto-indulgence…) et beaucoup moins de l’esprit de compétition (extraversion, contrainte...). Il s’agit bien entendu d’une analyse globale, avec des nuances individuelles. Ceci étant, si notre corps vieillit, la façon de percevoir l’existence… et nous-même change aussi.
Source: American Psychological Association (www.apa.org)
publié le : 30/03/2018
publié le : 30/03/2018
jeudi 29 mars 2018
mercredi 28 mars 2018
Elephant seen 'smoking' in southern India – video
Footage of an elephant blowing ash has baffled wildlife experts, who say they've never seen behaviour like it before. The video released by the Wildlife Conservation Society may be an example of zoopharmacognosy, animal self-medication
Subscribe to Guardian News
mardi 27 mars 2018
Paracétamol : mal de dents et haut risque d’intoxication

Comme l’explique le Centre belge d’information pharmaco-thérapeutique (CBIP), parmi les patients admis aux urgences pour une intoxication accidentelle au paracétamol, les douleurs dentaires constituent la raison principale de la prise du médicament. C’est ce qui ressort de plusieurs études réalisées notamment aux Etats-Unis, en France et en Grande-Bretagne.
Une atteinte grave du foie
Au moment où un patient avec un mal de dents contacte un médecin, un dentiste ou un pharmacien, il est important de lui demander s’il a déjà pris des antidouleurs, en particulier du paracétamol, et en quelle quantité. Des données indiquent en effet que les patients accablés par des douleurs dentaires sont susceptibles de prendre du paracétamol trop fréquemment et/ou pendant trop longtemps, parfois à doses trop élevées, avec un risque réel d’intoxication.
Celle-ci peut être de type surdosage aigu (à partir de 10 g chez l’adulte ou 150 mg/kg chez l’enfant), qui peut provoquer une atteinte hépatique grave, pouvant nécessiter une greffe de foie, ou risquant de conduire à une issue fatale. Ces effets peuvent aussi se produire en cas de prises répétées de doses trop élevées (toxicité hépatique à partir de 5 à 7,5 g par jour).
Respecter strictement la posologie
Il faut savoir que cette intoxication peut rester « silencieuse » (sans symptômes) pendant les premières 24 h, ou se traduire par des signes non spécifiques (nausées, vomissements, malaise…). Les symptômes clairs renvoient à une jaunisse, à une douleur en haut et à droite de l’abdomen, et/ou à une atteinte cérébrale (encéphalopathie hépatique). La prise en charge dans un service d’urgences est vitale. Quelles que soient les circonstances, il est essentiel de respecter la posologie lors de la prise de paracétamol. Ainsi, par voie orale.
• Adulte d’au moins 50 kg. 500 mg à 1 g par prise, jusqu’à 4 prises par jour, maximum 4 g par jour.
• Enfant et adulte de moins de 50 kg. 15 mg/kg jusqu’à 4 prises par jour ou 10 mg/kg jusqu’à 6 prises par jour, maximum 60 mg/kg/jour.
Il convient de rappeler que bien des médicaments (dont beaucoup en vente libre) contiennent du paracétamol et qu’il est donc important de lire la notice lorsqu’on en prend plusieurs. Certains facteurs de risque font encore baisser les seuils recommandés : âge avancé, consommation élevée d’alcool, atteinte du foie ou des reins…
Source: CBIP (www.cbip.be/fr/start)
publié le : 27/03/2018 , mis à jour le 26/03/2018
publié le : 27/03/2018 , mis à jour le 26/03/2018
lundi 26 mars 2018
L’érection, un bon indicateur du risque cardiovasculaire
NEWS En cas de trouble de l’érection, surtout à un âge jeune, il est important d’évaluer le risque cardiovasculaire global : la dysfonction érectile peut traduire un problème plus large.
L’association entre le trouble de l’érection et la maladie cardiovasculaire (morbidité et mortalité) est connue de longue date. L’attention de cette équipe américaine (Florida International University) s’est portée sur la relation avec la maladie cardiovasculaire subclinique (ou infraclinique), c’est-à-dire les signes que l’on peut observer sans que le patient présente des symptômes. Les chercheurs ont réalisé une méta-analyse, en examinant les données d’une trentaine d’études antérieures. Plusieurs paramètres ont été pris en considération : fonction endothéliale (tonus vasculaire), calcification des coronaires, état des carotides, ainsi que d’autres mesures de l’état de santé (cardio-)vasculaire.
Résultat : « Nos travaux confirment une association entre la dysfonction érectile et la maladie cardiovasculaire subclinique, qui partagent des mécanismes communs. Cette étude souligne l’importance d’une prise en charge énergique du risque cardiovasculaire chez les personnes présentant une dysfonction érectile ».
En fait, l’athérosclérose (obstruction progressive des artères) est une maladie généralisée, et elle peut concerner l’artère pudendale interne, qui alimente la verge en sang, un processus nécessaire à l’érection. Si cette artère est altérée, l’érection s’en ressent, et cela peut révéler un problème artériel plus étendu.
