NEWS Fréquence des rapports sexuels, nombre de partenaires, âge des premières relations sexuelles : ces paramètres pourraient jouer un rôle dans le risque de développer un cancer de la prostate.
L’influence de l’activité sexuelle sur le risque de cancer de la prostate reste controversée, avec des données disparates. Une équipe chinoise (université du Sichuan) a croisé les résultats de 22 études réalisées dans une dizaine de pays, regroupant au total quelque 55.000 participants, dont un quart de patients diagnostiqués avec un cancer de la prostate. Trois paramètres ont été examinés.
• Le nombre de partenaires sexuelles. Chaque augmentation de dix partenaires au cours de l’existence est associée à une hausse de 10% du risque de cancer de la prostate.
• L’âge du premier rapport sexuel. Par tranche de cinq ans retardant l’âge de la première relation sexuelle, le risque de cancer de la prostate baisse de 4%.
• La fréquence des relations sexuelles. Une activité sexuelle qualifiée ici de « modérée »(deux à quatre rapports par semaine) est « significativement » associée à un risque plus faible de développer un cancer de la prostate. En fait, pour être plus précis, les auteurs ont pris en considération la fréquence des éjaculations, ce qui inclut en principe aussi la masturbation.
Les chercheurs ajoutent : « Il s’agit de la première méta-analyse à décrire en termes de dose - réponse l’association entre l’activité sexuelle et le risque de cancer de la prostate. La relation de causalité devrait être interprétée avec prudence en raison de la méthodologie utilisée dans la plupart de ces études ». Quant à l’explication possible de ce lien, une hypothèse renvoie à la piste infectieuse (pour le nombre de partenaires, surtout) et à l’évacuation, lors de l’éjaculation, de substances potentiellement nocives pour la prostate.
L’influence de l’activité sexuelle sur le risque de cancer de la prostate reste controversée, avec des données disparates. Une équipe chinoise (université du Sichuan) a croisé les résultats de 22 études réalisées dans une dizaine de pays, regroupant au total quelque 55.000 participants, dont un quart de patients diagnostiqués avec un cancer de la prostate. Trois paramètres ont été examinés.
• Le nombre de partenaires sexuelles. Chaque augmentation de dix partenaires au cours de l’existence est associée à une hausse de 10% du risque de cancer de la prostate.
• L’âge du premier rapport sexuel. Par tranche de cinq ans retardant l’âge de la première relation sexuelle, le risque de cancer de la prostate baisse de 4%.
• La fréquence des relations sexuelles. Une activité sexuelle qualifiée ici de « modérée »(deux à quatre rapports par semaine) est « significativement » associée à un risque plus faible de développer un cancer de la prostate. En fait, pour être plus précis, les auteurs ont pris en considération la fréquence des éjaculations, ce qui inclut en principe aussi la masturbation.
Les chercheurs ajoutent : « Il s’agit de la première méta-analyse à décrire en termes de dose - réponse l’association entre l’activité sexuelle et le risque de cancer de la prostate. La relation de causalité devrait être interprétée avec prudence en raison de la méthodologie utilisée dans la plupart de ces études ». Quant à l’explication possible de ce lien, une hypothèse renvoie à la piste infectieuse (pour le nombre de partenaires, surtout) et à l’évacuation, lors de l’éjaculation, de substances potentiellement nocives pour la prostate.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire