https://www.levif.be/actualite/sciences/a-la-recherche-de-l-origine-des-incas-grace-a-la-genetique/article-normal-842879.html
jeudi 31 mai 2018
mercredi 30 mai 2018
Découvrez la constellation de la Lyre
https://www.lemonde.fr/cosmos/video/2018/05/30/decouvrez-la-constellation-de-la-lyre_5306799_1650695.html
Regardez en direction du nord-est après le coucher du Soleil et, comme l’explique cette vidéo proposée par Universcience.tv, vous y verrez se lever l’étoile la plus brillante du ciel d’été, Véga, l’étoile principale de la constellation de la Lyre.
Regardez en direction du nord-est après le coucher du Soleil et, comme l’explique cette vidéo proposée par Universcience.tv, vous y verrez se lever l’étoile la plus brillante du ciel d’été, Véga, l’étoile principale de la constellation de la Lyre.
Manger du gibier : attention à l’intoxication au plomb
NEWS La consommation de gibier, et singulièrement de gibier sauvage, peut présenter des risques pour la santé. Quels conseils ?
L’Agence nationale française de sécurité sanitaire
de l’alimentation (Anses) a livré son expertise relative au risque lié à la consommation de gibier sauvage ou d’élevage, au regard de la contamination possible par différentes substances chimiques présentes dans le milieu de vie ou dans les munitions (dioxines, PCB, cadmium, plomb…).
Comme l’explique Le Quotidien du Médecin, et malgré le manque de certaines données qu’elle demande à compléter, « l’Agence recommande aux femmes en âge de procréeret aux enfants d’éviter toute consommation de grand gibier sauvage, et aux autres personnes de limiter leur consommation à une fréquence occasionnelle, de l’ordre de trois fois par an ».
L’Anses observe que « quel que soit le contaminant étudié, le gibier sauvage présente en moyenne des concentrations plus importantes que le gibier d’élevage ». Les analyses mettent particulièrement en évidence « une préoccupation sanitaire liée au plomb présent dans la viande de grand gibier sauvage (sanglier, cerf, chevreuil…), qui provient pour partie de son environnement, mais apparaît surtout lié au phénomène de fragmentation des munitions, avec des fortes valeurs de contamination dans une large zone entourant la trajectoire de la balle ».
Au-delà de la limitation de la consommation, d’autres mesures sont susceptibles de réduire l’exposition au plomb, comme le parage de la viande (élimination des morceaux) autour du trajet de la balle.
L’Agence nationale française de sécurité sanitaire
de l’alimentation (Anses) a livré son expertise relative au risque lié à la consommation de gibier sauvage ou d’élevage, au regard de la contamination possible par différentes substances chimiques présentes dans le milieu de vie ou dans les munitions (dioxines, PCB, cadmium, plomb…).
Comme l’explique Le Quotidien du Médecin, et malgré le manque de certaines données qu’elle demande à compléter, « l’Agence recommande aux femmes en âge de procréeret aux enfants d’éviter toute consommation de grand gibier sauvage, et aux autres personnes de limiter leur consommation à une fréquence occasionnelle, de l’ordre de trois fois par an ».
L’Anses observe que « quel que soit le contaminant étudié, le gibier sauvage présente en moyenne des concentrations plus importantes que le gibier d’élevage ». Les analyses mettent particulièrement en évidence « une préoccupation sanitaire liée au plomb présent dans la viande de grand gibier sauvage (sanglier, cerf, chevreuil…), qui provient pour partie de son environnement, mais apparaît surtout lié au phénomène de fragmentation des munitions, avec des fortes valeurs de contamination dans une large zone entourant la trajectoire de la balle ».
Au-delà de la limitation de la consommation, d’autres mesures sont susceptibles de réduire l’exposition au plomb, comme le parage de la viande (élimination des morceaux) autour du trajet de la balle.
Source: Anses (www.anses.fr/fr)
publié le : 30/05/2018
publié le : 30/05/2018
mardi 29 mai 2018
lundi 28 mai 2018
dimanche 27 mai 2018
samedi 26 mai 2018
Le glacier d’Argentière mis sur écoute
https://www.lemonde.fr/sciences/video/2018/05/25/le-glacier-d-argentiere-mis-sur-ecoute_5304448_1650684.html
A cause du réchauffement climatique, le glacier d’Argentière, dans le massif du Mont-Blanc, perd environ un mètre d’épaisseur chaque année depuis trente ans. Pour comprendre la dynamique complexe de ce géant de 19 km2, plus de cent capteurs viennent d’être installés à sa surface et sous lui. Dans ce reportage diffusé en partenariat avec CNRS Le Journal, partez en expédition avec les scientifiques qui vont faire du glacier d’Argentière, l’espace d’un mois, le glacier le plus instrumenté du monde.