L’association entre le trouble de l’érection et la maladie cardiovasculaire (morbidité et mortalité) est connue de longue date. L’attention de cette équipe américaine (Florida International University) s’est portée sur la relation avec la maladie cardiovasculaire subclinique (ou infraclinique), c’est-à-dire les signes que l’on peut observer sans que le patient présente des symptômes. Les chercheurs ont réalisé une méta-analyse, en examinant les données d’une trentaine d’études antérieures. Plusieurs paramètres ont été pris en considération : fonction endothéliale (tonus vasculaire), calcification des coronaires, état des carotides, ainsi que d’autres mesures de l’état de santé (cardio-)vasculaire.
Résultat : « Nos travaux confirment une association entre la dysfonction érectile et la maladie cardiovasculaire subclinique, qui partagent des mécanismes communs. Cette étude souligne l’importance d’une prise en charge énergique du risque cardiovasculaire chez les personnes présentant une dysfonction érectile ».
En fait, l’athérosclérose (obstruction progressive des artères) est une maladie généralisée, et elle peut concerner l’artère pudendale interne, qui alimente la verge en sang, un processus nécessaire à l’érection. Si cette artère est altérée, l’érection s’en ressent, et cela peut révéler un problème artériel plus étendu.
dimanche 25 mars 2018
samedi 24 mars 2018
Les cétacés ont-ils gardé le sens de l’odorat ?
http://www.lemonde.fr/sciences/video/2018/03/23/les-cetaces-ont-ils-garde-le-sens-de-l-odorat_5275364_1650684.html
En s’adaptant à la vie marine, les cétacés ont-ils perdu le sens de l’olfaction au profit d’une communication acoustique ? Cette vidéo proposée en partenariat avec CNRS Le Journal suit, au large de l’Espagne, des chercheurs qui tentent de répondre à cette question en étudiant un groupe de globicéphales, des cétacés de la famille des dauphins.
En s’adaptant à la vie marine, les cétacés ont-ils perdu le sens de l’olfaction au profit d’une communication acoustique ? Cette vidéo proposée en partenariat avec CNRS Le Journal suit, au large de l’Espagne, des chercheurs qui tentent de répondre à cette question en étudiant un groupe de globicéphales, des cétacés de la famille des dauphins.
vendredi 23 mars 2018
Le MIT a conçu un nouveau poisson-robot pour explorer les fonds marins
http://www.lemonde.fr/robotique/video/2018/03/22/le-mit-a-concu-ce-nouveau-poisson-robot-pour-explorer-les-fonds-marins_5274989_4620106.html
L’équipe américaine du MIT CSAIL a conçu SoFi, un poisson-robot, qui peut nager et descendre au fond des mers. Il ne recèle pas de prouesses techniques particulières et se pilote avec une manette de Super Nintendo étanche.
Mais, parce qu’il imite très bien les mouvements du poisson grâce à une pompe hydraulique, SoFi devrait être particulièrement efficace pour étudier les poissons sans les effrayer. Il est équipé d’une caméra et d’un appareil photo. Dans cette phase de test, le robot a pu descendre à 15 mètres de profondeur pendant quarante minutes.
Trop de sel : comment le cerveau souffre
Les recherches ont été réalisées par une équipe américaine (Weill Cornell Medical Center). Elles ont d’abord porté sur des souris, nourries avec une alimentation extrêmement riche en sel, équivalente à très une forte consommation chez l’être humain. Les observations montrent que cet excès induit un dysfonctionnement du flux sanguinvers et dans le cerveau (dilatation insuffisante des vaisseaux) et des troubles cognitifs(déficit). Des tests sur des cellules humaines (les cellules endothéliales, qui tapissent la paroi interne des vaisseaux) recoupent ces résultats.
Les mécanismes qui entrent en jeu sont complexes, et ils font intervenir le système immunitaire (lymphocytes, cytokines…) au départ de l’intestin, avec une altération de la production d’oxyde nitrique (important pour la régulation du flux sanguin et la bonne santé des neurones). Le Quotidien du Médecin cite le coordinateur de ces travaux : « Ce qu’il faut retenir, c’est que la consommation humaine de sel est de plus en plus élevée, bien au-dessus des taux recommandés par les agences de santé. Notre étude suggère que cet excès s’accompagne d’un effet néfaste sur le cerveau, en réduisant le flux sanguin cérébral nécessaire à son bon fonctionnement et en augmentant ainsi le risque de développer des troubles cognitifs, voire une démence ».
Il est important de noter que les expériences chez la souris indiquent qu’en cas de baisse des apports en sel, la situation revient à la normale. « Ces données justifient d’envisager une réduction de la consommation de sel pour maintenir le cerveau en bonne santé ».
Source: Nature Neuroscience (www.nature.com/neuro)
publié le : 23/03/2018 , mis à jour le 23/03/2018
publié le : 23/03/2018 , mis à jour le 23/03/2018
jeudi 22 mars 2018
mercredi 21 mars 2018
mardi 20 mars 2018
lundi 19 mars 2018
dimanche 18 mars 2018
samedi 17 mars 2018
vendredi 16 mars 2018
Inscription à :
Articles (Atom)