NEWS La consommation régulière de fruits à coque, et surtout de noix, protège contre le risque d’accident cardiovasculaire, et c’est en particulier le cas pour les personnes diabétiques.
Le diabète expose à un danger accru d’événement cérébro (AVC) et cardiovasculaire (infarctus…). L’alimentation constitue l’une des voies par lesquelles les personnes diabétiques peuvent réduire la menace. Une équipe américaine (université Harvard) a examiné la place des fruits à coque, singulièrement les noix, dans la prévention du risque cardiovasculaire. Quelque 16.000 adultes diabétiques, hommes et femmes, ont été suivis pendant une vingtaine d’années. Leurs habitudes alimentaires ont été actualisées à intervalles réguliers.
Le résultat montre que par rapport à celles qui en mangent peu (moins d’une portion par mois), les personnes qui consomment le plus de fruits à coque (au moins 5 portions par semaine : une portion équivaut à +/- 30 grammes) s’exposent à un risque réduit de 17%de souffrir d’une maladie ou d’un accident cardiovasculaire, de 20% de présenter une maladie coronarienne et de 34% de décéder de cause cardiovasculaire, alors que le risque de mortalité prématurée (toutes causes confondues) baisse de 31%.
Les noix (noisetier) exercent l’effet protecteur le plus marqué (avec les cacahuètes, mais dans une bien moindre mesure). La consommation élevée de fruits à coque ne semble pas avoir d’effet significatif sur le risque d’AVC ou de mortalité par cancer. Il est intéressant de noter que l’augmentation de la consommation de noix après le diagnostic de diabète intervient de manière positive : il n’est donc jamais trop tard pour adapter ses habitudes alimentaires. On ajoutera enfin que cet effet protecteur se maintient après prise en compte de facteurs comme l’âge, l’indice de masse corporelle (IMC), le tabagisme ou la durée du diabète.
Le diabète expose à un danger accru d’événement cérébro (AVC) et cardiovasculaire (infarctus…). L’alimentation constitue l’une des voies par lesquelles les personnes diabétiques peuvent réduire la menace. Une équipe américaine (université Harvard) a examiné la place des fruits à coque, singulièrement les noix, dans la prévention du risque cardiovasculaire. Quelque 16.000 adultes diabétiques, hommes et femmes, ont été suivis pendant une vingtaine d’années. Leurs habitudes alimentaires ont été actualisées à intervalles réguliers.
Le résultat montre que par rapport à celles qui en mangent peu (moins d’une portion par mois), les personnes qui consomment le plus de fruits à coque (au moins 5 portions par semaine : une portion équivaut à +/- 30 grammes) s’exposent à un risque réduit de 17%de souffrir d’une maladie ou d’un accident cardiovasculaire, de 20% de présenter une maladie coronarienne et de 34% de décéder de cause cardiovasculaire, alors que le risque de mortalité prématurée (toutes causes confondues) baisse de 31%.
Les noix (noisetier) exercent l’effet protecteur le plus marqué (avec les cacahuètes, mais dans une bien moindre mesure). La consommation élevée de fruits à coque ne semble pas avoir d’effet significatif sur le risque d’AVC ou de mortalité par cancer. Il est intéressant de noter que l’augmentation de la consommation de noix après le diagnostic de diabète intervient de manière positive : il n’est donc jamais trop tard pour adapter ses habitudes alimentaires. On ajoutera enfin que cet effet protecteur se maintient après prise en compte de facteurs comme l’âge, l’indice de masse corporelle (IMC), le tabagisme ou la durée du diabète.
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