A cause du réchauffement climatique, le glacier d’Argentière, dans le massif du Mont-Blanc, perd environ un mètre d’épaisseur chaque année depuis trente ans. Pour comprendre la dynamique complexe de ce géant de 19 km2, plus de cent capteurs viennent d’être installés à sa surface et sous lui. Dans ce reportage diffusé en partenariat avec CNRS Le Journal, partez en expédition avec les scientifiques qui vont faire du glacier d’Argentière, l’espace d’un mois, le glacier le plus instrumenté du monde.
vendredi 25 mai 2018
jeudi 24 mai 2018
mercredi 23 mai 2018
mardi 22 mai 2018
lundi 21 mai 2018
Arthrose et mal de dos : quel antidouleur pour vous soulager ?
NEWS En cas de douleur lombaire, d’arthrose du genou (gonarthrose) ou de la hanche (coxarthrose), les analgésiques opioïdes (dont la morphine) font-ils mieux que le paracétamol ?
Cette étude américaine (université du Minnesota) repose sur le suivi de plusieurs centaines de patients pendant un an (la moyenne d’âge était de 50 ans). Ils souffraient de douleurs chroniques, soit en raison d’une lombalgie, soit associées à de l’arthrose. Les chercheurs ont comparé l’efficacité d’une intervention reposant soit sur des antidouleurs opioïdes (morphine et dérivés, oxycodone, ainsi qu’une association disponible aux Etats-Unis mais pas sur le marché belge), soit des antidouleurs non opioïdes (paracétamol et anti-inflammatoires non stéroïdiens - Ains).
Trois paramètres ont été évalués :
• l’intensité de la douleur (modérée à sévère au départ)
• les capacités fonctionnelles
• les effets indésirables du traitement
Il faut ajouter que ces deux catégories d’analgésiques sont celles qui ont été administrées en première intention, et que l’approche a par la suite été adaptée (modifiée, complétée ou ajustée) en fonction de la réponse individuelle. Après avoir croisé les différentes données, les auteurs n’observent pas de différence significative, à douze mois, entre les deux groupes en termes d’évolution de la capacité fonctionnelle liée à la douleur : une amélioration de 3,3 points sur une échelle de 11 pour le groupe opioïdes, contre 3,4 dans l’autre. Un avantage est constaté pour les opioïdes sur le plan émotionnel, mais ces médicaments sont associés à bien davantage d’effets indésirables.
Conclusion : « Cette étude ne soutient pas l’administration d’opioïdes comme traitement de première intention pour la prise en charge de la douleur chronique modérée à sévère chez les patients souffrant de mal de dos ou d’arthrose du genou ou de la hanche ».
Cette étude américaine (université du Minnesota) repose sur le suivi de plusieurs centaines de patients pendant un an (la moyenne d’âge était de 50 ans). Ils souffraient de douleurs chroniques, soit en raison d’une lombalgie, soit associées à de l’arthrose. Les chercheurs ont comparé l’efficacité d’une intervention reposant soit sur des antidouleurs opioïdes (morphine et dérivés, oxycodone, ainsi qu’une association disponible aux Etats-Unis mais pas sur le marché belge), soit des antidouleurs non opioïdes (paracétamol et anti-inflammatoires non stéroïdiens - Ains).
Trois paramètres ont été évalués :
• l’intensité de la douleur (modérée à sévère au départ)
• les capacités fonctionnelles
• les effets indésirables du traitement
Il faut ajouter que ces deux catégories d’analgésiques sont celles qui ont été administrées en première intention, et que l’approche a par la suite été adaptée (modifiée, complétée ou ajustée) en fonction de la réponse individuelle. Après avoir croisé les différentes données, les auteurs n’observent pas de différence significative, à douze mois, entre les deux groupes en termes d’évolution de la capacité fonctionnelle liée à la douleur : une amélioration de 3,3 points sur une échelle de 11 pour le groupe opioïdes, contre 3,4 dans l’autre. Un avantage est constaté pour les opioïdes sur le plan émotionnel, mais ces médicaments sont associés à bien davantage d’effets indésirables.
