NEWS Une consommation quotidienne modérée de fromage contribuerait à réduire le risque de maladie cardiaque et cardiovasculaire, ainsi que d’accident vasculaire cérébral (AVC).
Le fromage est riche en acides gras saturés (graisses saturées), ce qui fait qu’il n’a pas une bonne réputation nutritionnelle, en tout cas au regard du risque cardiovasculaire. Pourtant, cette étude suggère qu’une portion par jour n’est pas néfaste pour la santé, et au contraire exercerait un effet bénéfique. Mais il faut s’entendre sur ce que signifie une portion…
Cette équipe taïwanaise (université Soochow) a réalisé une méta-analyse d’une quinzaine d’études internationales, regroupant au total quelque 35.000 participants, afin d’en extraire et de croiser les résultats les plus pertinents. Ces travaux ont intégré des personnes exemptes au départ de maladie cardiovasculaire et ils ont duré un peu plus de dix ans en moyenne.
Que constate-t-on ?
Par rapport à une consommation faible ou nulle, le fait de manger régulièrement du fromage réduit de 10% le risque de maladie cardiovasculaire et d’accident vasculaire cérébral (AVC), et de 14% celui de maladie cardiaque (coronaire). La relation n’est pas linéaire, ce qui signifie que le degré de protection n’augmente pas parallèlement à la consommation.
En fait, la plus forte réduction du risque est observée avec une quantité d’environ 40 g par jour. On ajoutera que la prise en considération de cet effet n’a de sens que dans le cadre d’une alimentation variée et équilibrée : le fromage seul ne peut pas contrebalancer les risques associés à de mauvaises habitudes alimentaires. Ceci étant, c’est plutôt une bonne nouvelle pour les amateurs de fromage.
Le fromage est riche en acides gras saturés (graisses saturées), ce qui fait qu’il n’a pas une bonne réputation nutritionnelle, en tout cas au regard du risque cardiovasculaire. Pourtant, cette étude suggère qu’une portion par jour n’est pas néfaste pour la santé, et au contraire exercerait un effet bénéfique. Mais il faut s’entendre sur ce que signifie une portion…
Cette équipe taïwanaise (université Soochow) a réalisé une méta-analyse d’une quinzaine d’études internationales, regroupant au total quelque 35.000 participants, afin d’en extraire et de croiser les résultats les plus pertinents. Ces travaux ont intégré des personnes exemptes au départ de maladie cardiovasculaire et ils ont duré un peu plus de dix ans en moyenne.
Que constate-t-on ?
Par rapport à une consommation faible ou nulle, le fait de manger régulièrement du fromage réduit de 10% le risque de maladie cardiovasculaire et d’accident vasculaire cérébral (AVC), et de 14% celui de maladie cardiaque (coronaire). La relation n’est pas linéaire, ce qui signifie que le degré de protection n’augmente pas parallèlement à la consommation.
En fait, la plus forte réduction du risque est observée avec une quantité d’environ 40 g par jour. On ajoutera que la prise en considération de cet effet n’a de sens que dans le cadre d’une alimentation variée et équilibrée : le fromage seul ne peut pas contrebalancer les risques associés à de mauvaises habitudes alimentaires. Ceci étant, c’est plutôt une bonne nouvelle pour les amateurs de fromage.
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