https://www.midilibre.fr/2019/04/29/le-tableau-le-plus-cher-au-monde-salvator-mundi-de-leonard-de-vinci-a-disparu,8172413.php
mardi 30 avril 2019
Diabète : les noix protègent le cœur
NEWS La consommation régulière de fruits à coque, et surtout de noix, protège contre le risque d’accident cardiovasculaire, et c’est en particulier le cas pour les personnes diabétiques.
Le diabète expose à un danger accru d’événement cérébro (AVC) et cardiovasculaire (infarctus…). L’alimentation constitue l’une des voies par lesquelles les personnes diabétiques peuvent réduire la menace. Une équipe américaine (université Harvard) a examiné la place des fruits à coque, singulièrement les noix, dans la prévention du risque cardiovasculaire. Quelque 16.000 adultes diabétiques, hommes et femmes, ont été suivis pendant une vingtaine d’années. Leurs habitudes alimentaires ont été actualisées à intervalles réguliers.
Le résultat montre que par rapport à celles qui en mangent peu (moins d’une portion par mois), les personnes qui consomment le plus de fruits à coque (au moins 5 portions par semaine : une portion équivaut à +/- 30 grammes) s’exposent à un risque réduit de 17%de souffrir d’une maladie ou d’un accident cardiovasculaire, de 20% de présenter une maladie coronarienne et de 34% de décéder de cause cardiovasculaire, alors que le risque de mortalité prématurée (toutes causes confondues) baisse de 31%.
Les noix (noisetier) exercent l’effet protecteur le plus marqué (avec les cacahuètes, mais dans une bien moindre mesure). La consommation élevée de fruits à coque ne semble pas avoir d’effet significatif sur le risque d’AVC ou de mortalité par cancer. Il est intéressant de noter que l’augmentation de la consommation de noix après le diagnostic de diabète intervient de manière positive : il n’est donc jamais trop tard pour adapter ses habitudes alimentaires. On ajoutera enfin que cet effet protecteur se maintient après prise en compte de facteurs comme l’âge, l’indice de masse corporelle (IMC), le tabagisme ou la durée du diabète.
Le diabète expose à un danger accru d’événement cérébro (AVC) et cardiovasculaire (infarctus…). L’alimentation constitue l’une des voies par lesquelles les personnes diabétiques peuvent réduire la menace. Une équipe américaine (université Harvard) a examiné la place des fruits à coque, singulièrement les noix, dans la prévention du risque cardiovasculaire. Quelque 16.000 adultes diabétiques, hommes et femmes, ont été suivis pendant une vingtaine d’années. Leurs habitudes alimentaires ont été actualisées à intervalles réguliers.
Le résultat montre que par rapport à celles qui en mangent peu (moins d’une portion par mois), les personnes qui consomment le plus de fruits à coque (au moins 5 portions par semaine : une portion équivaut à +/- 30 grammes) s’exposent à un risque réduit de 17%de souffrir d’une maladie ou d’un accident cardiovasculaire, de 20% de présenter une maladie coronarienne et de 34% de décéder de cause cardiovasculaire, alors que le risque de mortalité prématurée (toutes causes confondues) baisse de 31%.
Les noix (noisetier) exercent l’effet protecteur le plus marqué (avec les cacahuètes, mais dans une bien moindre mesure). La consommation élevée de fruits à coque ne semble pas avoir d’effet significatif sur le risque d’AVC ou de mortalité par cancer. Il est intéressant de noter que l’augmentation de la consommation de noix après le diagnostic de diabète intervient de manière positive : il n’est donc jamais trop tard pour adapter ses habitudes alimentaires. On ajoutera enfin que cet effet protecteur se maintient après prise en compte de facteurs comme l’âge, l’indice de masse corporelle (IMC), le tabagisme ou la durée du diabète.
Source: Circulation Research (www.ahajournals.org/journal)
publié le : 30/04/2019 , mis à jour le 29/04/2019
publié le : 30/04/2019 , mis à jour le 29/04/2019
lundi 29 avril 2019
dimanche 28 avril 2019
samedi 27 avril 2019
vendredi 26 avril 2019
jeudi 25 avril 2019
mercredi 24 avril 2019
mardi 23 avril 2019
Quel lien entre le diabète et le mal de dos ?
NEWS Le diabète est associé à un risque plus élevé de douleurs chroniques. Qu’en est-il du mal de dos, qu’il s’agisse de la lombalgie (bas du dos) ou de la cervicalgie (cou) ?
On sait qu’à un moment donné de l’existence, environ la moitié de la population souffre de douleurs lombaires ou cervicales. Des études précédentes ont suggéré que les diabétiques sont plus susceptibles de présenter des douleurs chroniques, affectant notamment l’épaule, le genou ou la colonne vertébrale. Une équipe australienne (université de Sidney) a cherché à quantifier cette augmentation du risque. Pour cela, elle a procédé au croisement des résultats d’une dizaine d’études de grande envergure, regroupant au total plusieurs centaines de milliers de personnes.
Le résultat de la méta-analyse montre que la probabilité qu’un patient diabétique souffre de douleurs au bas du dos (lombalgie) est 20 à 52% plus élevée que pour une personne non diabétique, alors que la hausse du risque se situe entre 5 et 47% pour les douleurs au cou (cervicalgie). Ces larges fourchettes s’expliquent par les différences méthodologiques entre les différentes études. En tout cas, il existe manifestement une association entre le diabète et le mal de dos.