Conclusion : « Cette étude ne soutient pas l’administration d’opioïdes comme traitement de première intention pour la prise en charge de la douleur chronique modérée à sévère chez les patients souffrant de mal de dos ou d’arthrose du genou ou de la hanche ».
Source: JAMA (https://jamanetwork.com/jou)
publié le : 21/05/2018 , mis à jour le 20/05/2018
publié le : 21/05/2018 , mis à jour le 20/05/2018
dimanche 20 mai 2018
Seniors et risque cardiovasculaire : perdez-vous des dents ?
NEWS La perte de deux dents ou davantage à partir de la cinquantaine est associée à un risque cardiovasculaire accru. La question consiste à savoir ce qui cause quoi.
On sait de longue date qu’il existe un lien entreune mauvaise santé bucco-dentaire, en particulier la présence d’une parodontite, et une augmentation du risque de maladie et d’accident cérébro (AVC) et cardiovasculaire (infarctus). Une explication renvoie à la diffusion des bactéries buccales nocives dans la circulation sanguine, avec une atteinte des vaisseaux sanguins. La plupart des études réalisées sur le sujet ont considéré la perte de dents tout au long de l’existence, sans vraiment établir de distinction entre celles perdues durant l’enfance et l’adolescence, chez l’adulte jeune ou d’âge moyen, chez le senior...
Cette équipe américaine (Tulane University) a suivi pendant une dizaine d’années des personnes âgées de 45 à 69 ans. La perte de dents a été relevée durant cette période et ces informations ont été croisées avec les cas d’événement cardiovasculaire. Le résultat montre que la perte de deux dents ou davantage à partir de la cinquantaineaugmente de manière « significative » le risque cardiovasculaire, en fait entre 16% et 25% selon le nombre initial de dents. La perte d’une seule dent ne semble pas accroître le risque.
Il est probable que les deux phénomènes (dentaire et cardiovasculaire) partagent des facteurs de risque communs : tabac, alimentation, diabète, inflammation, peut-être aussi une sensibilité génétique…, alors que, comme évoqué ci-dessus, la mauvaise santé parodontale accentue sans doute en elle-même le risque cardiovasculaire. En tout cas, cela signifie au moins deux choses : quel que soit l’âge, il est indispensable de traiter sans tarder la gingivite et a fortiori la parodontite, et en cas de santé dentaire défaillante, de faire très attention aux autres facteurs de risque cardiovasculaire.
On sait de longue date qu’il existe un lien entreune mauvaise santé bucco-dentaire, en particulier la présence d’une parodontite, et une augmentation du risque de maladie et d’accident cérébro (AVC) et cardiovasculaire (infarctus). Une explication renvoie à la diffusion des bactéries buccales nocives dans la circulation sanguine, avec une atteinte des vaisseaux sanguins. La plupart des études réalisées sur le sujet ont considéré la perte de dents tout au long de l’existence, sans vraiment établir de distinction entre celles perdues durant l’enfance et l’adolescence, chez l’adulte jeune ou d’âge moyen, chez le senior...
Cette équipe américaine (Tulane University) a suivi pendant une dizaine d’années des personnes âgées de 45 à 69 ans. La perte de dents a été relevée durant cette période et ces informations ont été croisées avec les cas d’événement cardiovasculaire. Le résultat montre que la perte de deux dents ou davantage à partir de la cinquantaineaugmente de manière « significative » le risque cardiovasculaire, en fait entre 16% et 25% selon le nombre initial de dents. La perte d’une seule dent ne semble pas accroître le risque.
Il est probable que les deux phénomènes (dentaire et cardiovasculaire) partagent des facteurs de risque communs : tabac, alimentation, diabète, inflammation, peut-être aussi une sensibilité génétique…, alors que, comme évoqué ci-dessus, la mauvaise santé parodontale accentue sans doute en elle-même le risque cardiovasculaire. En tout cas, cela signifie au moins deux choses : quel que soit l’âge, il est indispensable de traiter sans tarder la gingivite et a fortiori la parodontite, et en cas de santé dentaire défaillante, de faire très attention aux autres facteurs de risque cardiovasculaire.
Source: American Heart Association (www.heart.org/HEARTORG)
publié le : 20/05/2018
publié le : 20/05/2018
samedi 19 mai 2018
vendredi 18 mai 2018
jeudi 17 mai 2018
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