NEWS La consommation de gibier, et singulièrement de gibier sauvage, peut présenter des risques pour la santé. Quels conseils ?
L’Agence nationale française de sécurité sanitaire
de l’alimentation (Anses) a livré son expertise relative au risque lié à la consommation de gibier sauvage ou d’élevage, au regard de la contamination possible par différentes substances chimiques présentes dans le milieu de vie ou dans les munitions (dioxines, PCB, cadmium, plomb…).
Comme l’explique Le Quotidien du Médecin, et malgré le manque de certaines données qu’elle demande à compléter, « l’Agence recommande aux femmes en âge de procréeret aux enfants d’éviter toute consommation de grand gibier sauvage, et aux autres personnes de limiter leur consommation à une fréquence occasionnelle, de l’ordre de trois fois par an ».
L’Anses observe que « quel que soit le contaminant étudié, le gibier sauvage présente en moyenne des concentrations plus importantes que le gibier d’élevage ». Les analyses mettent particulièrement en évidence « une préoccupation sanitaire liée au plomb présent dans la viande de grand gibier sauvage (sanglier, cerf, chevreuil…), qui provient pour partie de son environnement, mais apparaît surtout lié au phénomène de fragmentation des munitions, avec des fortes valeurs de contamination dans une large zone entourant la trajectoire de la balle ».
Au-delà de la limitation de la consommation, d’autres mesures sont susceptibles de réduire l’exposition au plomb, comme le parage de la viande (élimination des morceaux) autour du trajet de la balle.
L’Agence nationale française de sécurité sanitaire
de l’alimentation (Anses) a livré son expertise relative au risque lié à la consommation de gibier sauvage ou d’élevage, au regard de la contamination possible par différentes substances chimiques présentes dans le milieu de vie ou dans les munitions (dioxines, PCB, cadmium, plomb…).
Comme l’explique Le Quotidien du Médecin, et malgré le manque de certaines données qu’elle demande à compléter, « l’Agence recommande aux femmes en âge de procréeret aux enfants d’éviter toute consommation de grand gibier sauvage, et aux autres personnes de limiter leur consommation à une fréquence occasionnelle, de l’ordre de trois fois par an ».
L’Anses observe que « quel que soit le contaminant étudié, le gibier sauvage présente en moyenne des concentrations plus importantes que le gibier d’élevage ». Les analyses mettent particulièrement en évidence « une préoccupation sanitaire liée au plomb présent dans la viande de grand gibier sauvage (sanglier, cerf, chevreuil…), qui provient pour partie de son environnement, mais apparaît surtout lié au phénomène de fragmentation des munitions, avec des fortes valeurs de contamination dans une large zone entourant la trajectoire de la balle ».
Au-delà de la limitation de la consommation, d’autres mesures sont susceptibles de réduire l’exposition au plomb, comme le parage de la viande (élimination des morceaux) autour du trajet de la balle.
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