Quels sont les mécanismes qui entrent en jeu ? Une analyse plus approfondie semble indiquer qu’en lui-même, le diabète ne déclenche pas les douleurs dorsales (pas de lien direct de cause à effet), mais qu’un « terrain commun » pourrait intervenir dans le développement des deux problèmes de santé, et on pense en particulier au surpoids et à la sédentarité (manque d’exercice physique). Les personnes diabétiques doivent agir sur ces deux plans à la fois pour mieux contrôler leur diabète et pour limiter le risque de souffrir, en plus, de douleurs dorsales.
On sait qu’à un moment donné de l’existence, environ la moitié de la population souffre de douleurs lombaires ou cervicales. Des études précédentes ont suggéré que les diabétiques sont plus susceptibles de présenter des douleurs chroniques, affectant notamment l’épaule, le genou ou la colonne vertébrale. Une équipe australienne (université de Sidney) a cherché à quantifier cette augmentation du risque. Pour cela, elle a procédé au croisement des résultats d’une dizaine d’études de grande envergure, regroupant au total plusieurs centaines de milliers de personnes.
Le résultat de la méta-analyse montre que la probabilité qu’un patient diabétique souffre de douleurs au bas du dos (lombalgie) est 20 à 52% plus élevée que pour une personne non diabétique, alors que la hausse du risque se situe entre 5 et 47% pour les douleurs au cou (cervicalgie). Ces larges fourchettes s’expliquent par les différences méthodologiques entre les différentes études. En tout cas, il existe manifestement une association entre le diabète et le mal de dos.
Quels sont les mécanismes qui entrent en jeu ? Une analyse plus approfondie semble indiquer qu’en lui-même, le diabète ne déclenche pas les douleurs dorsales (pas de lien direct de cause à effet), mais qu’un « terrain commun » pourrait intervenir dans le développement des deux problèmes de santé, et on pense en particulier au surpoids et à la sédentarité (manque d’exercice physique). Les personnes diabétiques doivent agir sur ces deux plans à la fois pour mieux contrôler leur diabète et pour limiter le risque de souffrir, en plus, de douleurs dorsales.
Source: PLoS One (https://journals.plos.org/p)
publié le : 23/04/2019 , mis à jour le 22/04/2019
publié le : 23/04/2019 , mis à jour le 22/04/2019
lundi 22 avril 2019
dimanche 21 avril 2019
samedi 20 avril 2019
vendredi 19 avril 2019
Cancer du côlon : la protection de l’ail et de l’oignon
NEWS La consommation de végétaux de type Allium exercerait un réel effet protecteur contre le risque de cancer du côlon : c’est le cas de l’ail, de l’oignon, du poireau, de la ciboulette ou de l’échalote.
Cette équipe chinoise (China Medical University) a comparé les habitudes alimentaires d’un millier de patients diagnostiqués avec un cancer du côlon et autant de personnes ne souffrant pas de la maladie. Des entretiens approfondis ont cerné leur comportement alimentaire, en particulier les apports en plantes du genre Allium.
Après ajustement pour un éventail de variables (âge, sexe, lieu de résidence, statut socio-économique…), il s’avère que les personnes qui consomment le plus de végétaux comme l’ail, l’oignon ou le poireau s’exposent à un risque réduit de… 79% de développer un cancer du côlon, par rapport à celles qui en mangent le moins. Ce constat vaut autant pour les hommes que pour les femmes, et quel que soit le type de cancer colorectal.
Un constat étonnant, surtout par l’ampleur de la réduction du risque, qui demande d’abord confirmation, et ensuite explication. En tout cas, intégrer ces végétaux dans son régime alimentaire quotidien apparaît comme une démarche bénéfique.
Cette équipe chinoise (China Medical University) a comparé les habitudes alimentaires d’un millier de patients diagnostiqués avec un cancer du côlon et autant de personnes ne souffrant pas de la maladie. Des entretiens approfondis ont cerné leur comportement alimentaire, en particulier les apports en plantes du genre Allium.
Après ajustement pour un éventail de variables (âge, sexe, lieu de résidence, statut socio-économique…), il s’avère que les personnes qui consomment le plus de végétaux comme l’ail, l’oignon ou le poireau s’exposent à un risque réduit de… 79% de développer un cancer du côlon, par rapport à celles qui en mangent le moins. Ce constat vaut autant pour les hommes que pour les femmes, et quel que soit le type de cancer colorectal.
Un constat étonnant, surtout par l’ampleur de la réduction du risque, qui demande d’abord confirmation, et ensuite explication. En tout cas, intégrer ces végétaux dans son régime alimentaire quotidien apparaît comme une démarche bénéfique.
Source: Asia-Pacific Journal of Clinical Oncology (https://onlinelibrary.wiley)
publié le : 19/04/2019
publié le : 19/04/2019
jeudi 18 avril 2019
mercredi 17 avril 2019
Qu’y a-t-il à l’intérieur d’un trou noir?
http://www.lefigaro.fr/sciences/qu-y-a-t-il-a-l-interieur-d-un-trou-noir-20190416
Si l’existence des trous noirs ne fait plus aucun doute, cela ne veut pas dire pour autant que nous comprenons parfaitement ces objets. Ce qu’il se passe en leur cœur ne fait encore que l’objet de nombreuses spéculations.
Si l’existence des trous noirs ne fait plus aucun doute, cela ne veut pas dire pour autant que nous comprenons parfaitement ces objets. Ce qu’il se passe en leur cœur ne fait encore que l’objet de nombreuses spéculations.
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