NEWS L’alimentation influence le fonctionnement cérébral, notamment en ce qui concerne l’humeur, mais les besoins sont différents selon l’âge.
Comme l’explique cette équipe américaine (Binghamton University), « l’influence de l’alimentation sur la santé mentale est modulée par de nombreux facteurs diététiques qui affectent la chimie cérébrale ». Par ailleurs, « la maturation du cerveau n’est pas complète avant l’âge de 30 ans, ce qui peut expliquer les différences en termes de contrôle émotionnel, de mentalité et de résilience entre les adultes jeunes et plus âgés ». Et dès lors, selon l'âge, « les facteurs diététiques peuvent influencer différemment le fonctionnement cérébral ».
A partir de là, les chercheurs ont réalisé une enquête auprès d’un vaste panel, afin de déterminer le lien entre l’humeur (détresse ou bien-être mental) et l’alimentation, en considérant aussi la place de l’exercice physique. Que constate-t-on ?
• Avant 30 ans. L’humeur est meilleure en cas de consommation importante d’aliments qui augmentent la disponibilité des précurseurs de deux neurotransmetteurs cruciaux : la sérotonine et la dopamine. C’est le cas de la viande. On observe aussi que l’activité physique augmente la concentration dans le cerveau de ces deux substances fondamentales.
• Après 30 ans. L’humeur positive est davantage associée à des apports élevés en antioxydants (fruits) et à la limitation d’aliments ou de comportements qui activent de manière inappropriée le système nerveux sympathique (qui contrôle un grand nombre d’activités automatiques de l’organisme, comme le rythme cardiaque ou la pression artérielle) : trop de café, aliments à index glycémique élevé, impasse sur le petit déjeuner…
Les chercheurs en déduisent que « le degré de maturation de cerveau et les changements morphologiques et fonctionnels associés à l’âge nécessitent des ajustements nutritionnels afin d’améliorer le bien-être mental ».
Comme l’explique cette équipe américaine (Binghamton University), « l’influence de l’alimentation sur la santé mentale est modulée par de nombreux facteurs diététiques qui affectent la chimie cérébrale ». Par ailleurs, « la maturation du cerveau n’est pas complète avant l’âge de 30 ans, ce qui peut expliquer les différences en termes de contrôle émotionnel, de mentalité et de résilience entre les adultes jeunes et plus âgés ». Et dès lors, selon l'âge, « les facteurs diététiques peuvent influencer différemment le fonctionnement cérébral ».
A partir de là, les chercheurs ont réalisé une enquête auprès d’un vaste panel, afin de déterminer le lien entre l’humeur (détresse ou bien-être mental) et l’alimentation, en considérant aussi la place de l’exercice physique. Que constate-t-on ?
• Avant 30 ans. L’humeur est meilleure en cas de consommation importante d’aliments qui augmentent la disponibilité des précurseurs de deux neurotransmetteurs cruciaux : la sérotonine et la dopamine. C’est le cas de la viande. On observe aussi que l’activité physique augmente la concentration dans le cerveau de ces deux substances fondamentales.
• Après 30 ans. L’humeur positive est davantage associée à des apports élevés en antioxydants (fruits) et à la limitation d’aliments ou de comportements qui activent de manière inappropriée le système nerveux sympathique (qui contrôle un grand nombre d’activités automatiques de l’organisme, comme le rythme cardiaque ou la pression artérielle) : trop de café, aliments à index glycémique élevé, impasse sur le petit déjeuner…
Les chercheurs en déduisent que « le degré de maturation de cerveau et les changements morphologiques et fonctionnels associés à l’âge nécessitent des ajustements nutritionnels afin d’améliorer le bien-être mental ».
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